Nice : Nissa Rebela obtient la libération de la rue de Suisse

Estrosi recule sur le projet de Grande mosquée et se résoud enfin à agir rue de Suisse...Une double victoire pour Nissa Rebela.

Semaine médiatiquement chargée pour le mouvement identitaire Nissa Rebela (site), qui avait pris au mot Christian Estrosi sur ses déclarations fermes contre les prières de rues, alors que depuis des années des musulmans prient sur la chaussée en plein centre de Nice, obstruant la circulation. France 3 s'était résolu a enfin évoquer ce scandale, étant donné qu'une vidéo mis en ligne par Nissa Rebela portait le problème devant l'opinion...Les choses ne bougeant pas, c'est une variante des "apéros Facebook" intitulée "apéro porchetta rosé" qui fut demandée à la préfecture afin de signifier de manière pacifique aux colons que les rues de Nice appartiennent -encore- aux niçois...La demande en préfecture fut refusée pour motif de trouble à l'ordre public (video France3), le fait de boucher une rue avec des tapis de prière n'étant par contre pas considéré comme tel ! La mairie, à une semaine des cantonale, a décidé d'intervenir en offrant la possibilité aux musulmans indisciplinés de monter dans des bus afin d'être conduits vers d'autres lieux de prières, à moitiés pleins. Force est de constater que le besoin n'existait pas car seules 15 personnes ont opté pour le bus rapporte Nice Matin, les autres habitant déjà dans les quartiers de Nice où les salles de prières ne manquent pas ! Ainsi la plus grande dans le quartier de l'Ariane peut contenir 800 personnes, et rien n'interdit aux musulmans de faire plusieurs offices comme les catholiques afin que tout le monde rentre au fur et à mesure...Aussi, on pourra rétorquer à ceux qui trouvent des excuses systématiques aux islamistes qu'à cent personnes, en mettant 20 euros chaque mois, on peut bénéficier à Nice d'une coquette surface de 80 m2 pour prier. Je ne suis pas certain que les jeunes gens de Nissa Rebela soient beaucoup plus riches que les musulmans de la rue des Suisses...et eux ont un joli local, Lou Bastioun, qu'il faut aider à financer !

 

Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation, mars 2011