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Dalil Boubaker amalgamerait-il islam et violence ?


Dalil Boubaker n'a aucune légitimité islamique (ini cheikh, ni ouléma, ni cadi) dans son confortable poste de fonctionnaire algérien "à la limite de la diplomatie" comme il dit, et n'a aucune prise sur l'opinion musulmane en France. Très critiquée, la Grande Mosquée de Paris qu'il dirige n'est pas à moitié vide pour rien le vendredi. Devant l'avalanche de faits quotidien rappelant que l'islam radical progresse partout dans le monde, il ne peut que constater l'évidence :

"L’islam est plus qu’une simple religion, c’est un fait politique majeur de notre temps. C’est un phénomène socio-politique, c'est une idéologie de lutte, c'est une idéologie d'agression (...) ce sont des phénomènes populaires, la dérive est générale, mondiale, touche les populations musulmanes" (Dalil Boubaker- RMC-3 janvier 2011)

Imaginons le tollé qu'auraient suscité de tels propos dans la bouche de Marine le Pen !

Remarque sur son intervention :

- Il affirme que les écoles juridiques du Maghreb (Malékisme, Chaféisme) ne condamnent pas à mort ceux qui quittent l'islam : c'est un mensonge grossier.

- Incohérent, il affirme également que le terrorisme n'a rien à voir avec l'islam

- Boubaker n'ose citer aucun nom d'islamistes lorsqu'il dénonce des individus conseillant des autorités européennes : il a peur de se couper encore plus de l'opinion musulmane solidaire de Tariq Ramadan par exemple.

 - Incohérent, il a soutenu avoir des "convergences fortes" avec l'UOIF (inspirée par les Frères musulmans) le 26 mars 2005 au congrès du mouvement islamiste, et avait plaidé dans les colonnes du JDD en février 2003 pour que les imâms en France soient formés par l'Université islamique d'Al-Azhar "qui offre le meilleur niveau" disait-il, alors qu'elle enseigne le djihad offensif envers les Chrétiens, pour une analyse développée cliquer ici :

(l'extrait suivant est issu du livre L'islamisation de la France paru en 2006 aux éditions Godefroy de Bouillon, les notes de bas de pages ont été remplacées par #, échec lors du copier/collé ) :

 

Dalil Boubakeur : une modération contestable.


Le partenariat avec Al-Azhar

« La mosquée égyptienne Al-Azhar va former des imams français » titrait le journal Le Monde le 2 octobre 2005. Philippe Douste-Blazy, lors de sa visite en Egypte du jeudi 29 septembre fut accompagné du recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, afin d’y rencontrer le cheikh Mohammed Tantaoui qui, on l’a vu, perçoit l’Arabie Saoudite comme un modèle en matière de droits de l’homme. Le grand quotidien rapportait alors que « selon un conseiller de l'imam, Ali Al-Samman, l'objet de cette rencontre à huis clos, dont il n'a été donné aucun compte rendu officiel, était la mise en place d'un "projet de coopération" entre leurs deux institutions, ayant pour cadre la lutte contre l'islamisme radical. "Il s'agit d'organiser la formation d'imams français à Al-Azhar et d'envoyer des imams égyptiens d'Al-Azhar enseigner dans les écoles Coraniques françaises," affirme M. Al-Samman. "Il faut voir les choses en face : la France est en proie à un foisonnement d'imams venus d'on ne sait où, prêchant un islam fanatique, tel que le wahhabisme »
Al-Azhar, pépinière d’imams modérés, recours à l’islam radical? On aimerait le croire. Le cas d’ Abdel-Samie Mahmoud Ibrahin Moussa, arrivé en février 2003 en tant qu’imam de la grande mosquée de Rome et mandaté par Al Azhar, est éclairant. La deuxième ville de l’Occident conquise après Constantinople sera Rome d’après les dires Mahomet rapportés par un hadith. La ville représente donc un enjeu de taille pour l’islam et Al-Azhar ne pouvait que placer un des ses représentants des plus autorisé et qualifié pour accomplir une telle mission prophétique. Son radicalisme créa un tollé en Italie et il fut rapidement exclu du pays. Extraits d’une de ses prêches dont les propos  font frémir : « Allah fait triompher les combattants musulmans de Palestine, de Tchétchénie, du monde entier » ; «  Allah détruit les maisons des ennemis de l’Islam » ; « Allah étouffe l’ennemi de l’Islam ».
Voici ce que rapporta le quotidien espagnol  ABC, qui traita le sujet à la différence des médias français :

