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15/04/2011

Guéant réaffirme le financement public des associations culturelles musulmanes

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Culturel ou cultuel ? Ou comment le financement de l'islam tient à un simple R. La grande hypocrisie républicaine continue...

Dans son discours de ce vendredi matin, le ministre de l'Intérieur a commencé par admettre le choc migratoire, dans la ligné de son aveu de "l'immigration incontrôlée" : "En l'espace d'une décennie, le paysage a été bouleversé. La tendance s'est inversée et, pour parler de la communauté musulmane, la plupart des villes se sont engagées dans un projet de soutien à l'installation d'un lieu de culte. "

Afin de rassurer pleinement les associations musulmanes, Claude Guéant a bien précisé que les "parties non cultuelles" - entendre culturelles- pourront recevoir des financements publics, technique largement utilisée par les maires UMP et PS comme l'ouvrage Ces maires qui courtisent l'islamisme le démontre :

 "D'autres constructions de lieux de culte méritent sans doute de voir le jour. Plusieurs types de soutiens existent déjà, en plus des ressources propres des associations cultuelles, pour appuyer la construction de lieux de culte. Je pense à la garantie d'emprunt, aux baux emphytéotiques, à l'aide publique pour financer les parties non cultuelles (note de l'Observatoire: manière d'évoquer sans oser le dire les parties culturelles de la mosquée, soit les salles de classes pour enseigner la charia, la médiathèque etc. correspondant souvent à la moitiée du monument !) ou aux avantages fiscaux en matière d'imposition locale. Enfin, il est possible, en partie, de mobiliser des fonds collectés par une fondation (c'est le cas de la fondation pour les œuvres de l'islam, créée en 2005)."

Sur l'abattage halal et la dérogation spéciale qu'ont les musulmans concernant l'obligation normale d'étourdissement préalable, Guéant rassure les islamistes : "Le Gouvernement n'a pas l'intention de remettre en cause cette dérogation, qui découle de notre conception « ouverte » de la laïcité."

Discours intégral ici

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