08/10/2009
L'affaire Mitterrand-Polanski fait les choux gras de l'islam
Sur un plateau. Si les mouvements musulmans avaient souhaiter démontrer la nature immorale de tout gouvernement aux mains de mécréants (koufars), ils n'auraient pu rêver d'un tel scénario : un ministre des Affaires étrangères pro-israélien prenant la défense d'un réalisateur accusé de pédophilie, couplé à un autre ministre, Mitterrand, homosexuel et adepte des "gosses" thailandais, soutenant lui aussi le pédophile Polanski...sans parler de l'étoile montante de l'écologie Cohn Bendit, pédophile assumé . Cerise sur le gâteau, Bertrand Delanoe, mis en cause dans un livre pour ses largesses à la communauté juive, homosexuel, défend aussi le pédophile Mitterrand. N'en jettez plus !
Allez convaincre maintenant les musulmans de la supériorité morale automatique d'une démocratie occidentale sur des régimes islamiques fondés sur la Loi islamique...Et allez convaincre des catholiques français que la séparation de l'Eglise des affaires d'un Etat est un progrès social !
C'est le premier site musulman français, Oumma.com, qui se régale dans un article de ce jour :
" L’indigné ministre de la Culture qui, hier, avait l’indécence de s’apitoyer devant les caméras sur le cas Roman Polanski, est à son tour pris dans un raz-de-marée de l’indignation, devenant lui-même l’objet de l’opprobre, populaire d’abord, politique maintenant.
Même si les intrigues politiciennes ourdies au sein des QG des partis à l’approche du scrutin décisif des régionales ne leurrent plus personne, s’engouffrer dans la brèche de l’indignation générale pour dénoncer les confidences coupables d’un ministre de la Culture, qu’une cour de flagorneurs dithyrambiques a volontiers absoutes en 2005 au nom du seul talent littéraire, est difficilement blâmable.
(...) « C’est une honte de me traîner dans la boue », a-t-il lancé. Une piètre défense ô combien révélatrice du déni d’immoralité qui frappe ces intouchables du pouvoir, lesquels sont à ce point dénués du sens de l’honneur qu’ils ne démissionnent jamais." lire l'intégralité de l'article
C'est triste à dire, mais j'avoue que j'aurais pu écrire exactement le même texte.
En ce moment, j'apprend que la défense préparée par le ministre de la culture va insister sur le fait que les prostitués seraient majeurs. Or, dans son livre La mauvaise vie, il emploie les termes de "gosses" et d' "éphèbes", ce dernier terme étant le nom d'adolescents, durant la Grèce antique, destinés à la pédérasterie dont un des critères de sélection était d'être encore imberbes. Donc le terme de pédophilie n'est pas exagéré du tout.
Joachim Véliocas.
13:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cohn bendit, pedophilie, frédéric mitterand | | Facebook | |