« Le nouvel imam de Rome a emmené de l’Université islamique du Caire une culture anti-occidentale et anti-juive, chargée de préjudice et de répression envers les femmes, qui se concrétise chaque vendredi dans ses sermons, au nombre de 28 seulement pour l’instant, mais tous chargés de polémique. Comme nombre d’autres imams de mosquées européennes, moussa qualifie les attentats suicides en Israël d’ «actes légitimes » et d’ « opérations de martyr pour libérer la Palestine  […]Dans ses diatribes, il n’y a pas de clémence envers les femmes « la femme doit obéir au mari, sauf dans le cas où il l’oblige à commettre un pécher  […] Quant aux mariages mixtes, l’imam averti que dans ce cas il est illicite de se marier avec des femmes juives car leur « peuple combat les musulmans » # .

L’Italie connut en 2003 une recrudescence de scandales dus à des imams contrôlant quelques unes des plus grandes mosquées du pays. Les médias français, pour ménager une opinion publique méfiante à l’égard de l’islam, ont sciemment occulté les réalités de l’islam en Italie, en grande partie radicales : l’imam de la mosquée de Crémone, Mourad Trabelsi, fut arrêté pour association avec terrorisme islamique, l’imam de Florence fut entendu par la police pour les mêmes raisons. Amar Sahounana, Algérien, imam de la mosquée de la place Larga al Mercato à Naples considère que les musulmans ont l’autorisation divine pour lancer le jihâd contre les occidentaux au motif extravagant que   « L'Occident fait plus de victimes que les deux guerres mondiales réunies. Les nations musulmanes doivent donc réagir pour se défendre# ». Pour Abdellah Labdidi, imam de la mosquée Er Rahma de Fermo, les attentats du World Trade center furent perpétré par la CIA au motif que « les mudjahidin d'Al-Quaëda ne tuent ni les femmes, ni les enfants ». Said Mahdi Nasr, Égyptien, imam de Bologne lui félicite les musulmans mort en martyr pendant le ramadan. Ainsi, le discours consistant à voir en ce genre d’imams des exceptions extrémistes ne reflétant pas « la majorité de l’islam, pacifique, dont l’image est ternie par des radicaux marginaux », est de plus en plus difficile à faire croire.


Boubakeur : « Al-Azhar offre le meilleur niveau »

Dalil Boubakeur, président du CFCM et réputé modéré, a déclaré au journal Le Monde avoir besoin « d'imams de qualité, formés par des établissements de qualité. Al-Azhar offre le meilleur niveau d'enseignement et ce, depuis très longtemps »# . La qualité d’ Al-Azhar, c’est  d’être un centre décisionnel et de formation islamiste, comme le chapitre 4 l’a démontré (voir supra), les propos de Boubakeur sont donc très inquiétants. Boubakeur, dans un élan d’ « islamiquement correct », continua son vibrant éloge d’Al-Azhar, en fustigeant les « idées simplistes et horribles sur l’islam » que seuls des français ignares pourraient avoir, totalement infondées selon le Recteur :
« l'amalgame et l'ignorance qui engendrent -en France- des idées simplistes et horribles sur l'islam" et a rendu hommage à "l'islam de tolérance prôné par Al-Azhar, la Mecque de l'exégèse ».
Certes le Cheik Tantaoui fut celui qui autorisa la loi sur le voile en France à la suite d’une rencontre de Nicolas Sarkosy recherchant une caution islamique à une loi pouvant être source de graves tensions. Mais il ne faut pas oublier que le Cheik eut une position isolée au sein du Front des Oulémas, sorte de conseil législatif contrôlant Al-Azhar. Comme le dit  Moustapha Bakri, rédacteur en chef de l'hebdomadaire indépendant Al-Osboa au journal Le Monde :
« Tantaoui est perçu comme la bouche de Moubarak, qui a jadis réclamé la destitution du cheikh : pour s'en débarrasser, tous les oulémas réclament le droit d'élire eux-mêmes le grand imam d'Al-Azhar. Tantaoui est en minorité dans sa propre maison. » #

