01/11/2012
La Cour européenne des droits de l'homme impose à la France d'héberger un islamo-terroriste algérien
Quitter les institutions supranationales dites "européennes" est une urgence pour préserver notre sécurité. Après l'interdiction de placer en garde à vue les clandestins décidée en juillet par la Cour de justice de l'UE, voilà une nouvelle décision inquiétante qui atteint à notre souveraineté.
Lu dans Le Progrès du 30.10.2012 (extrait):
"Saïd Arif a quitté Langeac pour Brioude lundi après-midi. En résidence surveillée à Langeac depuis le 10 octobre, l'Algérien a été installé en toute discrétion dans un hôtel du centre-ville de Brioude. Agé de 48 ans, il est l’un des vingt-six prévenus du procès des « filières tchétchènes ». Il a été condamné en mai 2006 pour « association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste » à dix années d’emprisonnement assorties d’une peine de sûreté des deux tiers. Ce militant islamiste a été libéré en décembre 2011 après avoir purgé sa peine. Sa condamnation prévoyait une interdiction définitive du territoire français. Mais la Cour européenne des droits de l’homme a demandé la suspension de la demande d’expulsion en raison des risques qu’encourt l’individu dans son pays.Suite dans le Progrès
13:44 Publié dans 24- UNION EUROPENNE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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