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Rechercher : institut cultures d'islam

###Lyon: Cazeneuve soutient le projet d'institut islamique radical avec nos impôts

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Lu dans Metro du 1er octobre :

"RELIGION – C'est ce qu'a annoncé ce mardi le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, lors de sa venue à Lyon à l'occasion de la célébration des vingt ans de la Grande Mosquée. Le montant du projet est estimé à 8 millions d'euros.

Un joli cadeau d'anniversaire. Présent à Lyon ce mardi à l'occasion de la célébration des vingt ans de la 

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01/10/2014 | Lien permanent

Les livres pro djihâd pullulent à l'Institut du Monde Arabe (Vidéo)

(En cas de censure la version Youtube est ici)

Documentaire présentant les ouvrages de Charia de l'Institut du Monde Arabe:

Djihad contre les mécréants, assommer les moines, tuer les Juifs,  lapider les fornicateurs, couper les têtes des apostats, violer les femmes captives issues du butin de guerre, la conversion ou la mort, payer l'impôt islamique ou la mort, interdiction d'édifier des églises, interdiction de faire sonner les cloches. Voilà le contenu de l'islam classique en livres, dans la boutique pour touristes de l'IMA.  

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12/01/2015 | Lien permanent

La mairie de Paris respecte-t-elle la laïcité avec son Institut islamique coûtant 20 millions d'euros aux parisiens ?

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 Explications de Philippe Martel candidat FN dans le 18 ème.(site officiel)

Voir aussi tous nos articles sur le sujet.

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15/03/2014 | Lien permanent

Les Frères Musulmans chassent le romancier Al-Aswany lors de sa conférence à l'Institut du Monde Arabe (Paris) !

Addendum 19 octobre, l'ancien consul de France à Alexandrie, Gilles Gauthier, traducteur de Al-Aswany, était le modérateur malheureux de la conférence. Il témoigne:

"A peine la conférence engagée des doigts commencèrent à se lever. Comme modérateur de cette rencontre j'expliquai que les questions pourraient être posées plus tard mais que le moment n'était pas venu. 
Un peu las d'entendre parler de littérature, des personnes qui n'en avaient peut-être pas l'habitude et qui, de toute façon, n'étaient pas venues pour cela, se sont mises à s'agiter. Le pauvre modérateur s'est soudain vu déborder et l'orateur privé de parole. De tous les recoins d'une salle préalablement occupée et soigneusement quadrillée, des nervis se sont levés reprenant des slogans qui, en d'autres temps, avaient été utilisés par de vrais révolutionnaires, et se sont dirigés, menaçants, vers la tribune. Un service de sécurité limité - car des actes de sauvageries de ce genre sont encore rares - a permis de faire sortir sans dégâts corporels l'orateur et le modérateur qui ont attendu que se poursuive la furia ikhouania, cassant les vitres, jetant les sièges, giflant les femmes et les hommes qui émettaient des réserves face à ce déferlement de barbarie, et, accessoirement volant des téléphones portables. Lire la suite


Lu dans Le Monde du 17 octobre (extrait):

La tension politique qui sévit sur les rives du Nil a franchi la Méditerranée. Mercredi 16 octobre, une trentaine de partisans de l'ancien président égyptien Mohamed Morsi, renversé en juillet par l'armée égyptienne, ont brutalement interrompu un débat organisé à Paris, dans les locaux de l'Institut du monde arabe (IMA), autour de l'écrivain cairote Alaa Al-Aswany.


L'auteur du best-seller L'Immeuble Yacoubian, connu pour son soutien au nouveau pouvoir, incarné par le général Abdel Fattah Al-Sissi, était venu parler littérature, en amont de la sortie de son nouveau roman,L'Automobile Club, prévu en février, aux éditions Actes Sud. Mais à peine avait-il commencé que son intervention a été perturbée par plusieurs dizaines d'agitateurs pro-Morsi, qui ont avancé vers la tribune en hurlant "traître", "assassin" et "à bas les militaires". Débordé, le service d'ordre de l'IMA a obligé le romancier à quitter précipitamment la salle où devait se tenir la conférence. Lire la suite

