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05/02/2015

La cinquième colonne islamiste jusqu'au temple du renseignement de la gendarmerie : 3 cas avérés !

Les enquêteurs ont identifié un proche du terroriste, présent Porte de Vincennes juste avant l'attaque du supermarché kasher. Il filait le parfait amour avec une femme sous-officier de la gendarmerie travaillant au fort de Rosny-sous-Bois.

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Lu dans Le Figaro:

"L'enquête sur les réseaux islamistes en France a conduit les enquêteurs jusqu'à une adjutante de la gendarmerie nationale, Emmanuelle, qui était la petite amie d'un proche d'Amedy Coulibaly. L'information a été dévoilée mercredi matin par Le Canard Enchainé. Avant les attaques, le proche du tueur faisait déjà l'objet d'un mandat d'arrêt européen, et était soupçonné de trafic de stupéfiants et d'armes. Ce qui ne l'a pas empêché de pénétrer mi-janvier en toute impunité et sans aucun contrôle, grâce à sa relation amoureuse, dans le fort de Rosny-sous-Bois, un temple du renseignement qui abrite le Service central des réseaux et technologies avancées, le Service technique de recherches judiciaires et de documentation ou encore le Système des opérations et du renseignement. Amar R. est suivi en toute discrétion à Grigny, à Gonesse puis à Rosny-sous-Bois. C'est là que les enquêteurs se rendent compte que l'individu file le parfait amour avec une adjudante du centre de gendaremerie de Rosny-sous-Bois. Il lui arrivait même de pénétrer dans l'enceinte du fort sans le moindre contrôle. La jeune femme, quant à elle, convertie depuis deux ans à l'islam, a été aperçue sortant du fort et troquant son képi réglementaire contre un voile."

Une légèreté qui fait froid dans le dos lorsque l’on apprend, là encore via Le Point, que :

"En 2014, deux jeunes gendarmes du fort de Rosny avaient été détectés comme des éléments radicaux. Ils avaient programmé un voyage en Syrie. Ils ont depuis quitté la gendarmerie. Ce sont les rares cas qu’avaient pu déceler les services de renseignement après que Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a réclamé à ses services une enquête sur la radicalisation au sein des forces de l’ordre"

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