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L'Institut des cultures d'islam, 22 millions d'euros pour les contribuables parisiens

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16/12/2011 | Lien permanent

L'Institut des Cultures d'Islam de la ville de Paris décrypté par une association de contribuables

Conférence de L'Union de Défense des Citoyens et Contribuables le 28 janvier à Paris, introduite par le conseiller de Paris Serge Federbusch, bête noire de Bertrand Delanoe et collaborateur régulier du média Atlantico.fr. L'ICI, financé à hauteur de 28 millions d'euros par la mairie de Paris, a été décortiqué dans l'ouvrage Ces Maires qui courtisent l'islamisme (éditions Tatamis, 2010).

 

 

 Suite de la conférence ici

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04/02/2012 | Lien permanent

Conférence contre le financement public de l'Institut des Cultures d'Islam à Paris le 28

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23/01/2012 | Lien permanent

Delanoë mis au pied du mur sur le financement de l'Institut des cultures d'islam

Lu sur le site de L'Union des contribuables et des citoyens:

"La loi de 1905 interdit le financement des cultes (article 2). Or l’ICI est un faux-nez « culturel », qui sert de paravent à la construction de deux mosquées (a-t-on déjà vu un centre culturel, financé par les deniers publics, contenir en son sein une église, une synagogue, un temple protestant ou bouddhiste ?), qu’aucune des deux associations musulmanes présentées comme bénéficiaires n’avait l’intention ni les moyens de financer.

« L’emballage » culturel des deux mosquées est financé à 100% (22 millions d’euros) par les contribuables, et « l’espace cultuel » (les mosquées), dont la Mairie de Paris prétend qu’il sera financé de manière privée, est garanti à hauteur de 100% (6 millions d’euros) par la Mairie de Paris, c’est-à-dire par le contribuable.(...) la Cour Européenne des Droits de l’Homme, dans son jugement du 13 février 2003, a déclaré : « La charia est incompatible avec les principes démocratiques ».

Or aucune des deux associations musulmanes concernées par le projet de l’ICI n’a donné la moindre assurance ni la moindre preuve que ses enseignements sont débarrassés de la charia et de ses concepts discriminatoires, violents et contraires aux principes républicains lire la suite

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05/11/2011 | Lien permanent

Soirée Soufie à l’Institut des cultures d’Islam fondé par Bertrand Delanoë

       

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   Deux confréries ayant pour projet l’installation de la charia en Occident sont invitées le 15 septembre à émouvoir musicalement les parisiens, dans le cadre des Veillées du Ramadan de la Mairie de Paris. Explications.  

 

1) La Tariqa Qadiriya Boudchichiya 

   Le Samedi 15 septembre 2008 aura lieu une soirée consacrée à la confrérie (tariqa) soufie marocaine Qadiriya Boudchichiya, présentée par le bulletin de l’Institut des cultures musulmanes de Paris (financé et créé par la mairie de Paris)  comme un simple mouvement musical d’ « art du chant », d’ « improvisation mélodieuse qui s’appuie sur la poésie mystique musulmane » . Si la pratique musicale est effectivement une des caractéristiques de la confrérie, celle-ci a surtout vocation à étendre le pouvoir islamique dans le monde entier, en conquérant jusqu’à l’Occident. Un des grands Cheik contemporain de la confrérie, Mokhtar Qadiri Boudchichi, , affirmait en 1968 dans son testament spirituel : 

« Dieu m’a intimé l’ordre de faire connaître les commandements divins (la charia) et d’amener ses Serviteurs sur la voie de la vérité et de la guidance. Il m’a promis la victoire avec l’affermissement de cette vérité en Orient et en Occident. […] Dieu m’a informé, qu’en son temps, notre Tariqa se propagera considérablement » 

   Selon les croyances de cette fraternité soufie, le « Sheik Vivant » descendrait en ligne directe du « prophète » Mohamed, ainsi appelé « hériter Mouhamédien ». L’imitation du Prophète est requise, ce qui ne manque pas d’inquiéter lorsqu’on sait que sa biographie officielle (la Sîra) rapporte qu’à Médine, Mahomet dirigea 19 batailles et razzias… 

   Lors du grand séminaire mondial de la confrérie en décembre 1999, à Casablanca, le docteur Larbi Rahim traita du "Soufisme et modernisme" où il rappela que le premier niveau du soufisme consiste à « respecter les dogmes de l’Islam » ; soit le canon de la loi islamique sunnite, les savants soufis ayant collecté le Hadith : « quels  sont ces hommes […]qui ont collecté les Hadiths du Prophète, sinon les Imams et les Shouyoukhs Soufis ? » expliqua le conférencier. 