Al-Azhar et le jihâd

En 1968, eut lieu dans l’université un symposium devant clarifier la notion de jihâd. Le colloque qui fit plancher des dizaines de « savants », dont les principaux théologiens musulmans, accoucha d’une publication de mille pages#. Jamais un tel évènement ne s’était vu et ne se reproduisit ultérieurement, les théologiens firent le point de tous les textes des commentateurs et savants de l’islam sunnite. Il ressortit du colloque que le jihâd guerrier est toujours une obligation collective, les conclusions de cette véritable somme sont claires :

« Le jihâd ne se terminera jamais, il durera jusqu’au jour de la Résurrection, quand ses buts seront atteints, par le rejet de l’agression et la reddition de l’ennemi […]. Le jihâd a renforcé la religion et augmenté le nombre de fidèles d’Allah […]. Pour ceux qui sont loin, le djihâd est un devoir par procuration. Les différents moyens de soutenir et de consolider les combattants du jihâd, tels l’apport financier, l’usage de la langue et de la plume, le recours aux tactiques politiques, font partie du combat. Le jihad a été légitimé pour devenir un moyen de propagation de l’islam. ( ndlr : jihâd offensif). En conséquence, les non musulmans doivent venir à l’islam soit de leur plein gré, soit par la force. La guerre est la base des relations entre les musulmans et leurs adversaires, a moins qu’il y ait une raison valable pour faire la paix, par exemple l’adoption de l’islam par l’adversaire ou un traité de paix mutuel. Mais les musulmans sont libres de rompre leur pacte avec leurs ennemis s’ils suspectent ceux-ci de vouloir les trahir. »

Depuis la publication du document, aucune voix de l’université, cheikhs, oulémas ou professeurs ne l’ont jamais remis en cause. Et pour cause, le temple de l’orthodoxie islamique ne peut abroger des principes aussi fondamentaux, définis depuis des siècles par tous les grands juristes sunnites.

Sayyed Al-Qimni, écrivain progressiste, professeur de sociologie et de religion à l'université du Caire, dénonça  dans un article# de l'hebdomadaire Roz Al-Youssef certains manuels et textes de référence enseignés aux étudiants d’Al-Azhar. Parmi ceux-ci, on trouve un livre du théologien hanéfite ibn Mahmoud exposant que :
« la guerre contre les infidèles est une obligation pour tout homme valide, libre, intelligent et en bonne santé (…). Et quand les musulmans assiègent leurs ennemis dans une ville ou une forteresse, ils doivent les exhorter à se convertir à l'islam. S'ils se convertissent, [les musulmans] doivent cesser de les combattre, mais s'ils refusent de se convertir, ils doivent les exhorter à payer la jizya [impôt]. S'ils refusent de payer la jizya, les musulmans doivent demander l'aide d'Allah pour les combattre »#

