Ayaan Hirsi Ali...et les autres

Elles sont nées en Terre d’islam. Elles ont fui leur condition. Elles ont remarquablement bien réussi leur vie en Occident. Elles se sentent investies d’une responsabilité toute particulière, face à la lâcheté des politiques, l’hypocrisie des journalistes et « intellectuels » qui font mine de croire -pour conserver leur poste ou protéger leur vie- que l’islam politique et violent n’est pas l’islam authentique.

  Elles sont Libanaises, Iraniennes, Ougandaises, Turques, Egyptiennes, Burundaises. Leur métier ? Psychologues, journalistes, femmes politiques, sociologues. Elles décortiquent méticuleusement l’idéologie islamique avant de dénoncer l’islamisation de l’Europe.

   Pour elles c’est clair, l’islam est un totalitarisme :

                                                                                    

 « L’islam ne connaît aucune individualité, sa vision de l’humanité n’est pas adaptée à la modernité » Necla Kelek sociologue turque réfugiée en Allemagne.

« Je n’ai aucun espoir en l’islam. Quand une idée est corrompue, on ne peut la réformer » Wafa Sultan, psychologue iranienne réfugiée aux Etats-Unis.

« L’islam, fondamentalement, méprise l’être humain et la femme. » Mina Ahadi, iranienne fondatrice de l’association des ex-musulmans d’Allemagne lancé par 140 personnes ayant héroïquementabjurés publiquement l'islam, au péril de leur vie.

« Les appels à la prière étaient presque toujours suivis d’appels à détruire les juifs et les infidèles » Nonie Darwish, journaliste Egyptienne, fille de Mustapha Hafez Darwish, ancien directeur des services de renseignement à Gaza.

« Qu’il existe des filles dans ce pays qui vivent sous des règles datant de mille ans est une question qu’il faut aborder. »  Nyamko Sabuni, Burundaise réfugiée en Suède, actuellement ministre de l’Égalité, de l’Intégration, de la Démocratie.