 

2) La Tariqa Burhaniya 

   Ce même 15 septembre, l’Institut municipal parisien consacrera la deuxième partie de soirée à écouter une autre confrérie soufie. La Tariqa Burhaniya Disuqiya Shadhuliya, qui fut fondée par Sayyidi Ibrahim al-Qurayshi ad-Disuqi (13e siècle), considéré comme  le quatrième des quatre plus grands Maîtres soufis (Aqtab). Il y a de nos jours des millions de Burhanis et des centaines de communautés burhanies à travers le monde. Depuis 1981, la Tariqa s’est également étendue en Europe et en Amérique du Nord. 

  Le maître Muhammad Uthman (1902-1983) fut l’artisan de l’expansion mondiale d’une confrérie jusque là cantonnée à l’Egypte, où elle compta  3 millions de membres durant les années 70.  Muhammad Uthman avait consigné sa vision de la « réception de la tariqa » syndrome délirant ou extatique -c’est selon- commun à tous les Maîtres succédant à leur père, lui-même « descendant de Mahomet ». 

Voici un extrait de sa vision : 

   « Au cours de mon sommeil et de mes visions, je vis une locomotive tirant un wagon unique arriver vers moi et s’arrêter juste en face de mes pieds. Je réalisai que le train venait de Disuq, le village de mon Sheikh. Ce rêve se répéta pendant 40 jours. Après quoi la vision devint plus tangible et pénétrable. Alors j’ouvris le wagon et trouvai à l’intérieur un cercueil. J’ouvris le cercueil et trouvai un corps enveloppé d’un linceul blanc. Je retirai le linceul blanc et trouvai en dessous un linceul vert. J’ôtai le linceul vert et trouvai en dessous un linceul jaune.
Ce sont les trois couleurs de la Tariqa: Le blanc est celle que le Messager d’Allah, le Prophète Muhammad (saws) a donnée à Sayyidi Ibrahim.
Elle symbolise la loi islamique (Charia). Le vert est la couleur de Sayyidna al Husain et le jaune est la couleur de Sayyidi Abul Hassan al Shadhuli. Le jaune symbolise la conquête des sept égos au long du chemin spirituel »
 

     Ainsi, on voit bien que contrairement à une idée reçue, les Soufis ne sont pas les « bouddhistes de l’islam », sympathiques mystiques n’ayant que des préoccupations spirituelles cherchant un simple détachement au monde. La mise en place de la loi islamique est indissociable de leur projet commun, et ce n’est que dans une terre pacifiée par la charia que peut s’épanouir le Soufi. 

Le « grand jihâd », combat spirituel, le fameux « effort contre ses passions », ne peut se réaliser pleinement que dans une société favorable à l’Islam. Al-Ghazali (1058-1111), appellé "l' argument de l’islam",  grand théologien sunnite, dans son Livre du Repentir, explique le distinguo entre le  petit jihâd , guerrier et expansionniste, avec le grand jihâd, spirituel :        

« La cessation de l’inclination est due à la force de la certitude et à la sincérité de la lutte antérieure […] l’affirmation de celui qui estime cela n’atteint pas le mérite du combat spirituel puisqu’elle relève une incapacité à embrasser le sens plénier du mot jihâd (combat spirituel), car le but du jihâd (guerrier) n’est pas une fin en soi, il vise plutôt le fait de briser l’acharnement de l’ennemi pour qu’il ne t’entraîne pas vers ses désirs et s’il échoue dans sa tentative de t’entraîner ainsi, il ne peut plus t’empêcher d’emprunter la voie de la religion. »[1] 

   Le même Ghazali, connu pour avoir réalisé une synthèse réconciliant Soufis et traditionalistes sunnites explique dans un autre de ses ouvrages majeurs :

« Combattre effectivement est aussi malaisé que de reprendre le souffle. Seul le connaîtra celui qui cherche à extirper l’appétit de son âme. C’est pourquoi les compagnons ont dit « nous revenons du « petit jihâd » pour aborder le « grand jihâd » ils ont donné à la lutte à l’épée contre les mécréants le nom de « petit jihâd ». C’est ainsi que quand on a demandé au prophète « quel est le meilleur des jihâd Ô envoyé de Dieu » il a répondu « Le combat contre tes passions[2] ». 

   Ghazali fut cité lors du séminaire mondial Soufi de la confrérie Qadiriya Boudchichiya évoqué plus haut, il est effectivement une référence transcendant l’histoire, ses livres emplissent les rayons Islam des grandes librairies françaises.                                 

Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation, septembre 2008.  Auteur de « L’islamisation de la France » (Editions Godefroy de Bouillon, 2007) 

 


[1] Abou Hâmid al-Ghazâlî, Livre du repentir,éditions de la Ruche, 2003, p.141

[2] Al-Ghazali, La mesure des Actes, Albouraq, 2005. En vente libre en France, Fnac compris.

