04/12/2007
Nicolas Sarkozy délire dur l'islamophobie
Nicolas Sarkozy, Alger, 3 décembre 2007 :
"Le racisme, l'islamophobie et l'antisémitisme ne s'expliquent pas, ils se combattent. Ce qui vaut pour la France vaut partout ailleurs. Il n'y a rien de plus semblable à un antisémite qu'un islamophobe. Tous deux ont le même visage, celui de la bêtise et de la haine"
Nous tenons à relever cette phrase non pour le président lui-même dont le cas semble s'agraver de jour en jour mais pour les électeurs français afin qu'ils puissent juger par eux-mêmes.
Critiquer l'Islam est-il encore possible ? Si montrer le vrai visage de Mahomet est insuportable, alors on ne peut qu'être inquiet de l' "éthique" de monsieur Sarkozy. Mahomet est un modèle à suivre ? Fut-il un être respectable ? Et ceux qui sciemment se réclament de lui aujourd'hui prônent-ils une ethique et des lois compatibles avec celles de la République ?
A vous de voir. Nous vous proposons deux documents :
Mahomet : le "Prophète" assassin, document regroupant les textes officiels islamiques sur la biographie du "Prophète", un véritable psychopate. Par Enki 40, consultant de l'Observatoire de l'islamisation.
"Les combats de Mahomets, exposé abrégé d'une série terroriste". Synthèse de la biographie réalisée par René Marchand, arabisant, basée sur les faits rapportés par les textes officiels islamiques (Sunna et Sira). Mise en forme par Joachim Véliocas.
Mahomet : le "Prophète" assassin
Ce qu’on n’ose pas dire c’est que l’assassinat ainsi que le martyr sont justifiés et justifiables à partir des seuls textes fondateurs de l’Islam, le Coran et la Sunna.
Exemple : Sourate III, Versets. 163/169 :
« Et ne crois point que sont morts ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah ! Au contraire ! Ils sont vivants auprès de leur Seigneur, pourvu de biens ».
Ceux qui exécutent des attentats se pensent martyrs, vivant auprès de leur Seigneur.
Mais ce qui nous intéresse aujourd'hui porte particulièrement sur les assassinats commandités par Mahomet. Car d’après le comportement du Prophète, l’assassinat politique est tout à fait licite. Il suffit de se référer à la chronique de Tabari ou à la Sira, la biographie du Prophète, pour le constater. Voici comment Tabari raconte quelques-uns des assassinats, au retour de la bataille de Badr, une merveilleuse victoire pour les musulmans mais qui n’a été en fait qu’un coup de main réussi :
« Il y avait une femme du nom d’Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers particulièrement insultants pour le prophète de l’islam. Quand ces vers furent rapportés à Mahomet, il dit tout haut: « Est-ce que personne ne me débarrassera de la fille de Marwan ? ». Il y avait un homme du clan de la poétesse, ‘Omayr Ibn ‘Adi. Il n’avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire preuve de zèle. Le soir même il s’introduisit chez elle. Elle dormait au milieu de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la transperça de son épée et le lendemain alla trouver l’Envoyé de Dieu. Il dit : « Envoyé de Dieu je l’ai tuée ! ». « Tu as secouru Allah et son Envoyé ô ‘Omayr », répondit celui-ci. ‘Omayr demanda : « Est-ce que je supporterais quelque chose à cause d’elle, Envoyé d’Allah ? ». Il dit: « Deux chèvres ne choqueront pas leurs cornes pour elle ! ». ‘Omayr retourna alors dans son clan où ce jour-là, il y avait une grosse émotion au sujet de la fille de Marwan. Elle avait cinq fils et la vengeance pouvait être demandée.
‘Omayr s’adressa à son clan : « Ô Banû Khatma ! J’ai tué la fille de Marwan. Tramez quelque chose contre moi mais ne me faites pas attendre (cette phrase est une citation du Coran). Personne ne bougea.
L’analyste poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l’Islam se montra puissant chez les Banû Khatma ». Le coup avait réussi. L’exploit de ‘Omayr est classé par les chroniqueurs musulmans parmi « les expéditions du Prophète ».
