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04/02/2015

Dix islamo-terroristes logés dans des hôtels à la campagne par la République : la "contrainte pénale" de Taubira.

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Djamel Beghal, le mentor de Chérif Kouachi et d'Amedy Coulibaly a été assigné à résidence à l'hôtel Les Messageries à Murat dans le Cantal entre 2009 et 2010. Le Figaro explique que "comme neuf autres personnes à l'heure actuelle, principalement des islamistes d'origine algérienne, Djamel Beghal a donc connu l'assignation à résidence. C'est le sort réservé à ceux qui, d'origine étrangère, sont frappé d'une interdiction définitive du territoire français mais ne peuvent être expulsés. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), qu'ils saisissent, fait en effet barrage à une extradition vers leur pays en invoquant des risques de torture".  Beghal fomentait tranquillement l'évasion de Smain Ait Ali Belkacem, auteur de l'attentat du RER Saint Michel en 1995. 

 

La facture pour cette prise en charge pension complète dans des hôtels coquets s'élève à 3000 euros mensuels. 

 

Un autre djihadiste, Said Arif, a pu s'évader tranquillement en Espagne en volant la voiture de la femme de l'hôtelier de Brioude qui l'hébergeait. " Avec l'A 75 juste à côté, il était en Espagne en moins de 4 heures", relate, consterné, le maire Jean-Jacques Faucher. 

 

Ces islamistes ultra-dangereux ont seulement l'obligation de pointer chaque jour à la gendarmerie, une "contrainte pénale" si chère à Christiane Taubira qui n'a de contraignant que le nom. 

 

Le député UMP Alain Marsaud, ancien magistrat anti terroriste, se désole : "La France se trouve tout simplement piégée par ses propres lois et les règles (imposées par la CEDH) qu'elle respecte"

 

Article intégral à lire dans Le Figaro du 4 février 2015.

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