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19/10/2013 | Lien permanent

La grande mosquée publique de Paris est actée

Mosquée Al-Fath actuelle : Al-Fath signifie "la conquête" en français...bien engagée grâce à Bertrand Delanoë

Le Parisien revient aujourd'hui sur l'Institut des cultures d'islam voulu et financé par la mairie de Paris, dont l'ouverture est imminente :

"Celui-ci comprendra, outre un gigantesque pôle culturel, deux salles de prière de 1000 m2 chacune, soit au 4500 m2, répartis en deux bâtiments habillés de métal, au 55, rue Polonceau et 56, rue Stephenson. Le bâtiment devrait être sorti de terre à l’horizon 2012. Avec 22 M€ engagés par la Ville pour l’espace culturel (le pôle cultuel étant par des fonds privés), l’ICI, qui promet de rayonner bien au-delà de la Goutte-d’Or, fait déjà figure de mosquée des temps modernes. Et restera à n’en pas douter l’une des réalisations les plus ambitieuses de .
A la tête de l’association chargée de gérer le futur institut, le maire de Paris vient de nommer Hakim El Karoui (lire ci-dessous), intellectuel franco-tunisien, chantre de la diversité, et mardi le Conseil de Paris devra se prononcer sur l’adhésion de la Ville à l’association, et lui attribuer une première subvention de fonctionnement de 696000 €."
source

Lire nos précédents articles 

Institut des cultures d’Islam : le stratagème de Delanoë pour contourner la loi de 1905

- Soirée Soufie à l’Institut des cultures d’Islam fondé par Bertrand Delanoë

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08/05/2010 | Lien permanent

”Nuit du ramadan: la Mairie vous invite à Bercy”

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Lu sur Paris.fr :

            

« Samedi 13 septembre, la mairie de Paris convie les Parisiennes et les Parisiens à une soirée musicale à Bercy à l’occasion du ramadan. Venez dès à présent retirer vos invitations à l'Hôtel de Ville.(…) Un iftar léger (dattes, pâtisserie et lait) sera proposé aux participants.

 

Invitations

Les invitations peuvent être retirées gratuitement au bureau d’accueil de l’hôtel de ville, 5 rue de Lobau (4e), de 9h00 à 19h00, ou à l’Institut des cultures d’islam, 19 rue Léon (18e) de 14h30 à 18h00. »

 

l’Institut des cultures d’islam, comprenant une salle de prière (l’ensemble constitue donc une mosquée)  va emménager dans un nouveau bâtiment financé à hauteur de 10 millions d’euros par la Mairie de Paris.

           

 Voir nos notes sur le sujet:

                         

 

Dix millions d’euros pour la Mosquée de Delanoë travestie en « Institut culturel ».                            

 

Institut des cultures d’Islam : le stratagème de Delanoë pour contourner la loi de 1905

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10/09/2008 | Lien permanent

L'Institut d'études de l'islam et des sociétés du monde musulman (IISM), est payé par l'Etat pour lutter contre l'islamo

  

   L' IISM est un pôle de réflexion dépendant de l'EHESS, école bien connue pour son tropisme gauchiste. Fondé en 1999 pour éclairer la République sur les questions islamiques, l'institut est dirigé par Jean-Philippe Bras, professeur de droit public spécialisé dans le monde arabo-musulman. Un des buts de l'Institut est d'intervenir en formation dans les administrations françaises, comme aux ministères de l'Intérieur, de la Justice ou de l'Education nationale, afin de « réduire les éléments favorisant l'islamophobie », pour faire face aux « préjugés ».

