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Rechercher : chrétiens algérie

Mustafa Cherif tombe le masque

Mustafa Cherif, professeur de lettre et de philosophie, éphémère  ministre de l'Education en Algérie en 1990-91,  est incontournable dans les médiats dès qu'il s'agit d'évoquer l'islam "de paix et d'amour"'. Il s'est fait remarqué pour avoir été à l'initiative d'une lettre ouverte de 138 "savants" musulmans adressée au Pape Benoit XVI après l'affaire Ratisbonne. Il s'est également fendu d'une lettre aux évêques de France intitulée Vivre ensemble une réalité irrésistible. Il est le fondateur du Groupe d'Amitié islamo Chrétienne, qui a pour but une meilleure acceptation de l'Autre...surtout quand il est musulman en terre chrétienne, et quand il est un Chrétien converti à l'islam.

  Effectivement, le mielleux Mustafa Cherif a été obligé de dénier devant un parterre de dignitaires musulmans la légitimité des conversions de musulmans au Christiannisme. L'apostat mérite la mort selon la Charia, et les non-musulmans n'ont pas le droit de faire de prosélytisme. Cherif est avant tout un musulman et il se doit de respecter les "basiques" de l'islam sans quoi il perdrait tout crédit vis à vis des des professeurs des Universités islamiques algériennes :

  Lors d’un colloque organisé à Alger par le ministère des Affaires religieuses, l’archevêque d’Alger, Ghaleb Bader, a exprimé ses inquiétudes en matière de liberté de conscience et de culte. Le ministre Bouabdallah Ghlamallah a dévoilé sans fard le fond de sa pensée. Le journal algérien l'Expression nous rapporte les faits :

" Les musulmans accueillent des chrétiens convertis à l’Islam, pourquoi les chrétiens n’en feraient-ils pas de même? a demandé l’archévêque. Tout le monde lui oppose une fin de non-recevoir.

Le professeur Mustapha Chérif, présent à ce colloque en sa qualité d’islamologue, s’est étonné de cette demande de réciprocité. Ces soupçons de prosélytisme ont été relayés par plus d’un dans la salle de conférences de Dar El Imam, y compris des professeurs venus des facultés des sciences islamiques d’Oran, de Constantine et d’Alger

La liberté religieuse et la liberté de choisir sa foi sont aussi réclamées en plus de la liberté du culte, qui est insuffisante, selon Ghaleb Bader qui ajoute qu’il faut accepter que des gens se convertissent. Il se plaint aussi du fait qu’il n’arrive pas à faire parvenir en Algérie de nouveaux pasteurs ou des livres de prière.

Les réticences de l’Algérie à répondre favorablement à ces demandes sont justifiées par le ministre des Affaires religieuses par des considérations de sécurité nationale. «Personne ne veut qu’il y ait des minorités religieuses en Algérie car cela risque d’être un prétexte pour les puissances étrangères de s’ingérer dans les affaires intérieures du pays sous couvert de protection des droits des minorités», assène-t-il. Source : L’expression.dz

  Qu'il n'y ait pas de minorités Chrétiennes en Algérie, cela doit être normal (Cherif n'a pas protesté face à ces propos odieux). Par contre, que toutes les fédérations islamiques en France soient des instruments d'ingérence étrangère (Mosquée de Paris/Algérie, RAMF/Maroc, Milli Gorus/Turquie, Ditib/Turquie, UOIF/Frères Musulmans...) cela doit être accepté par les Français sous peine d'être taxés de "xénophobes"... 

  Sur son site Internet, Mustafa Cherif s'inquiétant du refus de l'entrée de la Turquie et de l'hostilité aux minarets des européens, compare ces légitimes aspirations à conserver notre intégrité culturelle...à la montée du fascisme des années 30. Voilà pour le sérieux du mégalomane se définissant sur son site Internet comme "un penseur, aujourd’hui conférencier international. Philosophe, théologien, chercheur en sciences humaines et sociales, en  relations internationales et dialogue des cultures". Lire Regain de la xénophobie en Europe.

Observatoire de l'islamisation, février 2010

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14/02/2010 | Lien permanent

La campagne électorale algérienne dans les mosquées ”françaises”

 

  Le ministre algérien des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah, connu pour traquer les Chrétiens en Algérie, était l’invité dimanche de la Grande mosquée de Paris afin de mettre au diapason les mosquées de l’hexagone pour soutenir la réélection du boucher des Harkis, Bouteflika. Eric Besson a, pour cette sympathique besogne, délivré un titre de séjour à l’islamiste... 