Le mois suivant, le poète centenaire Abou ‘Afak fut tué pendant son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet.Le Prophète avait prononcé négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ?»
Quelqu’un se chargea de l’opération.
Mais l’assassinat politique le plus connue est celui de Kaab Ibn Achraf. C’était un poète de Médine, juif par sa mère, qui n’avait cessé de tourner le prophète de l’Islam en dérision.
Lorsqu’il apprit le succès de Badr ( 15 Mars 624), il se rendit à la Mecque pour inciter les Mecquois à la vengeance. Et là, Mahomet, excédé, ordonne son assassinat, mais de manière détournée, comme un parrain qui lance un contrat sur quelqu’un : « Qui veut me délivrer de Kaab Ibn Achraf ? ».
La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d’Ibn Ishâq, traite longuement des campagnes et expéditions des musulmans à l’époque du prophète. Et parmi les expéditions, on trouve « les assassinats politiques».
Le premier assassinat perpétré sur l’ordre de Mahomet est ce que le traducteur, Abdul Rahman Badawi, intitule « le meurtre de Kaab b. Al-Ashraf ». Kaab était un homme de la tribu de Tayy et sa mère était des Banû al- Nadîr. C’était un poète. Il détestait Mahomet et ne comprenait pas que le réfugié de la Mecque ait fait tuer à Badr des nobles Quraychites. Il ne cessait d’exciter les Mecquois à la vengeance. Il composait des poèmes érotiques visant à détruire la réputation des femmes musulmanes.
Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Qui me débarrasserait d’Ibn Al-Ashraf ? ». Muhammad b. Maslamah répondit : « Moi, ô Envoyé d’Allah, je m’en chargerai, je le tuerai. »
L’Envoyé de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux. » Ibn Maslamah dit : « Ô Envoyé d’Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. »
L’Envoyé d’Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela est permis. »
Et l’assassinat se prépare. L’épisode largement développé par Ibn Ishâq est ici résumé tant les détails sont insoutenables par leur inconsciente cruauté. « Plusieurs hommes s’étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le poète. Un poète, Abu Nâ’ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : « Je n’ai jamais senti un meilleur parfum. » Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ’ilah saisit les cheveux de la tête de Kaab en disant :
« Frappez cet ennemi de Dieu ! » Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab ne pouvaient cependant l’achever. Muhammad b. Maslamah dit : « Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d’un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l’enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu’à ce que j’atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre. » L’assassinat du poète juif est largement traité sur sept longues pages (p.18 à 25) et le récit de cet acte est justifié par Ibn Ishâq qui cite les vers de Hassan b. Thâbit : « Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique ».
Les cas de meurtres recensés par Ibn Ishâq sont nombreux et ils occupent une partie importante du deuxième volume.
C’est le cas par exemple de l’assassinat du juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar. La tribu arabe médinoise des Aw avant la bataille de Uhud, avait tué Kaab Ibn Al-Ashraf. La tribu médinoise arabe des Khazraj, qui ne veut pas être en reste, demande à Mahomet la permission de tuer un juif qui comme Kaab était un ennemi de Mahomet. L’Envoyé d’Allah leur en donna la permission. Là encore, l’assassinat fut collectif et perpétré par ruse : cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se font passer pour des acheteurs.
« La femme d’Al-Huqayq demanda : « Qui êtes-vous ? » Ils répliquèrent : « Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l’approvisionnement en grains. » La femme dit : « Voilà votre homme, entrez chez lui. » Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l’attaquèrent alors qu’il était sur son lit. L’ayant déjà poignardé, Abd Allah b. ‘Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu’elle ressortit de l’autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l’informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l’avoir tué.
Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Apportez-moi vos épées. » Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référent à l’épée de ‘Abd Allah b. ‘Unays il dit : « Celle-ci l’a tuée car j’y vois la trace de la nourriture. » »
Mais il est un autre assassinat politique que l’on ne saurait oublier. Il s’agit de celui de Kinânah b.al-Rabî’, un juif important de Khaybar. Chez lui était censé se trouver le trésor des Banû al-Nadîr, la tribu juive chassée de médine. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor. Kinânah refusait de répondre. Après avoir trouvé une partie du trésor des Juifs, le prophète demanda à Kinânah où se trouvait le reste. Mais ce dernier refusa de l’indiquer. L’Envoyé d’Allah ordonna alors à Al-Zubayr de le torturer :« Al-Zubayr se mit à brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allah le livra à Muhammad b. Maslamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Maslamah. »
Le jour même c’est la veuve de Kinânah, Safiyya, que le Prophète décida de prendre comme épouse. Mahomet n’eut pas la patience d’attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit « de noces » à veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple.»