   Il est intéressant de lire les "comptes rendus d'ouvrages" traitant de l'Islam par les chercheurs de l'Institut pour connaitre leurs orientations. Laurent Murawiec, analyste français qui provoqua un mini-incident diplomatique entre les Etats-Unis et l'Arabie Saoudite pour avoir dénoncé les travers d'une telle alliance, histoire qui accouchera de l'indispensable « La guerre d' après » (Albin Michel, 2003), est passé au vitriol. Le chroniqueur Jérôme Bocquet s'offusque de la comparaison entre communisme et islamisme, pourtant largement relevée en son temps par le grand sociologue Jules Monnerot (spécialiste mondialement reconnu du communisme, sauf pour l'université marxiste française, qui fit une brillante carrière en Allemagne de l'ouest), ainsi que par André Malraux et aujourd'hui Alexandre del Valle. Pour le chercheur de l'IISM, Murawiec délire quant il voit en l'Arabie Saoudite le bailleur de fond de l'islamisme mondial. Les dénonciations d'un jihâd offensif intrinsèque au Wahhabisme, pourtant illustrées par des citations de l'ouvrage clé de Al-Wahhab, « Le livre de l'unicité », sont « gratuites » pour le chroniqueur qui voit en Muriawec un « raciste ». C'est tellement plus simple.

   Autre livre dénoncé, celui du professeur de relations internationales à l'ENA Frédéric Encel, qui a le tort de faire des « amalgames sur l'islamisme », avant d'être -un peu rapidement- comparé à Oriana Fallaci. Il faut dire que Encel a aussi la tare d'être « résolument anticommuniste », et à l'EHESS, c'est bien suspect. La critique négative de François Burgat par Encel, chercheur au CNRS, ami de longue date de Tariq Ramadan et souvent invité par l'UOIF lors du congrès annuel de la filiale française des Frères musulmans, a aussi le don d'énerver le même Jérôme Bocquet. Ce même François Burgat, dont la complaisance avec les fondamentalistes fut dénoncée par le philosophe tunisien Mezri Haddad dans son livre « Non Delenda Carthago » (Ed. Du Rocher, 2002), véritable pavé dans la mare qui éreinte sérieusement le journalisme de gauche français, n'a pas l'air d'inquiéter les « spécialistes » chapeautés par Jean-Philippe Bras. Un philosophe arabe qui cite Alexandre del Valle (en bien) dans ses ouvrages, on peut être sûr qu'à l' IISM, on préfère ne pas porter ses travaux à la connaissance du public.

   On ne s'étonnera alors guère d'une chronique très positive d'un livre d'un autre ami de l'UOIF (décidément!), le sociologue Vincent Geisser, co-écrit avec Aziz Zemouri, ce dernier ayant réalisé une série d'entretiens à décharge avec Tariq Ramadan...le chroniqueur est cette fois Mohamed Adraoui, doctorant à l'IEP/CERI.

  Le conférencier de l'Institut qui traite de la question du jihâd, l'américain Michael Bonner, est l'auteur d'un livre qui accuse autant les guerriers d'Allah de dévoyer la véritable (selon lui) signification de cette notion, que les politologues amalgamant abusivement ce terme  (toujours selon lui) à une notion de guerre sainte. En fait, comme le dit Al-Ghazâli, une des principales références juridiques sunnites depuis 9 siècles, meilleure vente au rayon islam de la Fnac, le grand jihâd (spirituel) ne peut se réaliser qu'une fois le petit jihâd (guerre sainte) prélablement accompli pour mettre un terme aux dissensions perturbant le calme nécessaire à la méditation (voir son "Livre du repentir" et sa  "Mesure des actes").

   La tendance de l'IISM exposée, on ne peut alors être surpris de l'entrevue qu'a donné Jean-Philippe Bras au Courrier de l'Atlas ce mois ci (n°9), consacré à la « montée de l'islamophobie en Europe ». Pour monsieur Bras (p.45), « la méconnaissance de l'islam alimente l'islamophobie ». L'antidote contre ce nouveau fléau occidental est « la diffusion du savoir scientifique, qui est totalement contraire aux préjugés ».

   Nous invitons les lecteurs de l'Observatoire de l'islamisation à suivre ces conseils, mais ils n'arriveront peut être pas aux conclusions escomptées par monsieur Bras. La lecture du Coran, des Hadith, de la Sîra, des traités de droits malékites, chaféites, hanbalites et hanéfites, permet sans ambiguités de se défaire du véritable préjugé dominant, tendant à dire: « l'islam, c'est comme toutes les religions, elle connaît ses intégrismes et ses dérives , marginales et non représentatives». Non, l'Islam classique est un totalitarisme violent, un intégrisme en soi. Les réformistes libéraux sont marginalisés depuis neufs siècles . Je préférerais évidemment que ces derniers tiennent le haut du pavé, ça m'éviterai l'étiquette de raciste si généreusement distribuée aujourd'hui. Mais à l'Observatoire, nous défendons l'intérêt de l'Europe avant de se préoccuper de savoir si nous sommes "tendance"  pour Libération et Le Monde, ou d'horribles islamophobes.