       

Voici reproduit un article du magazine  Tout sur l’Algérie, par Sonia lyes ,  30/03/2009 racontant son périple :

 

"En France, les prêches de vendredi prochain dans les mosquées «algériennes» seront consacrés à la présidentielle 

  

  Convaincre les Algériens de France d'aller voter massivement aux élections présidentielles. Depuis quelques semaines, d'importants moyens sont mobilisés dans l'Hexagone pour atteindre cet objectif. Dans ce pays, qui compterait plus de quatre millions d'Algériens, les opérations de vote débuteront le 4 avril. Elles se poursuivront jusqu'au 9 du même mois et le degré de mobilisation des électeurs pourrait avoir un impact sur la participation en Algérie, principal enjeu du scrutin. Les autorités cherchent à rééditer l'impact du scrutin de 1995 : la forte participation des électeurs en France avait contribué à mobiliser fortement les Algériens et crédibiliser l'élection de Liamine Zeroual.

  Le succès, samedi 28 mars, du meeting parisien animé par Abdelmalek Sellal est de bon augure pour la suite des événements, estime-t-on dans l'entourage de la campagne de Bouteflika en France. « L'enthousiasme qu'on a vu à travers les représentants des différentes régions présentes samedi à Paris, avec notamment la présence de beaucoup de jeunes et de femmes, montre qu'il existe en France un nouvel état d'esprit par rapport aux élections en Algérie. C'est grâce au travail de préparation que nous avons mené ici avec d'autres associations que ce résultat a été rendu possible. Nous pensons qu'il y aura une forte participation, particulièrement des jeunes qui voteront pour la première fois. Le message du président lu par M. Sellal est bien passé. Mais une fois élu, il ne doit pas les décevoir », explique Adam Nacer Benahmed, un des piliers du dispositif électoral du président Bouteflika en France.

  Dimanche, le ministre des Affaires religieuses Bouabdallah Ghoulamallah, a tenu une réunion à la Mosquée de Paris avec les imams des mosquées contrôlées par les Algériens. Il leur a demandé de consacrer leurs prêches de vendredi prochain à la sensibilisation des électeurs algériens pour s'assurer d'une forte participation à la prochaine présidentielle.

  C'est la première fois que les mosquées algériennes en France sont officiellement sollicitées pour jouer un rôle politique. Ces dernières années, les autorités algériennes se sont montrées méfiantes sur les questions liées à la gestion de religion après les événements connus par le pays dans les années 1990. Résultat : une politique prudente a été menée, au point où la Mosquée de Paris a perdu, en 2008, les élections du Conseil français de culte musulman (CFCM) face à des Marocains minoritaires. La présidentielle ouvrira-t-elle une nouvelle ère dans la gestion par Alger de l'Islam en France ?
 "

Rappel de l’Observatoire de l’islamisation : Lundi 21 juin 2004, le ministre algérien des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah,  dénonça l'évangélisation des kabyles en Algérie dans une conférence de presse à Alger. Il rappela  que l'islam est la « religion d'Etat et de tous les Algériens », puis  avertit que l’apostolat chrétien entraînerait irrémédiablement un affrontement : « Il y aura effusion de sang ». En mars 2008, il tient des propos tout aussi durs dans le journal L’Expression : « J’assimile l’évangélisation au terrorisme ». Entre ces deux déclarations fracassantes, en mars 2006, une loi algérienne marqua clairement le virage islamique du régime. La loi prévoit des peines de 2 à 5 ans de prison et une amende de 500.000 à 1.000.000 de dinars (5.000 à 10.000 euros) contre toute personne qui « incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion ». Les mêmes sanctions sont prévues contre toute personne qui « fabrique, entrepose, ou distribue des documents imprimés ou métrages audio-visuels ou tout autre support ou moyen, qui visent à ébranler la foi musulmane ». La loi n’a pas tardé à être suivie d’application.

Lire notre note sur les récentes condamnations de Chrétiens et les fermetures d'églises en Algérie. 

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31/03/2009 | Lien permanent

Le Figaro voit des Français partout...

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La série "Le bonheur d'être Français" du Figaro en ligne le 3 août. Peut-être Lekbir Kotbi, né au Maroc le 11 janvier 1968 et recteur de la monumentale mosquée de Reims a-t-il été naturalisé Français comme des centaines de milliers de colons par la magie républicaine (140 000 naturalisations chaque année). Il n'en demeure pas moins que :

- Le Maroc ne reconnait pas la double nationalité. Tout Marocain demeure sujet du Roi ad vitam aeternam.

