Georges Fenech et la mosquée du « Sabre d'Allah »

                                                                     

   Samedi 30 juin 2007, le député UMP de la XIème circonscription du Rhône, comprenant Givors, Georges Fenech,  posait les premières pierres de la mosquée Khaled Ibn El Walid dans cette même ville, dont les travaux risquent de durer vu l’ampleur du projet, s’étendant  sur  3000 mètres carrés. (3000 m2 de terrain dont1200mètres carrés de surface au sol pour la mosquée).

 

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   Georges Fenech, malgré ce zèle islamophile, vient d’être battu par le maire sortant Martial Passi (PCF) ( 25% contre 52%) pour la prise de la mairie de Givors. Le magistrat avait pourtant pris soin de refuser toute alliance avec le MPF Denis Ribeyre (3,7%), pour ne pas effaroucher les administrés mahométans. C'était pourtant bien essayé pour l'auteur d'un livre contre les sectes dangeureuses en 1999, ces groupes où l'on entre facilement mais dont la sortie est plus délicate...la peine de mort pour apostasie en islam? Oui mais il y a plus d'électeurs en djellaba à Givors que de fans de Raël, le gourou kitch cosmico-lubrique, ou que de docteurs en dianétique scientologue. 

                          

   Ce terrain de 3 hectares, les modestes musulmans de cette ville en banlieue de Lyon ont pu l’acquérir grâce à la collaboration des élus locaux. La mairie de Givors (PCF) a vendu les 3000 mètres carrés de terrains à la Communauté de communes  Rhône Sud, qui à son tour, l’a cédé à l’association culturelle musulmane…pour 22 euros du mètre carré.

                                       

   Sans ce coup de pouce complice, l’ambitieux projet n'aurait jamais vu le jour, comme dans bien d’autres villes de France. Bien que le coût total du projet soit de 1.5 millions d’euros, les musulmans ont pu lancer le premier coup de pioche avec 500 000 euros récoltés.

                          

   L’association Iqra est la responsable du projet, qui s’inscrit dans un environnement régional, la mosquée étant à cheval entre Grivors et Grigny, et étant soutenu par le Conseil Régional du Culte Musulman.

                                      

   Tout comme les autres sites Internet des grands projets de mosquées en France, son contenu est truffé de fautes d’orthographe, rappelant à ceux qui en douteraient, que ces mosquées sont dirigées par des étrangers, en tout cas des analphabètes :

              

Deux lignes, quatre fautes : « Aujourd’hui il est urgent d’agire, il nous manque 400 000 Euros pour commencé les travaux. La société qui a été choisit pour réaliser les grosse œuvres »

 

                                                    

   Par contre, ces mêmes musulmans « français » savent très bien que le nom de baptême de leur mosquée, Khaled Ibn El Walid ( mort en 642), est celui du commandant en chef des armées  de Mahomet, compagnon du premier cercle ayant gagné le surnom de « Sabre d'Allah » (Sayf Allâh) 

                          

   Khaled Ibn El Walid, conformément à la Sharia, droit canon de l’islam, lors de la conquête de la Perse zoroastrienne, exigeait de Hormuz et son peuple la conversion, la dhimmitude ou la mort :

                                                         

« J’arrive, moi, le général du vicaire de Dieu. Embrasse l’islam et paye le tribut ou prépare-toi à la guerre. » Tabari, chroniqueur officiel musulman,  La Chronique (Volume II, Abou Bekr), Actes-Sud (ISBN 2-7427-3318-3) p88

                                      

   Ibn Walid fut l’artisan de la bataille de Yarmouk (Syrie) en août 636, décisive étant donné qu’elle marqua une victoire définitive sur les armées byzantines d’Héraclius. Dans leur indispensable Dictionnaire historique de l’islam (Puf), les islamologues Janine et Dominique Sourdel parlent de cette bataille comme « l’aboutissement de la politique offensive menée par l’énergique Calife Umar ibn al-Khattâb » p. 854

                                                  

   La conquête de la France, avec les élus du système, du PCF jusqu’à l’UMP, n’est qu’une ballade de santé comparée aux rudes combats des premiers siècles de l’expansionnisme islamique.

                                   

 

Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation, mars 2008

Auteur de « L’islamisation de la France » (Editions Godefroy de Bouillon, 2007)

 

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