Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/09/2009

"Est-ce que vous dénoncez Qaradawi ?"

                                          
  Alexandre del Valle, chercheur spécialiste de l'islam radical (voir son site Internet) mettant Tariq Ramadan face à ses contradictions il y a quelques années chez Ardisson.
 
  Sur le double language de Tariq Ramadan, lire notre note L'axe Ramadan/Qaradawi , où l'on rappelle son "profond respect" (sic) pour le Cheikh Qaradawi cité, favorable à la lapidation, au meurtre des homosexuels et au jihâd en y incluant le martyr.
                           
 Alors que Tariq Ramadan est en campagne promotionelle pour son dernier livre "Mon intime conviction" (Presses du Châtelet), il est important de continuer à démonter son double language.
   Dans son nouveau livre, il qualifie ceux qui veulent légiférer ou au moins dénoncer le port de la burqa et du niqab comme "populistes", tentant maladroitement de les disqualifier jusqu'à agiter le "racisme". Il se démasque tout seul :
" Comment penser posément le fait musulman sans agiter ces outils de « politique émotionnelle » que sont aujourd’hui le foulard, le niqab ou la burqa ? (...)L’autre nom de cette politique qui joue de l’émotion est « le populisme », et aucune société contemporaine n’en est définitivement protégée. Les anciens racismes peuvent encore habiter notre avenir." Tariq Ramadan, Mon intime conviction, Presses du Châtelet,quatrième de couverture et préambule.

Les commentaires sont fermés.