- Dans sa constitution le Maroc interdit aux non-musulmans d'obtenir la nationalité du royaume.

- L'article 220 du code pénal Marocain interdit et punit la diffusion du christiannisme de 3 à 6 mois de prison. Effectivement, le droit marocain puise sa source (en partie) dans la charia et celle-ci interdit l'apostolat des chrétiens (et tout prosélytisme autre que musulman). De nombreuses arrestations de chrétiens ont eu lieu ces dernières années, souvent censurées par les médias (Le Figaro en tête) voulant préserver l'image de l'islam "du juste milieu"  que représenterait le malékisme (école juridique sunnite) marocain.

> On n'a pas entendu Lekbir Kotbi ni Le Figaro quand en février 2010, l'armée marocaine a débarqué avec 15 véhicules comprenant 60 soldats  à Amizmiz (sud de Marrakech) pour embarquer dix-huits chrétiens afin de les placer en garde à vue (deux bébés de 6 mois compris) pendant 14 heures, après avoir confisqué leurs bibles. Un missionnaire étranger fut expulsé à l'issu de ce coup de filet. Donc si demain Lekbir Kotbi est expulsé de France pour avoir diffusé son islam, il ne devrait pas y voir d'inconvénient ? Ou alors vérité en dessous de la méditerrannée, erreur au delà ?

> On n' a pas entendu Lekbir Kotbi quand en juillet 2010, huit chrétiens étrangers ont été expulsés du Maroc pour les mêmes raisons : évangélisation. L 'ONG Portes Ouvertes comptabilisait alors à 130 le nombre de Chrétiens expulsés entre janvier et juillet 2010, l'association précisant que les "coupables" n'avaient pas le droit de contacter leur ambassade ou un avocat, encore moins de faire appel à la justice. Sous 48 heures, ils furent expulsés au motif de "danger imminent". Pour ceux qui sont interrogés par un juge, celui-ci demande "avez-vous fait du prosélytisme?" , certains admettent avoir donné une bible...gloups.

On pourrait égrainer les centaines d'exemples de l'intolérance du Maroc, ayant inscrit dans ses lois comme l'Algérie des textes permettant d'écarter de leur territoire les chrétiens missionnaires étrangers et d'embastiller leurs nationaux.

L'islamisation de la France est pilotée par les consulats et ambassades du Maroc (via le Rassemblement des Musulmans de France) et d'Algérie (via la Grande mosquée de Paris), ces deux pays se livrant sur notre territoire à une concurrence farouche pour la construction et donc le contrôle de centaines de mosquées. Je peux affirmer qu'au printemps 2011, des équipes de l'ambassade d'Algérie ont fait une tournée en province afin de pousser les Algériens ayant fait souche en France à monter leurs projets de mosquées dans le but de tenir tête aux nombreux projets marocains (Strasbourg, Reims, Toul, Nancy etc.)

Les médias veulent faire croire que les mosquées ne sont que des lieux de culte. Les qualifier de permanences politiques étrangères serait plus précis.

Maintenant nous laissons méditer nos lecteurs sur les mises en garde  du Roi du Maroc Hassan II (1929-1999), concernant la laicité antinomique à l'islam, et  les colons Marocains en France qui "ne seront jamais intégrés" selon lui : 

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03/08/2011 | Lien permanent

Bernard Cazeneuve ouvre la porte aux imâms algériens , pays où l'islam officiel est liberticide.

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Lu dans Le Figaro du 18 décembre :

"Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, chargé des cultes, s'est rendu le 18 décembre en Algérie pour signer une convention avec le ministre algérien des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, visant notamment à renforcer la formation à la laïcité des imams algériens.

Cette mesure touche des promotions annuelles de 120 imams algériens qui traversent la Méditerranée pour exercer pendant quatre ans en France, avant de s'en retourner. On les appelle les imams «détachés»."

éclairage de l'Observatoire :

- L'islam officiel en Algérie est le malékisme, une école juridique sunnite radicale dont les livres de bases, disponibles dans toutes les librairies musulmanes, enseignent de tuer les homosexuels et de faire le djihâd contre les mécréants qui refusent de se convertir.

Le rite malékite fondé par Malik Ibn Anas (710-795) et vulgarisé par Zayd al-Qayrawani (922 - 996) dit « Le petit Malik »  enseigné dans toutes les écoles coraniques et universités islamiques d'Algérie inclue :

- Le jihâd offensif (cf  Zayd al-Qayrawani , La Risâla, chapitre 30)

- L’exécution des apostats (cf , Malik Ibn Anas Al-Muwatta’ point 1444 )

- L’exécution des chanoines faisant de l’apostolat (cf , Al-Muwatta’,point 982)

- La légalité de l’esclavage (cf , Al-Muwatta’ , livre 21)

- L’inclusion des femmes dans la composition du butin de guerre, alors licitement violées  (cf , Al-Muwatta’, point 1265 )

- Durant le ramadan, les Algériens ont interdiction formelle de manger. , il y a eu des arrestations.

