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10/07/2012

"Allah a puni les Juifs par les Allemands, la prochaine fois il le fera par la Nation islamique" [Hamas-vidéo]

Yunis Al-Astal (biographie) est membre du Hamas et du Conseil législatif palestinien. Il s'était déjà fait remarqué en avril 2008 pour avoir appelé à conquérir Rome suivant une prophétie du prophète Muhammad.

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27/12/2011

Le Hamas chez les Frères Musulmans égyptiens

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(Photo prise le 26.12: à gauche: Mohammed Badie, chef des Frères Musulmans. A droite, Ismail Haniyeh, responsable du Hamas à Gaza.)

Les dirigeants du Hamas débutent une tournée diplomatique amicale chez les nouveaux pays conquis par les Frères Musulmans.

"Notre présence chez les Frères est un défi à l'entité israelienne" a dit Haniyeh

Un véritable "Hamas tour" est lancé, les responsables du Hamas vont ensuite aller en Tunisie, au Soudan, au Qatar et en Turquie...plus d'info sur Al-Jazeera

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08/02/2009

Le Hamas : conquérir Rome, exterminer les Juifs et combattre l'Amérique.

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25/01/2009

Les premières victimes du Hamas sont les Palestinniens

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Lisez cette traduction (de Josiane Sbiro) d'un article paru sur le très sérieux quotidien italien Corriere della sera 

                           « C'est ainsi que les hommes du Hamas nous ont utilisés comme boucliers »

  Les habitants de Gaza accusent les militants islamistes : «  ils nous ordonnaient d'abandonner les maisons et de les protéger »

De notre envoyé spécial. 

 GAZA. « Partez, filez d'ici ! Vous voulez que les Israéliens vous tuent tous ? Vous voulez voir mourir sous les bombes nos enfants ? Enlevez d'ici vos armes et vos missiles »  hurlaient les habitants  des quartiers de Gaza contre  les militants du Hamas et leurs alliés du Jihad Islamique. Les plus courageux s'étaient organisés et avaient barricadé la porte d'accès  de leurs appartements, fermé aussi les entrées des immeubles et bloqué en hâte les escaliers pour les étages les plus hauts. Mais la guérilla n'écoutait personne. «Traîtres. Collaborateurs d'Israël. Espions du Fatah, lâches.» Les soldats de la guerre sainte vous puniront. Et dans toutes les maisons vous mourrez  tous, comme nous .En combattant les juifs sionistes nous sommes tous destinés au paradis, vous n'êtes pas heureux de mourir ensemble ? » Et ainsi hurlant, furieux, ils abattaient portes et fenêtres, se cachaient dans les étages les plus élevés, dans les jardins, utilisaient les ambulances, se barricadaient près des hôpitaux, des écoles des édifices de l'ONU.

  Dans les cas extrêmes, ils tiraient sur qui  cherchait à bloquer la rue pour sauver sa propre famille, ou les abattaient sauvagement. «  Les miliciens du Hamas cherchaient de bons emplacements pour provoquer les Israéliens. C'étaient même de jeunes enfants de 16 ou 17 ans armés de mitrailleuses. Ils ne pouvaient rien contre un tank ou un jet. Ils se savaient beaucoup plus faibles. Mais ils voulaient que cela se passe dans nos maisons pour les  faire accuser ensuite de crimes de guerre »soutient Abou Issa de 42 ans, habitant le quartier de Tel AWA. « Pratiquement tous les immeubles les plus hauts de Gaza qui ont été frappés de bombes israéliennes, comme le Dodmoush, Andalous,Jawarah, Siussi et tant d'autres, avaient sur les toits des rampes de lancement ou  des points d'observation du Hamas. Ils en avaient même placé près du grand dépôt de l'ONU parti ensuite en fumée, et la même chose valait pour les villages le long de la ligne d e frontière qui fut ensuite la plus dévastée par la furie punitive des sionistes » lui fait écho sa cousine, Um Abdallah, 48 ans. Usage d'entente familiale .Mais  ils fournissaient des détails bien circonstanciés. Il aurait été difficile de récuser ces témoignages. Ici en général, triomphe la peur du Hamas et s'imposent les tabous idéologiques alimentés par un siècle de guerre avec « l'ennemi sioniste ».

  Quiconque raconte une version différente imposée de la « muhamawa » (la résistance) est automatiquement un collaborateur et risque sa vie. Y contribue le récent affrontement fratricide entre le Hamas et l'OLP. Si Israël et l'Egypte avaient permis aux journalistes d'entrer, cela aurait été plus facile. Ces lieux sont totalement minés par le Hamas. « Ce n'est pas nouveau au PO, entre les sociétés arabes, manque la tradition culturelle des Droits Humains .Cela arrivait sous le régime d'Arafat qui persécutait et censurait la presse. Avec le Hamas c'est pire, » soutient Eyad Sarraj, psychiatre réputé de Gaza City.

  Et c'est un autre chiffre qui apparaît toujours plus évident en visitant les cliniques, les hôpitaux et les familles des victimes du feu israélien. En vérité leur nombre semble moins élevé que 1300 morts, outre les 5000 blessés dénombrés par les hommes du Hamas, et répercutés par les officiels de l'ONU et de la Croix Rouge locale.

