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14/10/2011

L'Eglise, une alliée majeure de la colonisation musulmane

Jésus n'aurait certainement pas milité pour l'ouverture des frontières aux musulmans :«De  nombreux séducteurs se sont répandus dans le monde : ils ne professent pas la foi à la venue de Jésus-Christ dans la chair […].Quiconque va trop en avant et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a pas Dieu. Celui qui demeure dans la doctrine a le Père et le Fils. Si quelqu’un vient à vous et n’apporte pas cette doctrine, ne l’accueillez pas chez vous et ne lui souhaitez pas la bienvenue. Qui lui souhaite la bienvenue communie à ses œuvres mauvaises» (2 Jean 9-11).

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Appels récurrents à ouvrir les frontières de l'Europe, soutien des constructions de mosquées fussent-elles wahhabites, description de l'islam comme une religion du respect de la personne humaine, le Vatican est une des institutions les plus en pointe dans l'entreprise de "dédiabolisation" de l'islam, suivant l'expression même du porte parole des évêques de France, Mgr Podvin (sur Europe 1), appelant à "ne pas diaboliser" ce qu'il présente être une simple religion, tout en justifiant l'occupation des rues. On comprend la prudence de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X dans ses négociations actuelles pour l'obtention d'une prélature personnelle.

  Ces deux dernières années connaissent une accélération des gestes d'amitié envers le monde musulman -et notamment ses composantes les plus radicales- de la Curie romaine ne sachant plus quoi faire pour tenter d'alléger l'étau de l'islamisme éreintant les Chrétiens d'Orient.

Ainsi nous avons vu successivement l'Archevêque de Milan, Tettamanzi, soutenir le projet d'une Grande mosquée dans sa ville malgré les liens de  l'imâm avec un islamo-terroriste, à l'image de Jean-Paul II qui avait en son temps suggéré au maire de Rome d'offrir un terrain pour l'édification de la Grande mosquée saoudienne (ce qui fut fait). Nous avons vu le  cardinal secrétaire d’Etat Tarcisio Bertone dénoncer en avril "le manque de solidarité" (sic) de l'Union Européenne aux migrants d'Afrique du nord, dans la lignée de Benoit XVI qui réclama queqlues jours plus tôt une ouverture de l'Europe aux Tunisiens débarquant par milliers.

"Que les hommes de bonne volonté soient éclairés pour ouvrir leur coeur à l'accueil, afin que de façon solidaire et concertée il soit possible de répondre aux nécessités pressantes de tant de frères." Benoit XVI le 26 avril au sujet de l'irruption de 25 000 clandestins Tunisiens fuyant leur propre révolution démocratique...le Vatican n'a hébergé aucun clandestin dans son immense parc immobilier ( le Vatican est le premier propriétaire foncier à Rome et à Paris)

- En mai l'évêque Mariano Crociata, secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, avait annoncé que le Vatican est favorable à la construction de nouvelles mosquées en Europe. Un mois plus tard, les évêques européens se sont réunis avec les musulmans européens à Turin (le cardinal Tauran était également présent) à proclamer la nécessité pour le "inculturation progressive de l'islam en Europe."

- Mgr Podvin porte-parole de la conférence des évêques de France a déclaré sur Europe 1  en avril qu'il ne faut pas "diaboliser l'islam" (sic) tout en justifiant les prières de rues musulmanes vues comme le pendant des processions catholiques, pourtant historiques et se déroulant avec autorisation préfectorale. On se souvient aussi du colloque sur la laicité et l'islam du Parti Socialiste en décembre 2010 qui n'a suscité aucune réaction de l'église de France, alors que nos évêques se sont élevés contre un colloque similaire organisé par le gouvernement allant jusqu'à écrire une tribune dans Le Monde ! Que l'église refuse de débattre du totalitarisme islamique est un choix, mais qu'elle désire interdire à un gouvernement élu de le faire fut une chose incroyable. Le point d'orgue de la logique irresponsable et lâche de l'église de France ayant été son positionnement contre l'interdiction de la burqa, se faisant une  alliée objective des salafistes.

- On a vu Mgr Ricard afficher ses liens d'amitiés avec l'imâm Tareq Oubrou, dont nous avons démontré les positions clairement islamistes, celui-ci vénérant Hassan Al-Banna, fondateur des Frères Musulmans, et dont l'objectif est la restauration du califat transfrontalier. De même Mgr Barbarin à Lyon dit être ami avec le mielleux Azzedine Gacci, pourtant également membre des islamistes de l'UOIF branche des Frères Musulmans en France dont le mentor juridique cheikh Al-Qaradawi  ordonne la mise à mort des apostats , des Juifs et des homosexuels tout en justifiant le viol des occidentales non voilées.

- Le cardinal Jean-Louis Tauran à la tête du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux est le plus autorisé à définir la ligne du Vatican sur ses relations avec l'islam. Dans un communiqué du 19 mai 2011 il écrivit un texte commun avec des instances religieuses jordaniennes qui commençait par une contre-vérité flagrante : "Chrétiens et musulmans partagent des valeurs fondamentales comme la sacralité de la vie, la dignité de la personne et ses droits inaliénables." Pourquoi un tel mensonge ? Le cardinal l'a répété lors d'une conférence le 20 août à l’abbaye de Belloc dans les Pyrénées Atlantiques, sur le thème : Faut-il avoir peur de l’islam ? Comme on pouvait s’y attendre, la réponse a été « non », et il affirma encore que le respect de la personne humaine était une valeur partagée avec l'islam...

- Plus grave en juin, le Vatican a envoyé l'archevêque Edmond Farhat à Téhéran pour assister à une "conférence internationale sur la campagne mondiale contre le terrorisme."... L'automne dernier, les représentants du Vatican ont même rencontré des dirigeants musulmans du monde entier à Téhéran pour "un dialogue de trois jours entre les religions."  Le cardinal Tauran en profita pour saluer l'Iran pour son "esprit de cordialité" (sic) et "l'amical Ahmadinejad." (resic)

- Dernier acte de collaboration en date,  un centre "interreligieux" à Vienne nommé "roi saoudien Abdallah Bin Abdelaziz", financé entièrement par l’Arabie Saoudite qui emprisonne les Chrétiens et interdit les messes. L’initiative avait suscité des critiques dans le pays. La députée du parti écologiste Alev Korun avait taxé de «mauvaise blague» le fait que justement l’Arabie Saoudite, où règne le wahhabisme qui applique strictement la charia (loi islamique), s’engage à promouvoir le dialogue interreligieux. Grâce à cette nouvelle plate-forme, le pays veut simplement «promouvoir le wahhabisme» et cela représente un danger pour l’Europe, a réagi Amer al-Bayati, porte-parole de l’Initiative des musulmans libéraux. Les promoteurs du projet ont tenté de convaincre du contraire. Le droit à la liberté de penser, de croyance et de religion est inscrit dans l’acte fondateur du centre, ont-ils souligné.

Le Vatican s’est dit intéressé à obtenir un statut d’observateur dans le centre. Le cardinal Jean-Louis Tauran, le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a d’ailleurs assisté à la signature de l’accord avec le royaume le plus christianophobe du monde.

Observatoire de l'islamisation, octobre 2011

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