-Sur une chaîne nationale publique les imâms-fonctionnaires légitiment la pédophilie.

- Les missionnaires chrétiens sont fréquemment expulsés du pays en vertu de la loi de mars 2006 qui punit de prison et de lourdes amendes ceux qui osent parler du Christ aux Algériens. 

Ce partenariat avec l'état FLN est une trahison nationale de plus.

Observatoire de l'islamisation.

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22/12/2014 | Lien permanent

UMP: défaite de la ligne islamophile Fillon. Victoire de la motion Peltier.

La sous-estimation de Copé et de ses thèmes qui s'appuient sur la réalité banale du racisme anti-blanc et de l'islamisation ont été fatal pour les centristes de l'UMP, déconnectés des préoccupations de leurs adhérents. De plus, la victoire de la motion Droite forte de l'ancien MNR et MPF Guillaume Peltier confirme la tendance islamovigilante des adhérents UMP, ayant obtenu 27% des voix contre 21,5% pour la "Droite sociale" de Laurent Wauquiez qui tolère l'appel du muezzin amplifié dans sa mairie du Puy-en-Velay. La Droite Forte va exercer une influence considérable en entrant à la direction de l'UMP via son mouvement qui sera financé et dont les dirigeants auront des postes clés.

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Photo: 28 juin 2010- Inauguration de la mosquée ET Université islamique d'Argenteuil (présentée comme telle par le site de la mosquée). L'imâm est un fonctionnaire algérien, pays anti-français et christianophobe (lois de mars 2006 punissant l'apostolat chrétien de prison et de lourdes amendes). Le maire UMP de Montfermeil Xavier Lemoine parla alors de "Munich" en commentant cette entrée dans la collaboration active de Fillon pour l'islamisation décomplexée. On appréciera la fillette voilée aux côtés de l'ancien locataire de Matignon.

Le ministre des Affaires religieuses algérien, Bouabdallah Ghlamallah, islamiste notoirement anti-chrétien, fut annoncé à la cérémonie. Ses déclarations fracassantes contre l'évangélisation de l'Algérie, et son zèle quant à l'application des lois de mars 2006 réprimant l'apostolat n'ont déclenché aucune réaction en France, malgré les 2 à 5 ans de prison qu'encourent les évangélistes dans l'état FLN. Ainsi, la mosquée Al-Ishan d'Argenteuil est contôlée par l'Algérie, qui y nomme l'imâm, à l'encontre de tout le discours officiel sur un islam supposément "de France". Lire la suite  

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20/11/2012 | Lien permanent

Scandale : tournée française de l'islamisme d'état algérien

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Qu'importe son origine, cette affiche fut scandaleusement censurée par la justice, alors qu'elle décrivait parfaitement la réalité de l'islamisme algérien en France, sponsorisant des Grande mosquées et s'ingérant dans nos affaires intérieures via leur ministre des Affaires religieuse (photo du haut). La liberté d'expression est gravement menacée en France...

Addendum 17.05 :

- Visite du ministre algérien des affaires religieuses à la Grand mosquée de Clermont-Fd

- Bouabdellah Ghlamallah, 76 ans, est le ministre des Affaires Religieuses de l'Algérie depuis plus de treize ans. Il participait hier au 2e séminaire régional de la grande mosquée de Lyon, consacré aux imams et prédicateurs

Lu dans Creusot Info du 14.05 :

"Ministre du Culte algérien et Député de la communauté algérienne, Bouabdallah Ghlamallah est venu inaugurer la nouvelle mosquée de Torcy [ ndlr: en Bourgogne, à ne pas confondre avec l'autre mosquée de Torcy en Seine-et-Marne]. L’occasion pour les élus locaux de le recevoir, histoire de rappeler l’importance de faire une place sans aucune discrimination à la communauté qu’il est venu représenter et aussi écouter.

