29/08/2011
Norvège: des musulmans torturent un converti au Christianisme
Les médias français auront-ils le courage d'en parler ? Le nouveau président de l'UOIF, Ahmed Jaballah, également membre du Conseil européen de la fatwa, va-t-il condamner ce crime légal pour les sunnites ?
La source de cet article est le média norvégien Dagen, dans son édition du 26 août :
Un Afghan, ex-musulman, converti au Christianisme a été attaqué avec de l'eau bouillante et de l'acide par des Musulmans dans un "centre d'accueil aux demandeurs d' asile" vendredi 26 août (photo parue dans la presse norvégienne).
"Ali" (nom d'emprunt), un demandeur d'asile dans un centre d'immigration de Jaeren, a reçu de l'eau bouillante après que les autres locataires du centre d'accueil aient appris sa conversion, en plus de ne pas l'avoir vu observer le Ramadan ni avoir participé à leurs grêves de la faim. Lui et d'autres convertis au centre craignent maintenant pour leurs vies.
"Si tu ne reviens pas à l'Islam, nous te tuerons "était le message des autres demandeurs d'asile de la ville de Hå, dans la région Jaeren en Norvège. "Ali" refuse de divulguer son nom réel craignant de nouvelles représailles.
Si les autorités Afghanes découvrent sa conversion, il risque en cas d'expulsion d' être condamné à mort selon l'application de la Charia en vigueur dans les tribunaux d'un Afghanistan "libéré" par l'Otan.
Il a survécu, mais a été sévèrement défiguré, sa peau tombant en lambeaux sous des bandages.
Le Chrétien a témoigné dans la presse Norvégienne :
"Deux des résidents Musulmans ont demandé pourquoi je n'avais pas jeûné pendant le Ramadan. Comme je ne leur répondais pas, ils ont commencé à aborder la question de ma conversion. Un d'entre eux a dit qu'il savait que j'étais Musulman et converti au Christianisme, et qu'ils devaient s'engager dans le Jihad".
Un résident a tenu Ali tandis qu'un autre l'a frappé derrière la tête avec un pot d'eau bouillante; et Ali s'est effondré au plancher (à l'étage). Plusieurs autres résidents Musulmans ont rejoint la curée. Un troisième homme a marché dans la chambre d'Ali et a commencé à la saccager.
La police est arrivée, mais seulement une heure plus tard, le mal étant déjà fait.
"J'étais toujours étalé sur le plancher quand la police est arrivée. Je leur ai parlé un peu, mais souffraits trop pour pouvoir parler, donc j'ai été emmené à l'hôpital."
Après seulement une nuit passée à l'hôpital, Ali est revenu au centre malgré le danger. Quand il a vérifié la poignée de sa porte de chambren elle s'est avérée être couverte d'une substance acide causant des brûlures au contact.
L'Afghan Chrétien l'affirme au personnel : "Ils n'abandonneront jamais le projet de me tuer".
Et pour cause, les musulmans veulent simplement appliquer la Charia conforme aux propos de Mahomet rapportés dans la tradition de Bukharî dans son hadith 9:57 : " Quiconque abandonne sa religion (islamique), tuez-le'". Pour information, la mosquée d'Avignon que dirigeait le président du Conseil français du culte musulman, le marocain Mohammed Moussaoui, avant sa prise de fonction, portait le nom de Bukharî...
Observatoire de l'islamisation- août 2011
15:27 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les commentaires sont fermés.