Al-Qimni dénonce aussi l’ouvrage d’un diplômé d’Al-Azhar enseignant l’attitude discriminatoire à tenir envers les dhimmis :
« Il leur est interdit de construire de nouvelles églises ou de reconstruire celles qui sont détruites (…) Il leur est interdit de construire un monument dont la hauteur dépasse les constructions des musulmans (…) Il faut leur interdire d'élever la voix quand ils pleurent leurs défunts. Si un dhimmi  invite un musulman à un mariage, ce dernier doit refuser l'invitation, parce qu'il convient d'humilier le dhimmi.'» #



Des « convergences trop fortes » avec l’UOIF

Dalil Boubakeur, s’exprimant en février 2003 dans les colonnes du Journal du dimanche, se prononça au sujet des interrogations de la presse sur la nature fondamentaliste de l’UOIF. Pour le recteur de la mosquée de Paris, il n’y a pas lieu de s’en inquiéter :
« L’UOIF ne me parait ni subversif ni dangereux. »#

Entre temps, il créa le malaise en annonçant sa volonté de démissionner du CFCM, devant cohabiter avec l’UOIF qui, surprise, fut la grande gagnante des consultations d’avril 2003. Convaincu par Nicolas Sarkozy de ne pas torpiller ce qu’il considère comme une victoire politique, Boubakeur resta à la tête du CFCM. Le 26 mars 2005 au Bourget, il est  aux côtés du président de l’UOIF Lhaj Thami Brezen. Bien révolue l’époque où il menaçait de démissionner à cause du radicalisme de l’UOIF, il fait dorénavant cause commune :

« notre vieille amitié, c’est une amitié d’une décennie[…] nous voulons taire nos différences ou nos divergences de points de vue pour voir l’essentiel, l’essentiel. L’essentiel nous l’avons dit c’est la réussite de la communauté musulmane dans son insertion harmonieuse, sereine, dans la société française »

- Un journaliste pose la question : « mais il en reste des divergences ? »

- Boubakeur : « heu écoutez, des divergences non, nous avons été très francs, vous savez on a jamais caché nos divergences quand il y en a eut nous l’avons dit à un moment donné pour la constitution du CFCM, nous n’avons pas été tout à fait d’accord, et pendant le parcours de la consultation forcément il y a eut des moments mais là récemment avec la fondation nous avons vu que nos convergences sont vraiment trop fortes , sont vraiment importantes, donc nous allons inch’Allah aujourd’hui poser la pierre à partir de laquelle nous allons construire la confiance et le dialogue qui nous manquait vraiment […]  Nos différences de visions ne doivent pas nous diviser, car nos objectifs sont tous convergents, seules nos méthodes peuvent différer. »

Ainsi, à l’aune de ses déclarations on peut considérer que son attitude de cordon sanitaire envers l’UOIF qu’il prônait jusqu’en 2004 ne fut que pure stratégie téléguidée par Alger, afin de bénéficier du brevet de modération le propulsant à la tête du CFCM. De plus, l’islam pratiqué en Algérie étant de rite malékite, on aurait pu s’étonner d’un recteur partisan de l’islam réformiste libéral.
A l’issue de la publication de caricatures de Mahomet dans Charlie hebdo, Dalil Boubaker conjointement avec Fouad Alaoui de l’UOIF a annoncé le 23 mai 2006 vouloir  « porter plainte au pénal » contre les dessins assimilant Mahomet à un personnage violent. Les avocats des deux organisations musulmanes qu’ils représentent (Ouassini Mebarek pour l'UOIF, Chems-Eddine Hafiz, Christophe Bigot et Francis Szpiner pour la GMP), ont choisi une plainte pour « injures publiques » et « diffamation ». La collaboration entre la GMP et l’UOIF est dorénavent concrète.

