11/01/2009
SOS Racisme, 20 ans de sabotage anti-français
Organisation trotskyste lancée par Julien Dray et Harlem Désir , SOS Racisme aura été l’une des associations les plus néfastes de ces 20 dernières années avec le Mrap et la Ldh. Promouvant pêle-mêle la régularisation des clandestins (s’y opposer est raciste), la fin des frontières, les identités étrangères devant mélanger la France ( l’identité française doit se métisser, donc disparaître à terme), l’organisation, phénomène médiatique vivant grâce à l’argent public, a vu sa principale fonction révélée par Tracfin, l’équipe de la Brigade financière : être une pompe à fric permettant à ses associés de s’assurer des lendemains qui chantent.
Un article du Figaro du 30 décembre, Le parquet ouvre une enquête suite à la plainte de Dray, rapporte :
« Julien Dray n'a toujours pas été entendu par la justice dans l'affaire de détournements de fonds dont il est accusé. Pour le moment, les enquêteurs se concentrent sur des retraits en liquide, (94.350 euros au total) effectués depuis les caisses de l'association Les Parrains de SOS Racisme. Ces sommes pourraient avoir bénéficié au député de l'Essonne et à son attachée de presse. Ils surveillent également des versements faits par des particuliers «actifs dans les sphères socio-économiques» au profit de Julien Dray, qui se monteraient à 113.890 euros. »
On lira également avec intérêt l’article La Fidl et SOS Racisme au cœur de l’affaire Dray, du même quotidien.
Dans mon étude L’islamisation de la France (éditions de Bouillon, 2007), je m’étais arrêté sur SOS Racisme et son rôle d’allié objectif de l’islamisation à la page 411 :
« SOS Racisme ou SOS islamophobie ?
La première prise de défense de l’islam par SOS racisme eut lieu lors de la première affaire du voile en 1989 à Creil, lorsque le principal de l’établissement, Ernest Chenière, renvoya trois tunisiennes refusant d’ôter le foulard islamique. Une immense polémique médiatique s’en suivit, les hautes autorités intellectuelles de gauche, Elisabeth Badinter, Régis Debray et Alain Finkielkraut, prenant la défense du proviseur face aux pressions islamistes à l’école. De tout temps dans l’école de la République, les élèves doivent se découvrir pendant les cours en signe de respect pour le professeur. Au nom de quoi l’islam obtiendrait il un passe droit ? Pourtant, SOS Racisme choisit le camp des islamistes qui défilèrent dans la rue.
Jacques Peyrat, maire UMP de Nice, en décembre 2005 exprima dans les colonnes du Monde son refus de voir une mosquée s’ériger en plein cœur de son centre ville. SOS Racisme, dans sa course à l’échalotte effrénée avec le Mrap pour obtenir le nombre maximal de passages télé, lança la première une plainte à l’encontre du maire pour « incitation à la haine religieuse », sans que personne ne s’offusque de l’ingérence d’une association sous perfusion d’argent public dans un domaine qui lui est étranger, car non de race mais de religion il s’agit là.
Dans le Jura, c’est le Maire de Saint-Claude, Jean Louis Millet qui fut une cible du satellite socialiste. En octobre 2003, le Maire (MPF), lance un cri d’alarme à Nicolas Sarkozy sous la forme d’un courrier où il clame son désarroi face à la turquisation d’une petite ville de 13 000 habitant, littéralement colonisée par une immigration turque, estimée à 40% de la population, drainant son lot de trafic de drogue et de dépaysement. N’assimilant pas bien entendu tous les Turcs à des trafiquant de drogue, le Maire relève néanmoins une tendance corroborée par les criminologues, tel Xavier Raufer titrant dans la Nouvelles Revue d’Histoire un article « La mafia turque à la conquête de l’Europe. »[1]
Pour SOS Racisme, évoquer un flux migratoire trop important, c’est forcément du racisme. Des turcs sont notoirement connus par la gendarmerie de Saint-Claude pour trafic ? Racisme. Racisme aussi que de soulever l’origine ethnique des voyous. Le communiqué de l’association est le suivant : « La diffusion de cette lettre constitue un délit d’incitation au racisme c’est pourquoi en avril 2004, SOS Racisme a déposé plainte auprès du procureur de la République de Lons le Saunier et ensuite une pétition a localement été lancée pour défendre l’esprit d’accueil et de fraternité des habitants de St Claude. »
Au printemps 2005, la plainte saugrenue de SOS Racisme est classée sans suite par le Procureur de la République. Le Maire contre attaque et fait comparaître devant le tribunal pour diffamation les premiers signataires de la pétition antiraciste. A ce jour, le tribunal n’a pas encore donné son verdict.