Ce vendredi, c’est en milieu d’après-midi que Bouabdallah Goulamallah a été accueilli par le premier magistrat de Torcy en la personne de Roland Fuchet. Accompagné notamment par le Consul général venu de Lyon, Abdelkader Kacimi El Hassani, et le Président de la fédération régionale Sud-Ouest de la Grande Mosquée de Paris, Abdallah Zekri, le haut représentant de la communauté algérienne a pu constater d’entrée l’importance et la considération accordée à celle-ci au niveau local.(...)le maire du Creusot,
André Billardon, a lui aussi souligné la nécessité d’avancer avec cette notion dans une ville qui se veut solidaire.
article intégral

La mosquée a été construite grâce au concours de la mairie socialiste ayant mis à disposition une école désaffectée, en contravention avec la loi de 1905.

Le ministre a déclaré que l'Algérie allait "faire un geste" pour terminer la réalisation de la fin des travaux.

Nous avions relevé sa présence pour l'inauguration de la Grande mosquée de Tours. Il a également inauguré les mosquées de Toulouse (en compagnie du maire UMP Moudenc),  Istres et Fourquières les Lens.

Rappel : Bouabdallah Ghlamallah avait l'année dernière fait fermer 10 églises, et se justifia au journal l'Expression par cette phrase pleine de nuance : "j'assimile l'évangélisation au terrorisme" (SIC)

   Lundi 21 juin 2004, Bouabdallah Ghlamallah,  dénonça l'évangélisation des kabyles en Algérie dans une conférence de presse à Alger. Il rappela  que l'islam est la « religion d'Etat et de tous les Algériens », puis  avertit que l'apostolat chrétien entraînerait irrémédiablement un affrontement : « Il y aura effusion de sang »

  Il a été à l'origine de la loi de mars 2006 punissant de 2 à 5 ans de prison et 5 à 10 000 euros d’amendes l'évangelisation. La loi vise celui qui « incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion ». Les mêmes sanctions sont prévues contre toute personne qui « fabrique, entrepose, ou distribue des documents imprimés ou métrages audio-visuels ou tout autre support ou moyen, qui visent à ébranler la foi musulmane ».

Rappelons que être Chrétien en Algérie c'est ça :

- En juin 2006, une trentaine d’étudiants Africains, qui eurent tort d’assister à un séminaire chrétien en Kabylie, eurent 10 à 15 jours pour quitter le territoire, une fois confisqué leurs titres de séjours.

- Le prêtre catholique Pierre Wallez, résidant en Algérie depuis de nombreuses années, fut été condamné le 30 janvier 2008 à un an de prison avec sursis par le tribunal de Maghnia (ouest Algérien).

 - A Oran, le père Hugh Johnson, en retraite depuis 2006, vit toujours sous la menace d’une expulsion. Il attend la réponse au recours introduit devant le Conseil d’Etat.

 - Le 21 mars 2008, huit ressortissants Suisses, devant animer des séminaires en Kabylie furent priés par la police de quitter le territoire.

 - Il n’est pas possible non plus pour les prêtres français d’obtenir des visas pour l’Algérie, à l’image de l’évêque de Pontoise Mgr Riocreux qui s’est vu refuser une visite à la communauté catholique d’Algérie en mars 2008.

  -En juillet 2008, deux Algériens convertis au Christianisme furent condamnés à 1000 euros d’amende. 

  -Selon Mustapha Krim, président des Eglises protestantes en Algérie, rien qu’entre janvier et mars 2008, dix églises protestantes ont été fermée dans tout le pays.   

 

Observatoire de l'islamisation, mai 2010               

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15/05/2010 | Lien permanent

La mosquée salafiste de Vénissieux visée par le caporal aurait dû fermer dès 2004 pour extrémisme.

Pourquoi la mosquée Forkane n'a-t-elle pas été fermée dès 2004 lors de l'expulsion de son imam ultra-dangereux?

mosquée vénissieux,minguettes,salafismeAu lendemain de l'arrestation d'un militaire qui envisageait de tirer sur la mosquée Forkane de Vénissieux, et peut-être, plus inquiétant, sur ses fidèles, il faut préciser l'orientation idéologique de l'établissement.

L'AFP précise (dépêche du 12/08) l'orientation salafiste du lieu : "C'est là que l'ancien imam de Vénissieux, Abdelkader Bouziane, officiait avant son expulsion et sa condamnation par la cour d'appel de Lyon à six mois de prison avec sursis en 2004, pour des propos favorables au châtiment corporel des épouses infidèles."

Mais l'ancien imam de la mosquée (qui y est regretté) ne fut pas seulement expulsé pour ces propos.