En ce qui concerne la loi sur le voile, Boubakeur est pour le communautarisme permettant aux filles mineures de subir le voile dans des écoles islamiques :

« Nous allons trouver des solutions, trouver des solutions dans le cadres des écoles privées musulmanes »


L’Algérie : le vrai pays de Boubakeur

Lors du conseil d’administration du 28 mars 1998  de La société des habous et des lieux saints de l’islam, qui gère la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur demanda de « respecter la France qui a toujours fait beaucoup et qui est notre deuxième pays »
Cela veut dire que le premier pays est bien entendu l’Algérie. Etrange aveu du promoteur de l’ « islam à la française ». Comment veut-on que les français considèrent les immigrés originaires d’ Algérie comme des français à part entière si le plus autorisé d’entre eux se considère d’abord Algérien ? En tant que tel, le Recteur obéit au gouvernement Algérien et se doit de « venir au rapport » afin de flatter sa hiérarchie. Lors de l’année 1999, lors des tractations pour aboutir à ce qui deviendra le CFCM, Dalil Boubakeur dut rendre compte de leur contenu à Bouteflika, rapporte une note de la Direction centrale des renseignements généraux#. Aussi, un rapport à l’intention du ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant assure que « l’emprise des pouvoirs publics algériens sur la Société des habous est totale : certains des fidèles de la confrérie des Boubakeur ont pu négocier avec Alger la récupération de bien en Algérie ou tout simplement la possibilité de s’y rendre sans être inquiétés »#Alger subventionne largement l’association et met à disposition gratuitement des Imams algériens pour exercer la prédication et la propagation de l’islam en France ( Dawa).

Autre illustration de la nature foncièrement étrangère de la « Société des habous et des lieux saints de l’islam », Chems-eddine Hafiz, bras droit de Boubakeur et avocat patenté de l’ambassade d’Algérie déclare lors d’un « chat »# Internet :

« Le Conseil d'administration de l'association "Société des Habous et des Lieux Saints de l'Islam", propriétaire de la Mosquée de Paris, est composé de membres originaires d'Algérie, du Maroc, de Tunisie, d'Egypte et du Sénégal# »


Quand Boubakeur veut violer la loi de 1905

Dalil Boubakeur, devant l’inflation grandissante des musulmans en France faisant le hadj, c'est-à-dire le pèlerinage à la Mecque, demanda le 21 septembre 2005 à ce que la République française prenne en charge financièrement l’encadrement sur place des pèlerins. Déclarant à l’AFP que Chirac « avait promis il y a deux ou trois ans d'agir sur l'ambassade et le consulat de France en Arabie pour la constitution d'une mission française du pèlerinage qui suivrait le devenir de nos pèlerins en Arabie »,  il déclara : « Nous allons lui demander de budgéter cette mission ». On imagine l’indignation qu’aurait suivit une demande de l’épiscopat français de budgéter  l’accompagnement des pèlerins français à Saint-Jacques de Compostelle. L’Arabie Saoudite n’aurait donc pas les moyens de subvenir aux exigences sécuritaires de ses hôtes ? La fortune colossale de la famille royale serait pourtant plus appropriée que le budget à crédit de l’Etat français pour financer ce pèlerinage paien confisqué par l‘islam."

Teste issu des pages 164 à 169 du livre L'islamisation de la France

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03/01/2011 | Lien permanent

Des musulmans attaquent une église de Bethlehem, nombreux blessés.

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Lu sur Dreuz.info du 20/05/2014

Des Chrétiens – y compris des enfants – attaqués, agressés, et blessés par des musulmans, la fête de la Saint George, une journée importante pour les Chrétiens de Palestine, ne s’est pas bien terminée pour ceux qui la célébraient ce 6 mai au monastère Saint George près de Bethlehem, dans le village al-Khadar, (Saint George en Arabe).

Chaque année, des Chrétiens palestiniens, et même certains musulmans, se réunissent au monastère, ainsi que dans d’autres lieux de la région pour commémorer le martyr de George.