Parfois SOS Racisme peut tomber dans la paranoïa la plus délirante, comme le montre l’histoire d’un charcutier de l’Oise, Guy Lefèvre, qui s’est fait piégé par l’ANPE lors d’un « testing » envoyant un jeune musulman postuler pour travailler…le porc. Le fils du charcutier raconte les faits, occultés par la bonne presse, au magazine en ligne Novopress :
« Ma version des faits est celle que j’ai eue à plusieurs reprises l’occasion de donner aux journalistes. Malheureusement, celle-ci a été interprétée voire déformée. A la fin de l’année dernière, l’une de nos employées nous a annoncé sa démission pour raisons médicales. Une quinzaine de jours avant son départ, mes parents ont téléphoné à l’ANPE pour que celle-ci leur envoie un ou une remplaçante. Personne ne s’est présenté. Le 18 janvier 2005, la fille d’amis de mes parents, en recherche d’emploi, nous propose ses services. Et mon père décide illico de lui donner sa chance. Alors qu’elle commence son premier jour de travail au laboratoire, mon père a la surprise de voir débarquer à 7 h 30 du matin un jeune [Ibrahima Gadio NDR] qui dit être envoyé par l’ANPE (sans que celle-ci nous ait prévenue…) Mon père lui explique que, malheureusement, le poste vient d’être pourvu et ce jeune s’en va, sans que se produise le moindre incident. Vers 10 h, soit deux heures et demie plus tard, un employé de l’ANPE, très énervé, appelle mon père en l’accusant de faire de la discrimination à l’embauche. Il va même jusqu’à lui dire : « si j’ai bien compris, vous ne voulez ni noirs ni arabes ! »
Le jeune homme précise :
« Et il y a, de plus, un élément que j’ai appris le jour de l’audience : l’ANPE n’avait pas affiché notre offre d’emploi. Et elle a dit à ce jeune : « Ce travail, c’est pour toi. Tu y vas, il n’y a personne d’autre sur le poste ! » Tout en restant objectif, c’est quand même ce que l’on appelle du testing (et indirectement de la discrimination pour les postulants plausiblement intéressés) !
Désirant se débarrasser de cette mauvaise affaire prenant des proportions inquiétantes, le charcutier se démène pour trouver un emploi à Ibrahim, que celui-ci, n’ayant apparemment pas très envie de mouiller le tablier, refusa. Pour SOS Racisme, dont le gouvernement vient d’autoriser les « testings » comme preuve judiciaire avec la bénédiction de la HALDE[2] où le Mrap a une place de conseiller, cette affaire est du pain béni. L’association se porte aussitôt partie civile, sans avoir la moindre conscience professionnelle d’écouter la version du charcutier. La cible est trop belle : Un commerçant franchouillard symbolisant le populisme.
Les conséquences de la jetée en pâture du charcutier furent dramatiques. Dans la nuit du 22 au 23 février 2006, de nombreux jeunes voyous s’introduisent dans le domicile de monsieur Lefèvre pour le lyncher brutalement. Blessé gravement, le pauvre homme fut hospitalisé les jours suivants.
Pseudopode téléguidé par le Parti socialiste, SOS-Racisme ne fit aucun communiqué de presse lorsque Georges Frêche provoque le scandale en février 2006 pour avoir qualifié un groupe de harki de « sous-hommes ». Et pour cause, Georges Frêche est le président socialiste du Conseil régional du Languedoc-Roussilon…"
Tiré de Joachim Véliocas, L'islamisation de la France, éditions Godefroy de Bouillon, 2007, page 411.
18:23 Publié dans 04 - COLLABORATION | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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