Le 26 février 2004, un arrêté d'expulsion, mentionnait que l'imam Bouziane portait « atteinte à l'ordre public, du fait de son activité doctrinale salafiste». Cet arrêté pris par le ministère de l’Intérieur Nicolas Sarkozy invoquait « l’urgence absolue » et « la nécessité impérieuse pour la sûreté de l’État et la sécurité publique », pour faire usage de cette procédure qui permet de passer outre certaines règles de protection des étrangers, car l’imam, appelait « ouvertement à la violence et à la haine » et apparaissait comme le « principal vecteur de l’idéologie salafiste dans la région lyonnaise », en lien « avec des éléments très déterminés de la mouvance intégriste islamiste (…), en relation avec des organisations prônant des actes terroristes ».

Dans leur livre "Ben Laden, la destruction programmée de l'Occident" (Picollec, 2004), Roland Jacquart et Atmane Tazaghart décrivent le quartier des Minguettes -dont la mosquée Fokrane est le nouveau pivot- comme d'un "foyer de l'islamisme radical" dont sont issus nombre de djihadistes des filières tchétchènes et afghanes (page 278). 

La mosquée a été agrandie en 2006, grâce à l'action du président du Conseil Régional du Culte Musulman, Azzedine Gaci. Ce dernier qui signa le protocole d'accord de rénovation de la mosquée avec la mairie, est membre de la sulfureuse fédération de l' UOIF issue des Frères Musulmans (courant dit "salafiste réformiste") dont six prédicateurs invités au congrès de 2012 furent interdits de séjour. Nous renvoyons à notre article de l'époque qui présente ces guides spirituels (pour l'UOIF), qui enseignent de tuer pêle-mêle Juifs, apostats, homosexuels, et annoncent la conquête islamique de l'Europe.

L'invité vedette du congrès 2009 de l'UOIF était Tareq Al-Suwaidan, chef des Frères Musulmans kowétiens, qui s' y était distingué pour avoir rappelé la "prophétie" de la future prise de Rome par Mahomet, devant suivre celle de Constantinople...(relire notre alerte co signée par les plus grands islamologues

Nous insistons sur la nature de l'UOIF car la mosquée de Libourne attaquée par le même caporal l'année dernière en est aussi membre.

Faut -il attendre que, comme en Tunisie actuellement, des centaines de mosquées soient noyautées par les salafistes qui les transforment souvent en dépôts d'armes (voir L'Humanité du 07/08/2013) ?

Une mosquée algérienne

La mosquée fut inaugurée dans sa forme rénovée par le consul d'Algérie, en plus du responsable local de l'UOIF Gaci qui lui aussi est algérien ! Il faut rappeler que l'Algérie, en vertu de ses lois de mars 2006, punit jusqu'à 5 ans de prison et 10 000 euros d'amende les chrétiens qui font de l'apostolat sur ses terres ! Azzedine Gaci, ami du cardinal Barbarin, ne s'en est jamais plaint. Et le pays de Gaci applique rigoureusement la loi en expulsant régulièrement des évangélistes autant qu'il ferme des églises ! Et nous devrions accepter que leur islamisme anti-chrétien s'implante chez nous? 

Quant au recteur de la mosquée de Lyon, également algérien Kamel Kabtane qui fait actuellement le tour des médias pour crier à l'"islamophobie", il invitait dans sa mosquée pour des conférences son compatriote Abdelkader Bouziane (lire les révélations du spécialiste Samir Amghar). Qu'il fasse donc profil bas et/ou retourne en Algérie. Les vrais stigmatisés sont les chrétiens d'Algérie qui sont persécutés dans le silence coupable des responsables musulmans algériens en France. 

Joachim Véliocas - Observatoire de l'islamisation, août 2013

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13/08/2013 | Lien permanent

Guérini : ”un bonheur” de rencontrer le bourreau des Harkis


                    

  Jean-Noël Guérini (PS), président du Conseil général des Boûches-du-Rhône,  visita  Alger en février 2009 dans le cadre d’un partenariat entre le Département et la capitale algérienne, où il rencontra -outre Bouteflika- Djamel Ould-Abbes, ministre de la Solidarité nationale et de la communauté algérienne à l'étranger,  qui  déclara : "Nous souhaitons qu'elle soit la plus importante mosquée de France". En parlant de la Grande Mosquée de Marseille qui sera financée à hauteur de 1 million d’euros par Alger…                                  

 

Lundi 21 juin 2004, le ministre algérien des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah,  dénonça l'évangélisation des kabyles en Algérie dans une conférence de presse à Alger. Il rappela  que l'islam est la « religion d'Etat et de tous les Algériens », puis  avertit que l’apostolat chrétien entraînerait irrémédiablement un affrontement : « Il y aura effusion de sang ». En mars 2008, il tient des propos tout aussi durs dans le journal L’Expression : « J’assimile l’évangélisation au terrorisme ». Entre ces deux déclarations fracassantes, en mars 2006, une loi algérienne marqua clairement le virage islamique du régime. La loi prévoit des peines de 2 à 5 ans de prison et une amende de 500.000 à 1.000.000 de dinars (5.000 à 10.000 euros) contre toute personne qui « incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion ». Les mêmes sanctions sont prévues contre toute personne qui « fabrique, entrepose, ou distribue des documents imprimés ou métrages audio-visuels ou tout autre support ou moyen, qui visent à ébranler la foi musulmane ». La loi n’a pas tardé à être suivie d’application.

