17/05/2012
Christiane Taubira souhaite délibérément étouffer la traite arabo-musulmane
"Christiane Taubira déclare sans ambages qu'il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les «jeunes Arabes» «ne portent pas sur leur dos tout le poids de l'héritage des méfaits des Arabes».
L'Express du 4 mai 2006
La loi Taubira du 10 mai 2001 qualifie la seule traite négrière de "crime contre l'humanité"...les millions de chrétiens razziés par les Barbaresques, les Turcs et Arabo-musulmans passent par pertes et profits. Aussi, l'esclavage toujours présent en Afrique (Niger, Soudan) et dans la Péninsule arabe (Arabie Séoudite, Yemen, EAU...) n'a jamais fait l'objet d'aucune condamnation par Mme Taubira.
Lors de l'arrivée des Français à Alger en 1830, 15 000 esclaves chrétiens furent libérés...
Dans le même article de l'Express d'où est tirée cette citation on lit :
"Un des meilleurs spécialistes actuels des traites négrières, Olivier Pétré-Grenouilleau, a été attaqué en justice au nom de la loi Taubira. Parce qu'il rappelait que la quasi-totalité des esclaves africains avaient été razziés non par des Blancs, mais par des négriers africains et que le commerce des esclaves était une routine sur le continent noir bien avant l'arrivée des négriers européens. Il lui était aussi reproché de réfuter l'application du terme de «génocide» aux traites négrières, contredisant ainsi le parallèle implicite entre l'esclavage et l'extermination des juifs qu'évoque l'exposé des motifs de la loi Taubira.
L'affaire Pétré-Grenouilleau a d'autant plus inquiété les historiens que la loi de 2001 précise dans son article 2 que «les programmes de recherche en histoire» devront accorder «la place conséquente qu'ils méritent» à la traite négrière et à l'esclavage, dont l'interprétation judiciaire risque de se limiter à la définition partielle que ladite loi donne. Et Christiane Taubira ne les a pas rassurés en déclarant que constituerait pour elle un «vrai problème» le fait qu'Olivier Pétré- Grenouilleau, professeur d'université, «payé par l'Education nationale sur fonds publics», continue d'enseigner ses «thèses» aux étudiants"
L'histoire scientifique devient une "thèse" personnelle quand elle ne cadre pas avec la doxa de Taubira...
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