Cet épisode, pour bien le comprendre, est relatif à la bataille de Khaybar qui a opposé lors de la septième année de l'Hégire (628-629 EC), Mahomet et ses fidèles aux Juifs vivant dans l'oasis de Khaybar, située à 150 kilomètres de Yathrib, actuelle Médine, dans la partie nord-ouest de la péninsule arabique, actuellement en Arabie saoudite.
Riche et puissante, et majoritairement peuplée de Juifs avant ce Djihad, cette bataille devient également le symbole de la victoire musulmane sur les Juifs. Khaybar est d'ailleurs un chant fréquemment chanté lors de manifestations contre Israël, et son nom a été donnée à des pièces d'arsenal comme le Khaïbar 1 ou le Khaïbar-KH2002, supposées répéter l'histoire.
Les historiens contemporains, tel que Norman Stillman et Laura Veccia Vaglieri pensent que la principale raison ayant entraîné Mahomet à attaquer Khaybar est d'accroître son prestige parmi ses partisans, ainsi que d'augmenter son butin pour poursuivre ses conquêtes. De plus, William Montgomery Watt note la présence de la tribu juive des Banu Nadir à Khaybar, qui tentaient de rallier des tribus arabes contre Mahomet.
Les Juifs vaincus furent réduits au servage. Ils se rendirent et durent payer une rançon à Mahomet et donner toutes leurs terres à des Musulmans. Cet accord ne couvrait pas la tribu des Banu Nadir qui avait trouvé refuge à Khaybar après leur expulsion de la Médine. Les troupes de Mahomet décapitèrent tous les hommes de la tribu (près d'un millier) , et prirent les femmes et les enfants survivants comme esclaves. Seuls les habitants juifs de Khaybar furent épargnés. Les Juifs continuèrent à vivre dans l'oasis pendant encore plusieurs années, jusqu'à leur expulsion par le calife Omar. Les taxes imposées aux Juifs vaincus servit de précédant pour l'application de la loi islamique, exigeant le paiement d'un impôt appelé jizya par les Dhimmi (non-musulmans) se trouvant dans un état musulman, et la confication des terres appartenant aux non-musulmans au profit de l'Oumma (communauté des Musulmans).
Dans son livre sur Mahomet (Editions du Seuil , 1961), Rodinson parle des assassinats politiques. Ainsi au retour de Badr la rancune du Prophète se déchaîna contre deux prisonniers mecquois qui avaient dirigé contre lui des attaques intellectuelles. Ils s’étaient informés à des sources juives et iraniennes, lui avaient posé des questions difficiles. Ils s’étaient moqués de lui et de ses messages divins. Mahomet ordonna de les exécuter. L’un d’eux lui dit : « Et qui s’occupera de mes garçons Muhammad ? » Il répondit : « L’Enfer ! »
Autres assassinats commandités, lors de la conquête de la Mecque: ceux de 'Abd Allâh b. Sa'd ( pour cause d'apostasie), 'Abd Allâh b. Khatal ( pour apostasie et meurtre de son esclave musulman) et ses deux esclaves chanteuses : Fartanah et sa copine (qui avaient pour seul tort de chanter pour leur maître des satires contre Mahomet...), al-Huwayrith b. Nujayh b. Wahb b. 'Abd Qusayy ( Pourquoi ? Le coupable « avait fait voyager Fâtimah et Umm Khulthûm – les deux filles de l'Envoyé d'Allâh – de Makkah en direction d'al-Madînah. Al-Huwayrith piqua leur bête et elles tombèrent par terre »), Miqyas b. Hubâbah (« L'Envoyé 'Allâh avait ordonné de le tuer parce qu'il tua le 'Ansâri qui avait tué son frère par erreure et revint à Quraysh et redevint polythéiste »), Sârah, (« une domestique de quelqu'un des Banû 'Abd al-Muttalib. Elle fut parmi ceux qui lui nuisaient à Makkah »), 'Ikrimah b. Jahl.