Lela Gilbert, auteur de Peuple du samedi, peuple du dimanche (Saturday People, Sunday People, Israel through the Eyes of a Christian Sojourner*), a fait le témoignage suivant :

“Des musulmans ont voulu garer leur voiture très près de l’église, où ont tenté d’entrer à l’intérieur pendant la messe en l’honneur de Saint George – les premiers éléments de l’enquête ne sont pas encore clairs. Mais quand les intrus furent priés de sortir, l’un d’entre eux a poignardé un des Chrétiens qui se trouvait à l’extérieur de l’église et servait de garde. Il a été ensuite hospitalisé. Puis plusieurs musulmans ont commencé à lancer des pierres contre l’église. 7 ou 8 Chrétiens agressés ont été blessés, des dégâts physiques ont été commis contre l’église, des vitraux cassés, etc. Et bien entendu, comme dans toute agression de chrétiens en terre d’islam, la police s’est empressée de ne pas apparaître avant une heure.”

47 secondes de l’agression ont été enregistrées sur un smartphone par une des victimes, qui l’a publiée sur YouTube – sans quoi les musulmans soutiendraient que c’est une invention:

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20/05/2014 | Lien permanent

L'Archevêque franciscain de Tanger dénonce les lois anti-chrétiennes du Maroc

Lu dans EMarrakech :

« Si on est citoyen marocain, on ne peut être que musulman ou juif. Les chrétiens ne sont que des étrangers. Il est interdit de prêcher en dehors de la communauté, c’est un fait et c’est la loi ».

grande-1213471-1362133.jpgAinsi regretta Santiago Agrelo Martinez, détaché au Maroc depuis 2007 en tant qu’archevêque franciscain de Tanger.

Interrogé par un média chrétien suisse, le responsable chrétien s’est dit regrettant l’incapacité de son institution de pratiquer l’évangélisation franche des musulmans, vu les lois marocaines anti-prosélytismes rigoureuses et grandement véhémentes.

Interrogé par un média chrétien suisse, le responsable chrétiens’est dit regrettant l’incapacité de son institution de pratiquerl’évangélisation franche des musulmans, vu les lois marocaines anti-prosélytismes rigoureuses et grandement véhémentes.

L’expulsions par le gouvernement Abbas El Fassi en 2009 et en 2010 de chrétiens étrangers accusés de faire du prosélytisme « nous a fait comprendre la fragilité de notre situation » s’inquiète t il, s’insurgeant que «il y a dans ce pays des lois anti-prosélytisme, que je considère comme injustes, car elles nous empêchent de manifester concrètement et publiquement ce à quoi nous croyons ». Nuançant tout de même que son église est libre d’agir socialement et culturellement bénéficiant pour cela d’une couverture juridique grâce à un dahir royal décrété en sa faveur par feu Hassan II. (...)

« Le domaine le plus important de nos activités est celui de l’éducation, … les projets d’alphabétisation, d’appui scolaire, de formation professionnelle, de promotion de la femme. …des cours de langue ... nous disposons de centres culturels, de bibliothèque, d’activités de dynamisation culturelle et d’une école agricole.» 

Et d’ajouter que ses services assurent « le soutien aux handicapés physiques et psychiques, aux enfants sourds-muets » et distribuent « des repas et d’habits pour les plus pauvres ». suite et source.

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19/05/2012 | Lien permanent

Bouteflika va libérer 7000 islamistes sur pression des salafistes

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 Deux dirigeants islamistes, cheikh Abdelfateh Zeraoui, important prédicateur salafiste , et  cheikh Hachemi Sahnouni, l'un des fondateurs du Front islamique du salut (Fis) ont adressé une lettre au président Bouteflika, dont Reuters s'est procuré un exemplaire, le félicitant d'avoir pris la «bonne et courageuse décision» d'accorder une amnistie générale à environ 7000 islamistes emprisonnés lors des années de guerre civiles, essentiellement issus des troupes de l'Armée Islamique du Salut. En échange de ces libérations, Zeraoui et Sahnouni se sont engagé à se détourner de l'activisme violent.