« Le nombre de morts ne devrait pas dépasser 500 ou 600.Pour la plupart des jeunes entre  17 et 23 ans, recruté dans les filets du Hamas qui les a littéralement envoyés au massacre », nous dit un médecin de l'hôpital Shiffa qui ne veut absolument pas être cité et y risque sa vie. Un chiffre confirmé pourtant même par les journalistes locaux : « Nous l'avons déjà signalé aux chefs du Hamas. Pourquoi  ils persistent à gonfler le nombre de victimes ? Ils espèrent entre autre, que les autorités officielles occidentales les officialiseront sans vérification. La vérité pourrait pourtant surgir. Cela pourrait comme à Djénine en 2002. Initialement on parlait de 1500 morts. Il s'avéra qu'ils n'étaient que 54 parmi lesquels 45 au moins  morts en combattant.

  Comment sont vérifiés ces chiffres ? « Prenons le cas du massacre de la famille Al Samoun du quartier Zeitoun. Quand les bombes ont frappé leurs habitations, ils ont annoncé  qu'il y avait eu 31 morts. Et c'est ainsi que c'est enregistré auprès des officiels du Ministère de la santé contrôlé par le Hamas. Puis, quand les corps sont effectivement récupérés, la somme totale est ramenée à 62  et c'est ainsi que tous les bilans ont été conclus, » explique Masoda Al Samoun de 24 ans. Elle ajoute un détail intéressant : «  pour mélanger les pistes  s'y étaient mis les escouades  spéciales israéliennes. Leurs hommes étaient travestis en guerriers du Hamas, avec le bandeau vert lié sur le front et l'inscription habituelle : il n'y a pas d'autres dieu qu'Allah, et Mahomet est son prophète. Ils se mêlaient aux combattants pour créer le Chaos. Nous ne cessions de leur crier de partir, nous craignions les représailles. Plus tard nous avons compris qu'il s'agissait d'Israéliens. »  Il suffit de visiter quelques hôpitaux pour comprendre  que les comptes ne correspondent pas. Beaucoup de lits sont libres  à l'hôpital européen de Raffah , un de ceux qui devraient être le plus envahi de victimes de la « guerre des tunnels israélienne » Il en va de même pour le « Nasser » de Khan Yunes. Seuls  5 lits  des 150 de l'hôpital privé Al-Amal sont occupés. A Gaza city le Wafa construit grâce aux dons caritatifs de l'Arabie Saoudite, du Quatar et des autres pays du golfe a été évacué et bombardé par les israéliens fin décembre.

  L'institution est réputée être une place forte du Hamas, là viennent se cacher  ses combattants engagés dans la guerre contre le Fatah en 2007. Les autres ont investi Al Qods bombardé à son tour la seconde quinzaine de janvier.

  A propos de ces faits, Magah al Rachmah 25 ans habitant à moins de quelques dizaines d e mètres des quatre grands immeubles du complexe sanitaire aujourd'hui  sérieusement  endommagé, « les hommes du Hamas s'y étaient réfugiés surtout dans les offices administratifs de Al Qods. Ils utilisaient les ambulances et avaient contraint ambulanciers et infirmières a leur fournir des uniformes avec les signes distinctifs de paramédicaux, on pouvait ainsi les confondre, et ils pouvaient mieux échapper aux recherche des israéliens ».  Tout ceci a réduit gravement le nombre de lits disponibles dans les institutions sanitaires de Gaza. D'autre part, le Shifah est le plus grand hôpital de la ville est bien loin d'avoir révélé tous ses secrets. Ses souterrains sembleraient densément occupés. « Le Hamas  y avaient caché des salles  de survie et les salles d'interrogatoire pour les prisonniers du Fatah, et ceux de la gauche laïque, qui avaient été évacués  de la prison bombardée de Saraja », disent les militants du Front Démocratique de la Palestine.

  C'était une guerre intestine dans la guerre entre le Fatah et le Hamas. Les organisations humanitaires locales, pour la plupart rattachées à l'OLP, racontent « des dizaines d'exécutions, des cas de torture, surtout durant les trois dernières semaines » perpétrées par le Hamas. Un des cas les plus connus, est celui de Ahmad Shakhura, 47 ans, habitant de Khan Younes et frère de Khaled, bras droit de Dahlan (ancien chef des services d e Sécurité d'Arafat toujours en exil) qui a été kidnappé sur ordre du chef de la police secrète locale  du Hamas, Abu Abdallah Al Kidra, sauvagement torturé, on lui aurait arrache l'œil gauche, et il aurait enfin été tué le 15 janvier.

Laurenzo Cremonesi


Version originale : www.corriere.it/esteri/09_gennaio_21/denuncia_hamas_cremo...

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18/01/2009

Les Hamas cherche à faire tuer un maximum de civils palestinniens...

 

  Comme l’explique Fathi Hamad, représentant du Hamas au conseil législatif de l’Autorité palestinienne « pour le peuple palestinien, la mort est devenue une industrie dans laquelle excellent les femmes et tous les gens de cette terre, les personnes âgées y excellent, les djihadistes y excellent, les enfants y excellent. Par conséquent, [les Palestiniens] ont créé un bouclier humain de femmes, d’enfants et de djihadistes contre la machine à bombarder sioniste, comme s’ils disaient à l’ennemi sioniste : nous désirons la mort comme vous désirez la vie » Fatih Hamad, TV Al-Aqsa, chaîne de television du Hamas, 29 février 2008.

 


 

  Vidéo montrant comment les islamistes du Hamas kidnappent les enfants afin de les transformer en bouclier humain. Ainsi, l' instrumentalisation des civils amassés dans les zones de tirs de roquettes ou de positions de snipers, souvent des écoles et des mosquées, permet de livrer une guerre médiatique à Israel et de soulever l'indignation des foules arabes, du Caire à Paris...La responsabilité des morts civils incombe donc en premier lieu au Hamas, ne nous laissons pas piéger par la propagande palestinienne.

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