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10/09/2008 | Lien permanent

Institut des cultures d’Islam : le stratagème de Delanoë pour contourner la loi de 1905

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Nous avions il y a quelque mois dressé un portrait de la Fondation voulue par Bertrand Delanoë, qui abritera d’ici 2011 une mosquée qui ne dit pas son nom. Le montant des 10 millions d’euros nécessaires au projet n’a pas l’air d’inquiéter les parisiens...encore moins le partenariat avec l’Institut du Monde Arabe, outil de la Ligue Arabe dont nous avons récemment publié les textes islamistes  présents dans sa bibliothèque.

     Samia Hamouche a receuilli pour Saphirnews les explications de  Bertrand Delanoë et de Hamou Bouakkaz (écouter) , le « monsieur Islam » de la mairie de Paris lors d’une soirée au centre de préfiguration du futur Institut. Ce dernier tient des propos pour le moins confus, présentant l’association cultuelle qui achètera les zones cultuelles comme émanant de musulmans n’ayant rien à voir avec la mairie de Paris, alors qu’il présente l’association en en parlant à la première personne…

    La « partie cultuelle » avérée de l’Institut  posait de sérieux problèmes de compatibilité avec la loi de 1905, alors Bertrand Delanoë et son conseiller technique  sur les questions islamiques, ont trouvé un stratagème :

   Hamou Bouakkaz : « Aujourd’hui nous allons constituer une association cultuelle, (ndlr : se rendant compte de sa gaffe, il rectifie aussitôt)  pas nous la mairie, mais nous allons être à l’écoute des musulmans qui vont constituer cette association cultuelle. Cette association cultuelle va acheter des parties du bâtiment en état futur d’achèvement et nous allons lancer des concours d’architecture ( le représentant de la mairie de Paris a une fâcheuse tendance à user de la première personne pour parler des projets de l’association cultuelle)  pour construire deux bâtiments qui sortiront de terre en 2011 2012 »

- S H : Donc il y aura des parties du bâtiment consacrés au culte ?

   H B : « des parties du bâtiment seront consacrées au culte, et des parties du lieu seront heu consacrées à l’Institut des cultures. Et tout ça sera bien identifié, bien reconnu, bien étanchéifié à cause de la loi de 1905 »

- S H : Vous attendez des propositions de leur part (les habitants du quartier) ?

  H B : Naturellement, c’est pour eux qu’on le fait. C’est eux qui prient dehors dans des conditions indignes. (Hamou Bouakkaz parle toujours au nom de la mairie de Paris…décidément, l’association cultuelle a du mal à s’émanciper de la municipalité) C’est pour eux qu’on fait ça. […] pour que la France assume la pluralité des identités  qui la constituent »

- S H : C’est une première en France ?

  H B : Oh écoutez heu faut pas être trop dans l’exemplarité, c’est quelque chose qui ressemble à Paris, je sais pas exactement comment ça se passe ailleurs mais c’est quelque chose d’assez innovant

  Bertrand Delanoë, affirme lui au même micro :  « Il me semblait quand même que la part musulmane de l’identité de Paris était l’une de celle qui était le moins reconnue, qui devait donc faire partie de notre bien commun »

Observatoire de l’islamisation, octobre 2007.

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L'Institut catholique de Paris accueille sa première promotion d’imams

     

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   PARIS, 28 jan 2008 (AFP) Un cycle de cours intitulé "Religion, laïcité, interculturalité" proposé par l'Institut catholique de Paris accueille à partir de mardi une vingtaine d'élèves musulmans de l'Institut de formation de la mosquée de Paris, ont indiqué lundi les initiateurs de cette formation.Vingt-cinq étudiants sont inscrits à ce corpus qui comprend des enseignements de culture générale (histoire), de droit, sur les religions et les cultures. La formation est de 400 heures, dont 210 heures de cours. »

Plusieurs remarques :

-          on notera la triple perle « Religion, laïcité, interculturalité » adossée à un totalitarisme dépassant le spirituel, qui a pour ennemi le concept proprement occidental de laïcité ne possédant d’ailleurs aucune équivalence en langue arabe. Pour ce qui est du multiculturalisme en Terre d’islam, est-il besoin de commenter?  Lorsque l’on se penche sur l’histoire des Assyro-chaldéens et Arméniens de Turquie, celle des Coptes, des Maronites et des Berbères, on a tout compris.

   Les cours seront financés par le ministère de l'Immigration et de l'Intégration, au titre des subventions à l'intégration, indique-t-on au Bureau central des Cultes. La formation est reconnue par l’Education nationale.

