Le sabotage de l'assimilation dès l'enfance...

 

   A l'époque de cette vidéo, il était communément admis que les travailleurs étrangers "n'avaient pas vocation à rester sur le territoire" comme dirait l'autre. A partir de là, maintenir leur progéniture dans la sphère culturelle arabe était indispensable, car le déracinement n'en déplaisent aux multiculturalistes forcenés, est un crime. Crime contre ses ancêtres, crime contre l'identité de chaque être humain, crime contre les patries charnelles. A partir du moment où l'on a voulu, en 1974 (date du catastrophique regroupement familial), transformer l'immigration de travail en immigration de peuplement, cette politique renvoyant constamment les enfants à l'identité de leur parents et maintenant grands parents, a conduit tout naturellement au communautarisme  :

                                                                

Extrait de l’étude « L’islamisation de la France » édition de Bouillon, 2006, page 367 :

« Le programme Elco, ou l’enseignement de l’islam à l’école de la République 

                                            

   Le sigle Elco signifie « Enseignants de langue et de culture d’origine ». Depuis 1970, ce programme permet aux élèves étrangers, naturalisés ou d’origine étrangère, de bénéficier de cours de langues par des professeurs des pays d’origines, nommés par les pays d’origine. Le programme encadre 50 000 élèves, majoritairement musulmans. Or, l’apprentissage de l’arabe s’appuie entre autre sur un ouvrage dans les pays concernés, le Coran.

   Afin de créer une continuité sur l’enseignement des écoles primaires bénéficiant d’Elco, certains collèges continuent la filière jusqu'à créer des classes bilingues. Ainsi, le proviseur du collège Jean Vilar de Grigny a ouvert une classe bilangue, pour s’adapter aux élèves à 99% d’origine arabo musulmane. Dès 1997, le ministère des Affaires étrangères, avertit par la DGSE, s’inquiéta des dérives de nombreux professeurs s’apparentant  plus à des imams qu’a des enseignants : «  Généralement ignorant de notre langue, ils sont soupçonnés de faire de l’enseignement Coranique dans un esprit fondamentaliste ». En 2003, la commission Debré chargée d’enquêter sur les influences religieuses à l’école, en pleine polémique sur les « signes ostensibles »  entendit de nombreux praticiens des milieux scolaires. Parmi eux, Françoise Gaspard, ancien maire de Dreux évoquait que « beaucoup d’Elco professent la religion » et qu’ils sont « les noyaux de la création de structures fondamentalistes radicales ».

    En mai 2004, Thierry Mariani, député du Vaucluse, demanda à l’assemblée nationale qu’une commission d’enquête soit nommée pour étudier le phénomène. L’assemblée rejeta son idée, malheureusement. »

   Nicolas Sarkozy, en bon communautariste, ne remettra pas en cause le programme Elco. La libanisation de la France se renforcera durant son mandat, c'est inéluctable.