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21/02/2012

Editorial du numéro de février : les islamistes et leurs idiots utiles

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(Editorial du numéro 4 du mensuel de l'Observatoire-février 2012)

Par Joachim Véliocas

Les islamistes n’en espéraient pas tant. Les premiers à réaliser le travail de déconsidération de leurs ennemis -soit ceux qui dévoilent leur projet totalitaire- sont des journalistes en vue, ayant une influence considérable sur les téléspectateurs ou lecteurs.

C’est ainsi que le New York Times avait il y a deux ans commencé à dénigrer tous les opposants au projet de mosquée à New-York près du fameux « Ground zero », ancien emplacement des tours jumelles. Pourtant, les opposants ne manquaient pas d’arguments, entre les liens avérés du premier imam Abdul Rauf pilotant le projet avec les Frères Musulmans, auteur d’un « référentiel de charia » baptisé « Sharia Index » pour ses fidèles, grillé au point d’être remplacé par un autre imam, Abdallah Adhami, qui sera lui aussi écarté de la direction du projet après la révélations du contenu de ses conférences, dont voici un extrait: « Les vrais musulmans qui entrent dans les plus hauts niveaux du paradis sont ceux qui paient le prix ultime du sacrifice dans le but de mettre en œuvre la charia, la loi islamique ». Dans une grande mansuétude, Adhami voulait aussi commuer la peine de mort prévue pour les apostats à un emprisonnement à vie…

Paul Moreira de Canal + dans son documentaire islamophile intitulé « Islam, Antéchrist et jambon-beurre » dénonce les "islamophobes" qui s’opposent à ce même projet à New-York, en cachant aux téléspectateurs (ou n’étant simplement pas au courant!) les prises de positions des imams pilotant le projet…(lire page 11).

Le New York Times a lancé une nouvelle polémique outre-atlantique : en réclamant l’arrêt de la diffusion d’un documentaire sur l’islamisme dans la police, à la demande des Frères Musulmans américains du Council of American Islamic Relations (CAIR) dont l’image est sévèrement écornée dans le documentaire. Le New-York Times se fait le relai de cette association (reconnue pourtant comme membre des Frères Musulmans par Mohammed Habib, membre du Conseil de l’organisation en Egypte dans une interview du site officiel des Frères) en demandant à la police des excuses en plus de la censure !

Paul Moreira de Canal+ était allé lui interroger complaisamment le directeur de la communication du CAIR, qui l’avait rassuré sur leur tranquillité. Pour Moreira le danger se trouve du côté des "islamophobes". Et qu’importe si le CAIR finance le Hamas. Pour mesurer toute l’énormité d’une telle collaboration idéologique face aux résistants occidentaux taxés d’être incultes, xénophobes et évidemment extrémistes, on lira aux pages 24 et suivantes les traductions des textes et discours des Frères Musulmans égyptiens. Ce totalitarisme mis à nu que les journalistes de gauche persistent à défendre. Pour se procurer le numéro du mensuel de l'Observatoire où sont développés ces sujets, cliquer ici.

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