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26/07/2011

Chantal Brunel (UMP) et le Cheikh Al-Bouti, ou comment vos impôts financent l'islamisme

Reportage réalisé par l'Observatoire de l'islamisation, dont les révélations ont été reprises par Caroline Fourest et le magazine Minute...les faits (subvention sur réserve parlementaire de pro-djihadistes) gravissimes ,aujourd'hui récurrents, sont évidemment censurés par les grands-médias. La député UMP Brunel n'a pas été sanctionnée par la direction de son parti, mais s'était juste fendue d'un courrier à la rédaction de Minute où elle disait ne pas savoir à qui elle avait à faire...un peu court, d'autant que le ministère de l'Intérieur était au courant des visas octroyés aux délégations libanaises, pakistanaises et syriennes lors de cette journée surréaliste censée illustrer un exemplaire "l'islam de France"...

 

Pour comprendre le potentiel de lâcheté du pouvoir face à l'islamisme conquérant en France, voici un précieux témoignage :

Le grand reporter Emmanuel Razavi  a rapporté dans son ouvrage sur les Frères musulmans les impressions d’un cadre opérationnel des Renseignements généraux en charge des réseaux islamistes :

« Dans l'Hexagone, ils [les islamistes] se politisent. Les Frères musulmans ont compris que l'action terroriste n'était pas utile, à moins qu'ils ne se retrouvent en situation de blocage. Auquel cas, la France ne serait pas à l'abri d'une action de grande intensité. Mais aujourd'hui, on ne semble pas être dans cette configuration, puisqu'ils ont obtenu beaucoup de la République. […]La troisième guerre mondiale a commencé dans la tête des islamistes. Une guerre dont les prémisses s'inscrivent dans la droite ligne de Munich. Les femmes et les hommes politiques de ce pays ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas, car il y a maintenant plus de dix ans qu'on les a mis en garde. Mais ils n'ont cessé de continuer à accueillir des intégristes musulmans sur le territoire comme s'il s'agissait d'une minorité qui avait des droits acquis. À croire qu'on les considère comme nos Indiens d'Amérique ! À Munich, il y avait une alternative. Soit on choisissait la voie du courage, soit on se couchait. On a choisi la seconde solution. On a vu ce qui s'est passé. N'a-t-on pas retenu les leçons de l'Histoire ? »  Cité dans Emmanuel Razavi, Frères Musulmans dans l’ombre d’Al Qaeda, éditions  Jean-Cyrille Godefroy, 2005, p. 143

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