"Bouteflika, qui s'efforce de soustraire l'Algérie au vent de révolte qui souffle dans d'autres pays arabes, doit s'assurer des soutiens parmi les islamistes, qui représentent un courant social influent." rapporte quant à elle l'AFP le 15.05.2011

Rappel :

 Fillon promet 170 000 visas/an à l'Algérie :

ALGER (AFP) 21/6/2008 :

 — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem (islamiste notoire), a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur "la nécessité d'une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays".(...)    La France, régulièrement critiquée par l'Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d'environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997.

Et c'est ainsi que la France importe des centaines de milliers d'Algériens chaque année, dont une proportion non négligeable doit être fort probablement acquise aux thèses islamistes, étant donné la prégnance sociétale des fondamentalistes dans le pays. Tant que les femmes voilées n'envahissent pas le marché de Sablé-sur-Sarthe, Fillon n'est pas plus inquiet que ça...

Observatoire de l'islamisation- mai 2011

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19/05/2011 | Lien permanent

Fillon ment aux Français sur la politique migratoire qu'il mena et mènera

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Y-a-il trop d’immigrés en France, a demandé France 2 à l’ancien Premier ministre auquel était consacrée l’émission « Des paroles et des actes ». « Oui », a-t-il répondu. « la France est aujourd’hui dans l’incapacité d’accueillir dans des conditions décentes tous les gens qui veulent venir y vivre ». « Donc il faut réduire la politique d’immigration », a dit le député de Paris . 200.000 entrées par an, « c’est trop dans un pays de situation de chômage, de crise économique, qui doit réduire sa dépense publique et qui a des problèmes de cohésion nationale », selon Fillon.

François Fillon lors de son voyage officiel en Algérie de juin 2008  promit 170 000 visas par an aux Algériens. :

"ALGER (AFP) 21/6/2008 :

 — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem [islamiste notoire], a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur "la nécessité d'une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays".(...)   La France, régulièrement critiquée par l'Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d'environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997 [sous Lionel Jospin!]

Le chiffre de 200.000 est celui des titres longs séjours de dix ans automatiquement renouvellables, qui fut identique sous le gouvernement Fillon! 

Le 7 juillet 2011 – Invité dans l’émission Bourdin&Co sur RMC/BFMTV, le ministre de l’Intérieur du gouvernement Fillon/Sarkozy, Claude Guéant, se dédouana d'être xénophobe en démontrant que sa politique était ultra-laxiste : « La France n’est pas fermée, écoutez : 200.000 autorisations de séjour par an Jean-Jacques Bourdin ! C’est l’équivalent d’une ville comme Rennes, je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que ça représente. » Donc en fin de quinquennat Sarkozy, on apprenait par son ministre de l'Intérieur censé incarner une ligne dure, que l'invasion de la France est organisée avec une pluie de titres de séjours !

Les visas courts séjours comme les 150000 pour l'Algérie (chiffre 2010) chaque année (170000 ne fut pas atteint selon les chiffres officiels) ne sont que très rarement médiatisés, surtout durant le précédent quinquennat car ils démontrent le décalage énorme entre la communication de l'UMP et les chiffres: juste pour l'année 2008, 150 000 visas pour le Maroc, 80 000 pour la Tunisie,110 000 pour la Turquie et 130 000 pour l'Algérie furent délivrés. Le gouvernement Sarkozy-Fillon régularisait 25 000 clandestins chaque année, alors que la lutte contre l'immigration clandestine fut un grand thème de campagne de Sarkozy en 2007.

Lire notre article Copé et Fillon convergent pour augmenter l'immigration algérienne

Lire notre dossier démontrant que la droite a accéléré l'immigration : Bilan migratoire gouvernemental: 2002-2012

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06/06/2013 | Lien permanent

Merci monsieur Villiers

    C’est avec satisfaction, 11 jours après ma préconisation de l'interdiction des mouvements salafistes en France lors du colloque « Quelle politique face à l’islam ? », que Philippe de Villiers réclame une telle mesure, suite aux nouveaux attentats en Algérie. Je me félicite qu’un homme politique, quelle que fusse sa couleur, ait le courage de mettre en évidence le lien limpide entre islamisme et terrorisme, faisant fi des indignations naïves du politiquement correct.