Sur ces 8 personnes 4 le furent effectivement, les autres n'échappèrent à la mort que dans la fuite puis trouvèrent des intercesseurs auprès de Mahomet qui leur imposa de se convertir pour sauver leur vie. Bien que cela ne soit pas toujours de gaîté de coeur :
Ainsi de 'Abd Allâh b. Sa'd qui se réfugia chez 'Uthmân b. 'Affân qui était son frère de lait. 'Uthmân le cacha jusqu'à ce quil allât avec lui chez l'Envoyé d'Allâh après que les gens et les habitants de Makkah se sont sentis en sécurité; il pria l'Envoyé d'Allâh d'accorder la sécurité à 'Abd Allâh b. Sa'd. On prétend que l'Envoyé d'Allâh se tût longtemps puis il la lui accorda.
Lorsque 'Uthmân partit de chez lui, l'Envoyé d'Allâh dit à ses compagnons qui étaient autour de lui :
« Je me tus afin que quelqu'un d'entre vous se lève et lui coupe le cou. »
Alors un homme parmi les 'Ansârs dit:
« Pourquoi tu ne m'as pas fait signe, Ô Envoyé d'Allâh ? »
L'Envoyé d'Allâh répondit:
« Un prophète ne tue pas par signe ».
En fait l’assassinat fait partie des moyens utilisés par Mahomet pour émerger dans cette politique tribale et arriver à être suffisamment puissant pour qu’on ne songea pas à tirer vengeance de lui et de ses fidèles. Des partisans fanatiques entourent le prophète, prêt à exécuter les basses besognes. Mais c’est Mahomet qui « lance le contrat ». Faire peur, si peur que personne n’osera plus rien tenter contre lui, c’est la stratégie du prophète de l’Islam. Faire peur mais seulement quand il faut.
Ainsi on lui rapporta des propos insultants tenus par Ibn Ubayy, le chef noble de la tribu arabe des Khazraj, le converti du bout des lèvres qui déteste Mahomet qui n’est pour lui qu’un vil usurpateur. Omar lui dit : « Ordonne à Abbad Ibn Bishr de le tuer ! » Mahomet répondit : « Comment cela Omar ? Et les gens diront que Mahomet tue ses compagnons ! » Ibn Ubayy, là-dessus, vint tout nier avec serment à l’appui.
Les Médinois le soutinrent et Mahomet passa l’éponge. Plus tard Ibn Ubayy se comporta de telle façon que les Médinois le désapprouvèrent. Alors Mahomet dit à Omar : « Qu’en dis-tu, si je l’avais tué, par Allah, le jour où tu me l’as conseillé, les chefs médinois en auraient tremblé de rage et maintenant si je leur ordonnais de le tuer, ils le tueraient. »
Alors comment s’étonner des assassinats politiques au nom de l’Islam ? Le 29 juin 1992, le président algérien Mohammed Boudiaf est assassiné à Annaba par un jeune officier de sa garde de sécurité. Déjà en octobre 1981, il y avait eu l’assassinat d’Anouar al-Sadate. Les deux assassins étaient de jeunes officiers d’élite gagnés aux idées islamistes. L’assassin égyptien s’appelle Khalidal-Istambuli ; l’assassin algérien Lembarek Boumaarafi. L’exemple égyptien a nourri l’imaginaire des militants, d’Alger à Téhéran et d’Istanbul à Djakarta. Khalid al-Istambuli a ses boulevards dans la république islamique d’Iran. Son frère est un orateur très demandé dans les milieux religieux. En 1992, l’essayiste laïque Farag Foda a fini par être assassiné au printemps. Mais en gardant à l’esprit l’exemple du prophète, on n’est pas surpris par le comportement de ces musulmans qui débarrassent la communauté de ses « corrupteurs ».
Plus près de nous, pensons à Théo Van Gogh, sans comptez tous ceux qui en Europe même sont menacés de mort sous le prétexte qu'ils auraient insulté l'islam ou Mahomet et qu'ils auraient provoqué un juste sentiment de révolte dûe à une « humiliation ».