   C'est pourquoi l'Observatoire de l'islamisation, qui ne touche pas un centime d'argent public, réalise un travail de ré-information plus que nécessaire, face à la propagande d'Etat réalisée par l'IISS, en autre organe de propagande.

Joachim Véliocas, auteur de « L'islamisation de la France », éditions de Bouillon, 2006, directeur de l'Observatoire de l'islamisation.

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Une militante pakistanaise pro-voile devient ministre de la culture en Norvège

Le suicide civilisationnel continue chez les sociaux-démocrates norvégiens. Une musulmane d'origine pakistanaise, Hadia Tajik,  vient d'être nommée ministre de la culture. Ses premières annonces ont été de s'engager à défendre le droit de la minorité musulmane, notamment pour le port du voile dans les lieux publics. A lire sur AhramOnline

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23/09/2012 | Lien permanent

Al-Maghîlî -le ”Hitler algérien”- vedette de la capitale islamique de la culture

Addendum: L'évènement est aujourd'hui

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De même que l'Europe a ses annuelles "capitales européennes de la culture", les pays musulmans membres de l'OCI ont leur "capitale islamique de la culture". Le cru 2011 ne passera pas inaperçu chez les islamologues. Si Tlemcen a été choisie, ce n'est pas par hasard. La ville d'un "éminent savant musulman" selon le journal algérien El-Moudjahid (édition du 13.08), auquel il sera consacré un "colloque international" en plus d'un documentaire retraçant sa vie de 70min, sponsorisé par le ministère des Affaires religieuses et des waqf. Rien que ça ! (Voir le site officiel)

'Abd al-Karîm al-Maghîlî (1440-1493) est ce "savant" dont les dernières recherches historiques montrent qu'il fut le plus grand persécuteur des Juifs de l'histoire en Afrique du Nord, ayant enseigné une lecture drastique du code de la Dhimma, puis ayant théorisé et mis en pratique de nombreux massacres de Juifs, le but affiché étant l'extermination d'une communauté présente sur le sol d'Afrique du Nord bien avant la naissance de Mahomet . Il fait l'objet d'un chapitre entier d'une somme historique parue récemment aux Presses universitaires de Paris-Sorbonne, L'exil au Maghreb-La condition juive sous l'islam 1148-1912, co-écrit par Paul Fenton, directeur adjoint du département d'études arabes et hébraiques de la Sorbonne et l'historien David Littman. L'ouvrage de 800 pages paru en octobre 2010, a le grand mérite de proposer les traductions des textes de Al-Maghîlî qui ne laissent aucun doute sur ses intentions meurtrières. Invoquant un hadith(soit un propos de Mahomet rapporté par ses compagnons), il place son projet d'épuration religieuse comme étant une simple obéissance: " Le prophète déclara : "démolissez les synagogues et les églises" et s'appuyant sur le verset 9,29 du coran, il écrit dans ce même Traité contre les Juifs: "combattre et tuer les Juifs et les chrétiens est une des obligations imposée par Allah. Le glaive ne cessera d'être brandi au dessus de leurs cous à condition qu'ils versent le tribut [Jizya] et qu'ils soient humiliés". Le "savant" s'appuie aussi sur les grands juristes sunnites ayant codifié le statut discriminatoire de la Dhimma, dont Mâlik (708-795, fondateur de l'école juridique malékite, enseignée officiellement au Maroc, en Algérie...et à la Grande mosquée de Paris) et le grand père d'Averroès, Ibn Rushd (1058-1126), cadi de Cordoue qui précisa en son temps "qu'il ne soit élevé au milieu de vous une synagogue ou une église ", puisque l'Islam doit dominer et ne pas être dominé complète Al-Maghîlî. Dans une Fatwa, Maghîlî pousse les musulmans de la région de Touât à commencer le travail : " On doit les démolir, dût-on en avoir la tête coupée, et quiconque meurt, parmi ceux qui désirent cette démolition, entrera au Paradis, tandis que les autres iront au feu avec ceux qui ont empêché cette démolition".