 

Joachim Véliocas, directeur de l'Observatoire de l'islamisation

 

 

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Djemila Benhabib sur RFI : «Les soldats d’Allah à l’assaut de l’Occident»

RFI- Religions du monde - 04/11/2012 - 1ère partie- Par Geneviève Delrue
(19:30)

djemilla.png"Après « Ma vie à contre Coran » (VLB), Djemila Benhabib signe un livre choc sur l’islam politique qui pénètre, selon elle, l’Occident en se faufilant dans les zones fragiles des démocraties. L’islamisme s’est renouvelé. Il utilise avec ruse la rhétorique occidentale. Victimisation, culpabilisation, multiculturalisme sont ses armes de combat qui lui ont permis d’obtenir le soutien naïf d’une partie de l’intelligentsia de gauche. Port du voile, de la burqa, tribunaux islamiques, piscines séparées, accommodements raisonnables, autant de demandes liberticides pour les femmes dénoncées par Djemila Benhabib, dont la famille menacée par les islamistes dut quitter l’Algérie en 1994. Depuis 1997, Djemila Benhabib vit au Quebec où elle poursuit son combat."

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06/11/2012 | Lien permanent

”La police m'a incité à quitter Marseille...je suis blonde” (min 18'30'')

Une multitude de témoignages sur la délinquance "à 90% nord-africaine" selon un auditeur, dans Marseille et sa région, Sète ou Toulouse. Les auditeurs sont unanimes: pour vivre en paix, il faut fuir les zones occupées. Les auditeurs parlent de guerre potentielle, de camps nécessaires pour interner les "jeunes", et d'inversion des flux migratoires.

Les responsabilités politiques sont pourtant parfaitement identifiables lorsque le nombre de visas ANNUELS pour l'Algérie octroyé est de 140 000, 150 000 au Maroc et 110 000 à la Turquie.  La politique migratoire des gouvernements successifs de ces 30 dernières années (alors que la crise économique a commencé en 1973 !) relève de la haute trahison, d'un crime contre notre civilisation millénaire.

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31/08/2011 | Lien permanent

Un grand tournoi de foot inter mosquées à Hénin-Beaumont

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Lu dans La Voix du Nord aujourd'hui (extrait) :

"Des équipes de foot venues de toute la région (et même de Picardie) se sont affrontées toute la journée lors de ce rassemblement organisé en partenariat avec l'ensemble des associations culturelles et cultuelles affiliées à la FRGMP. « Qui dit musulman ne dit pas seulement mosquées, prières, mais aussi des rassemblements festifs de nos frères comme celui-ci, avec des ouvriers, des médecins, des avocats... »,indique Abdelkader Aoussedj, qui refuse d'accoler des symboles politiques à la journée d'hier, voulue comme celle du « rassemblement de la communauté », (...) Dans les tribunes, le drapeau aux couleurs de l'Algérie s'étale fièrement"suite

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02/11/2011 | Lien permanent

Fillon refuse de renvoyer les clandestins Tunisiens !

 

Rappel: Fillon inaugurant la mosquée algérienne d'Argenteuil, dotée d'une Université islamique (notre article) avec une fillette voilée...:

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Rappel 2 :

 Fillon promet 170 000 visas/an aux Algériens :

ALGER (AFP) 21/6/2008 :

 — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem (islamiste notoire), a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur "la nécessité d'une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays".(...)   La France, régulièrement critiquée par l'Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d'environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997.

Observatoire de l'islamisation, mars 2011

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09/03/2011 | Lien permanent

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