Humiliation ? Justement le Coran en parle, lui, mais vis à vis des non musulmans ...
Sourate IX intitulé (humour noir ?) L’immunité, versets 3 et suivants…
« Proclamation d’Allah et de son Prophète
Adressée aux hommes le jour du Pèlerinage :« Allah et son Prophète désavouent les polythéistes.
Si vous vous repentez,
Ce sera un bien pour vous ;
Mais si vous vous en détournez,
Sachez que vous ne réduirez pas Allah à l’impuissance »
Annonce un châtiment douloureux aux incrédules,
A l’exception des polythéistes
Avec lesquels vous avez conclu un pacte ;
De ceux qui ne vous ont pas ensuite causé de tort
Et qui n’ont aidé personne à lutter contre vous.
Respectez pleinement le pacte conclu avec eux, jusqu’au terme convenu.
-Allah aime ceux qui le craignent-
Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes, partout où vous
les trouverez ; Capturez-les, assiégez-les, Dressez-leur des embuscades. Mais s’ils se repentent, S’ils s’acquittent de la prière, S’ils font l’aumône, Laissez-les libres.
-Allah est celui qui pardonne, il est miséricordieux.-»
Sourate VIII - Le butin, versets 17 et suivants :
Ce n’est pas vous qui les avez tués ; Mais Allah les a tués. Tu ne lançais pas toi-même les traits
Quand tu les lançais
Pour éprouver les croyants
Au moyen d’une belle épreuve venue de lui.
-Allah est celui qui entend et qui sait tout-
et Sourate IX , verset 14
Combattez-les !
Allah les châtiera par vos mains ;
Il les couvrira d’opprobres ;
Il vous donnera la victoire ;
Il guérira les coeurs des croyants ;
Et il en bannira la colère.
(…) Combattez-les
Jusqu’à ce qu’ils payent directement le tribu
Après s’être humiliés.
Les Juifs ont dits :
« Uzaïr est le fils de Dieu »
Les Chrétiens ont dit :
« Le Messie est fils de Dieu »
Telle est la parole qui sort de leurs bouches ;
Ils répètent ce que les incrédules disaient avant eux.
Qu’Allah les anéantisse !
Ils sont tellement stupides ! »
Mahomet est le père fondateur de l'Islam. Toucher à son image, au sens propre comme au figuré, semble insupportable pour beaucoup. Car en amont cela reviendrait à dire que ce qu'il dit n'est en rien divin, et qu'il n'a jamais reçu le moindre message d'un quelconque Archange affirmant que l'Islam est La Loi temporelle à laquelle il faut se soumettre ( « Le Coran est notre Constitution » annonce logiquement l'un des représentants du CFCM), que le Coran n'est pas un livre Parfait et Incréé, et que lui-même n'est certainement pas l'Envoyé de Dieu et donc le « beau modèle » à suivre.
" Je suis le prophète du carnage. Je suis un rieur sanglant. » a pu dire Mahomet selon un Hadith (parole) cité par Ibn Taymiya, célèbre juriste et théologien musulman (1263-1328), (cité par J.-P. Charnay, Principes de stratégie arabe, Paris, L’Herne,1984,p.510.).
Nous ne sommes pas certain de la véracité historique de cette dernière parole mais en revanche tous les assassinats cités plus hauts sont, eux, connus et reconnus ( et il y en a d'autres!) . Ils ne posent aucun problème d'éthique pour les savants de l'Oumma ... tout comme l'existence même de cette dernière citation. Mais peut être parce que pour les uns comme pour les autres les mêmes mots n'ont pas la même signification.
Ces épisodes de la vie de Mahomet sont juste un peu « caché » aux Occidentaux ethnocentrés et analphabètes que nous sommes. Il est peut être temps que nous en soyons informés ... On ne sait jamais, cela nous rendra ( peut être) moins naïfs, ou en tout cas plus renseigné et donc plus ... prudent ...
Enki40
22:05 Publié dans 04 - COLLABORATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, ps, modem, sarkozy, france, royal, jeunes populaires | | Facebook | |
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