   L'Institut de formation de la mosquée de Paris (qui refuse les candidats ne parlant pas l’arabe...religion française?) a choisi comme école juridique de référence le malékisme, et s' inspire ouvertement des programmes enseignés dans les temples de ce rite (Université Qarawine de Fez  et Abdelkader de Constantine), dont les préceptes n’ont rien à envier au Wahhabisme en matière d’obscurantisme. Voir le chapitre III de l’étude « L’islamisation de la France » intitulé « Le malékisme, l’islam du Maghreb ».

  Le rite malékite initié par Malik Ibn Anas (710-795) et vulgarisé par Zayd al-Qayrawani (922 - 996) dit « Le petit Malik »  enseigne :

- Le jihâd offensif (cf  Zayd al-Qayrawani , La Risâla, chapitre 30)

- L’exécution des apostats (cf , Malik Ibn Anas Al-Muwatta’ point 1444 )

-L’exécution des chanoines faisant de l’apostolat (cf , Al-Muwatta’,point 982)

- La légalité de l’esclavage (cf , Al-Muwatta’ , livre 21)

- L’inclusion des femmes dans la composition du butin de guerre, alors licitement violées  (cf , Al-Muwatta’, point 1265 )

-Etc…

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Institut islamique de Lyon : signez la pétition

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Cliquer sur l'image pour signer la pétition.

Un gigantesque centre islamique à Lyon 

Après la Grande Mosquée de Lyon, la communauté musulmane en pleine croissance réclame aujourd'hui un nouveau projet de grande ampleur en sa faveur. Si l'IFCM voit le jour, c'est un immense bâtiment avec un parking souterrain, deux salles de conférences de 288m2 et 156m2, 11 salles de cours (enseignement de la Charia !), plusieurs grandes salles de réception, un hall d'exposition de 97m2, un distributeur de billets de banque, une boutique, une salle de réunion de 48m2, une cafétéria, une bibliothèque, un laboratoire de langue, un espace de détente et même des logements qui seront construits. Ce projet pharaonique s'étendra sur quatre niveaux et plus de de 2 700m2 et emploiera 11 personnes à plein temps. Loin d'être un simple Institut à vocation culturelle, l'IFCM sera un véritable centre islamique de grande dimension.

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Un projet ruineux en période de crise

Selon l'étude d'avant projet menée par l'Institut des Hautes Etudes Islamiques, la construction de L'institut Français de Civilisation Musulmane est évaluée à plus de 8 000 000 d'€. Selon les prévisions annoncées, la commune de Lyon participerait à hauteur de 10%, la région Rhône-Alpes 15%, l'Etat français 15%, L'Union Européenne 25% et le département 10%, soit au total plus de 5 000 000 d'€ d'apports publics. A cette dépense il faudra également ajouter les frais de fonctionnement évalués à 1 000 000 d'€ par an. Au total ces millions d'euros représentent une somme astronomique qui pourrait être beaucoup plus utile ailleurs surtout en cette période de crise, et qui devrait profiter à tous les Lyonnais et non à la seule communauté musulmane. Une communauté qui d'ailleurs ne financera au total que 15% de la construction de l'IFCM. Les contribuables vont donc payer 5,3 millions d'euros pour un institut qui ne concernera dans ses activités que la communauté musulmane. En effet, le programme d'actions est essentiellement tourné vers la religion musulmane avec un objectif de connaissance et de valorisation de la culture islamique sous tous ses aspects. Pourtant, l'argent pour la construction de l'Institut va provenir d'une large majorité de personnes éloignées des contingences islamiques.

Une atteinte grave à la laïcité

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13/08/2009 | Lien permanent

Trappes terre d'islam.


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Clichy terre d'islam : 100% hallal

Present et le Parisien (via le Salon Beige) nous rapportent l’inquiétude des citoyens et de la municipalité de Clichy, bourgade de l’ouest parisien en bordure de Levallois, face à la substitution des commerces traditionnels par des commerces ethniques.

” On assiste partout à la disparition des commerces traditionnels. A Clichy, une ville de 56 000 habitants, il n’y a pas de charcuterie. Il faut aller à Levallois. Les deux dernières fromageries ont fermé il y a plusieurs années. ” La municipalité (de gauche) vient de prendre conscience du problème : «après avoir assisté, impuissante (sic) à la multiplication des taxiphones, bazars, kebabs, boulangeries et boucheries musulmanes, agences de voyages spécialisées vers le Maghreb (…), [la municipalité] a décidé de passer à l’action», note Le Parisien qui résume bien le problème dans le titre de l’article : «Clichy veut limiter la place des commerces ethniques». Première mesure ? Préemption de «la dernière (!) boucherie traditionnelle du centre-ville pour empêcher le repreneur – un artisan maghrébin – d’ouvrir une boucherie halal».

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