                   

- En juin 2006, une trentaine d’étudiants Africains, qui eurent tort d’assister à un séminaire chrétien en Kabylie, eurent 10 à 15 jours pour quitter le territoire, une fois confisqué leurs titres de séjours.

- Le prêtre catholique Pierre Wallez, résidant en Algérie depuis de nombreuses années, fut été condamné le 30 janvier 2008 à un an de prison avec sursis par le tribunal de Maghnia (ouest Algérien).

 - A Oran, le père Hugh Johnson, en retraite depuis 2006, vit toujours sous la menace d’une expulsion. Il attend la réponse au recours introduit devant le Conseil d’Etat.

 - Le 21 mars 2008, huit ressortissants Suisses, devant animer des séminaires en Kabylie furent priés par la police de quitter le territoire.

 - Il n’est pas possible non plus pour les prêtres français d’obtenir des visas pour l’Algérie, à l’image de l’évêque de Pontoise Mgr Riocreux qui s’est vu refuser une visite à la communauté catholique d’Algérie en mars 2008.

  -En juillet 2008, deux Algériens convertis au Christianisme furent condamnés à 1000 euros d’amende. 

  -Selon Mustapha Krim, président des Eglises protestantes en Algérie, rien qu’entre janvier et mars 2008, dix églises protestantes ont été fermée dans tout le pays.                  

 

 Les médias français restèrent très discrets sur le sujet jusqu’à une affaire largement médiatisée suite à un article[1] du Figaro en mars 2008, concernant Habiba Kouider, mère de famille comparaissant devant le tribunal de Tiaret pour…possession de bibles. Le caricaturiste Algérien Dilem note pertinemment : « On s’indigne de l’évangélisation de la Kabylie mais on trouve parfaitement normal que des imams islamisent toute la banlieue en France ! ».                                                                 

 

 L’Algérie de son côté a envoyé en France en février 2008,  29 imams et deux femmes prédicatrices ("mourchidate") pour encadrer des mosquées en application d'un accord entre le ministère algérien des Affaires religieuses et l' Association de la mosquée de Paris. Déjà, au mois d’octobre 2005, près de soixante imams furent envoyés en France au début du ramadan par le ministère des Affaires religieuses pour diriger les prières, à la demande de communautés musulmanes établies en France. La tolérance française vis à vis de l’islam est largement unilatérale, sans aucune réciprocité. Il est scandaleux que la Grande Mosquée de Marseille soit financée par l’Algérie pratiquant une épuration anti-chrétienne légale, affichée et fièrement assumée. En autorisant la construction de mosquées sponsorisées par l’Algérie (la mosquée de Tours a également bénéficiée d’un soutien financier Algérien),  la France envoie un signal clair à tous les pays musulmans dotés de législations anti-chrétiennes: vous pouvez non seulement continuer à nous islamiser, mais nous ne vous tiendrons jamais rigueur des discriminations et persécutions appliquées à vos minorités, fussent-elles autochtones, au nom de ce même islam dont nous vous assurons la bienveillante protection.

 

Joachim Véliocas, Observatoire de l’islamisation, février 2009.

 

[1]              Arezki Ait-Larbi, Offensive anti-chrétienne en Algérie, Le Figaro, 27/05/2008

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15/02/2009 | Lien permanent

François Fillon, le mieux placé pour faire la morale au FN ?

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Le Premier ministre inaugurant le 28 juin dernier la mosquée d'Argenteuil, contrôlée par l'Algérie qui punit la diffusion du christiannisme en vertu de sa loi de mars 2006. 

Rappel de deux de nos anciens articles :

 1- Fillon promet 170 000 visas/an à l'Algérie :

ALGER (AFP) 21/6/2008 :

 — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem (islamiste notoire), a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur "la nécessité d'une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays".(...)

   La France, régulièrement critiquée par l'Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d'environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997.