Maghîlî est aussi un poète (au sens musulman...) qui a écrit ces sympathiques versets :

" O mon Seigneur, par Ton prophète, lélu, le guide pur

Et par tous les Pôles [grands saints] et les saints,

qu'ils se réjouissent de la chute des Juifs,

Déverse sur eux des calamités,

Et réduis à néant les restes de leur subsistance

Et ouvre-leur, pour les exterminer,

La porte qui mène au freu infernal

(...)

Egalement tiré du "Traité contre les juifs", ce "poème" ainsi que l'ensemble du traité fut invoqué par les oulémas marocains jusqu'au XIXeme siècle, la présence coloniale ayant, au Maroc comme en Algérie, permis quelques répis à la communauté juive. Maghîlî est toujours vénéré comme un saint et sa tombe à Touât est devenu un célèbre lieu de pèlerinage.

Les historiens Fenton et Littman résument ainsi "l'oeuvre" de Maghîlî :

" La propsérité matérielle des Juifs maghrébins et la reconnaissance de leurs capacités administratives furent à l'origine d'un des chapitres les plus sombres de l'histoire juive de l'Afrique du Nord. 'Abd al-Karîm al-Maghîlî, un docteur tlemcénien d'une intransigeance implacable à l'égard des infidèles et des Juifs, désireux de propager l'Islam parmi les Noirs africains, se rendit à l'intérieur du pays (...) il incita la population à se distancier des Juifs, à détruire leurs synagogues et à les massacrer. Ses prédications sulfureuses déclenchèrent l'élimination totale des populations juives qui s'étaient probablement repliées vers le sud à l'époque des persécutions almohades. Le souvenir de cette tragédie longtemps présente dans la conscience collective, fut commémoré par une lamentation anonyme:

"Une autre chose m'est insupportable: l'oppresseur connu, Al-Maghîlî,

L'assassin des maisonnées du Gouarara et du Touat,

Celui qui a profané la maison [de Dieu], horrible méfait!

O terrible nouvelle! Touat a été anéanti

. (...)

Un autre témoin, Jean-Léon l'Africain, érudit et voyageur d'origine maure, qui composa et traduisit sa géographie africaine pendant sa captivité à Rome, décrit, vers 1515, les Juifs de Tegorarin au Touat:

"Il y avait au Tegorarin quelques Juifs très riches. L'intervention d'un prédicateur de Tlemcen [al-Maghîlî] a provoqué le pillage de leurs biens et la plupart ont été massacré par la population"

Va-t-on entendre les chantres algériens du dialogue inter-religieux, tel le donneur de leçon Mustapha Chérif ou Ghaleb Bencheikh, s'élever pour dénoncer cette initiative scandaleuse du ministère des Affaires religieuses algérien? On n'ose même pas parler de Dalil Boubaker. Va-t-on lire dans la presse française des articles sur cet "évènement culturel" majeur dans le monde musulman, ou nos journalistes ont-ils peur de passer pour des "islamophobes" ? Ils ont le temps de préparer leurs papiers, les célébrations se tiendront les 18 et 19 septembre à Tlemcen, et se cloturera par la remise du 2eme Prix de la renaissance du patrimoine culturel musulman à l'issue du colloque sur al-Maghîlî. De quoi avoir le temps d'acheter son billet d'avion pour couvrir l'évènement, du Nouvel Obs au Point en passant par le très islamophile Libération.

Joachim Véliocas-Observatoire de l'islamisation, 16 août 2011.

Dernier ouvrage paru: Ces maires qui courtisent l'islamisme, éditions Tatamis, 2010.

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19/09/2011 | Lien permanent

La résistance des maires FN aux projets de mosquées objet d'une émission France Culture (écouter)

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13/11/2014 | Lien permanent

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