11/08/2012
"Il existe 200 à 300 Merah en France, les services secrets n'ont pas les moyens de tous les surveiller 24h/24"
Le ministère de l’Intérieur a déclassifié ce jeudi les documents classés secret-défense de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) concernant Mohamed Merah. Le terroriste était non seulement connu des services depuis 2009, mais il constituait aussi une "cible privilégiée" de la DCRI pour sa proximité avec des islamistes radicaux toulousains. Les renseignements français auraient-ils pu éviter le drame ?
Lire sur Atlantico.fr l'entrevue avec Alain Chouet, ancien chef de service du renseignement et de la sécurité à la DGSE.
Réécouter l'analyse de Joachim Véliocas enregistrée une semaine après la tuerie, s'étonnant du manque du surveillance de Merah compte tenu de l'identité salafiste de son entourage, de son comportement, de ses voyages. Véliocas dénonçait alors les prédicateurs antisémites invités par l'UOIF, avant d'être relayé par le FN puis le PS, qui obligea Nicolas Sarkozy à retirer les visas déjà autorisés:
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