  Paris a rouvert ses consulats d'Annaba (est) et d'Oran (ouest), fermés dans les années 1990, et fait valoir que l'instruction des visas, qui avait été transférée à Nantes (ouest de la France), retourne progressivement vers l'Algérie." Lire l'intégralité de la dépêche AFP. 

   Le gouvernement UMP octroie trois fois plus de visas aux Algériens que les socialistes en 1997...tant qu'ils ne débarquent pas (encore) à Sablé-sur-Sarthe, François Fillon est tolérant.

 

2- Fillon, seul Premier ministre de l'histoire de France à inaugurer une Grande mosquée/université islamique, sous tutelle algérienne...

Le Premier ministre français a donc inauguré la mosquée Al-Ishan lundi 28 juin. Une information de Libération qui consacre un article à l'évènement, où 800 personnes sont invitées par Matignon, dont évidemment le président du Conseil "Français" du Culte Musulman, le marocain Mohamed Moussaoui  qui était le 5 juin dernier amiclament aux côtés d'un islamiste syrien apologiste du djihad  offensif (j'en ai été le témoin direct voir cette  vidéo) pour inaugurer la mosquée de Roissy-en-Brie.

Le ministre des Affaires religieuses algérien, Bouabdallah Ghlamallah, islamiste notoirement anti-chrétien, fut annoncé. Ses déclarations fracassantes contre l'évangélisation de l'Algérie, et son zèle quant à l'application des lois de mars 2006 réprimant l'apostolat n'ont déclenché aucune réactions en France, malgré les 2 à 5 ans de prison qu'encourent les évangélistes dans l'état FLN. Ainsi, la mosquée Al-Ishan d'Argenteuil est contôlée par l'Algérie, qui y nomme l'imâm, à l'encontre de tout le discours officiel sur un islam supposément "de France".

  Les photos du site Internet de la mosquée montrent des salles de classes de la future "Université" (terme employé par l'association) où sera enseignée la charia, ou "science religieuse", reconnue pourtant comme incompatible avec les démocraties européennes par un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme du 13 février 2003. François Fillon a préfèré parler de "centre culturel", n'ayant pas le courage d'appeller école coranique une école coranique . Mais les Français ne sont pas dupes. Lire la suite

Joachim Véliocas, décembre 2010. Auteur de L'islamisation de la France (éditions de Bouillon,2006) et de Ces maires qui courtisent l'islamisme (éditions Tatamis, 2010)

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15/12/2010 | Lien permanent

Totalitarisme islamique : le réveil des clercs ?

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    Monseigneur Guy Bagnard, du Diocèse de Belley-Ars , vient de publier un article sur les interrogations que soulèvent le baptême de Magdi Allam (voir notre note sur la portée de cet évènement) :
                                                          
"L'islam accepte-t-il qu'un musulman qui change de religion puisse continuer à mener sa propre vie sans danger ? Dans l'islam, quitter sa religion est-il passible de mort ?" Si la question est ramenée à sa plus simple expression, c'est que bien des faits jettent le doute quant à la réponse.

Par exemple, combien de musulmans devenus chrétiens ont-ils été obligés de quitter leur pays d'Algérie, pour mener leur vie en sécurité ? Il n'y a pas si longtemps, un prêtre catholique a été condamné en Algérie à deux ans de prison, "pour avoir prié hors d'un lieu de culte" officiellement reconnu.

On ne compte pas les chrétiens agressés en Irak, et cela bien avant l'assassinat de l'archevêque chaldéen de Mossoul, Mgr Rahho. "On nous intimide, on nous menace, on nous rançonne, on nous enlève, on nous tue, parce que nous sommes chrétiens. Personne n'est épargné : enfants, femmes, vieillards, laïcs et religieux. On ne compte plus les églises touchées par des attentats à la voiture piégée" (Le Monde, 25 mars 2008).

A voir encore plus largement, certains constats s'imposent. Le Père Henri Boulad, Recteur des Collèges jésuites au Caire, explique que dans aucun des 57 pays musulmans, la liberté religieuse n'existe.
(lire une interview du Père Boulad)
"L'islam est un système englobant, à la fois religion et idéologie ; si l'islam accepte de séparer le religieux du social, il ne sera plus l'islam". Voilà qui met en évidence une structure de fond de la religion musulmane, comme un de ses principes régulateurs.

On sait que l'islam et le christianisme se présentent comme deux religions universelles, parce que le contenu de la foi qu'elles énoncent est pour elles l'expression de la vérité sur Dieu et sur l'homme. Dans ces conditions, un dialogue est-il possible ?
(lire l'intégralité de l'article)

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06/04/2008 | Lien permanent

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