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17/12/2007

Rupture ? Rachida Dati renforce le partenariat judiciaire avec l’extrême gauche islamophile

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   Dans Présent daté du mardi 18 décembre, Frank Deletraz s’inquiète de la collusion entre la ministre de la justice et les associations immigrationnistes d’extrême gauche :

                                                                                    
« Le ministre de la Justice Rachida Dati a renforcé encore un peu plus vendredi la traque totalitaire des prétendues « discriminations » en France en signant deux conventions avec SOS-Racisme et la Licra ayant pour objectif de « développer des réseaux » qui alerteront les « pôles anti-discrimination » des tribunaux récemment créés et chargés de lutter « contre les discriminations fondées sur l’origine, l’appartenance réelle ou supposée à une ethnie, une nation, une race ou une religion ».  (Suite dans Présent, présent en kiosque)

 

    Le site du Premier Ministre explicite le projet de partenariat avec les groupuscules extrémistes  :

                                                                                  

   Rachida Dati a souhaité voir installer dans chaque tribunal de grande instance, des pôles antidiscriminations. Il en existe déjà 181. Chaque pôle est composé d’un magistrat référent du parquet et d’un délégué du procureur issu généralement du monde associatif - Union départementale des associations familiales, Sidaventure, Licra... Les missions de ces pôles : veiller au traitement judiciaire des plaintes et "s’assurer que les poursuites engagées aboutissent à des condamnations dissuasives". En signant des conventions-cadres avec SOS Racisme et la Licra, la garde des Sceaux donne un cadre juridique à cette coopération. Elle demande à ces deux associations :

-    d’aider les pôles à constituer un réseau local de lutte contre les discriminations. Les comités locaux des deux associations seront mobilisés pour identifier les pratiques discriminatoires en utilisant des techniques comme le testing réel ;


 - de tenir des permanences d’information dans les centres d’accès au droit et dans les maisons de justice mais également de former les magistrats et les enquêteurs. Les élèves de l’Ecole nationale de la magistrature et de l’Ecole nationale des greffes en bénéficieront ;

            
 - de mettre en œuvre des actions de sensibilisation dans les établissements scolaires et universitaires ;

                     
 -  d’accompagner les victimes dans leurs démarches.

(communiqué du 14/12/2007)

La Licra et SOS Racisme instrumentalisent et dévoient le vrai anti-racisme pour attaquer tous ceux qui critiquent l’immigration massive et l’islam. Rappel des faits d’armes édifiants des deux groupuscules néo-communistes attaquants les résistants à l’islamisation   :


a) la Licra, ou l’illustration parfaite de la mutation du communisme de combat en succédané « anti-raciste » :

 

-    La Licra avait attaqué en justice monseigneur Lefebvre qui refusait de voir d’établir des mosquées en France. Le prélat, indigné par la fausse accusation de racisme, dénonça le 12 Mai 1990  cette atteinte à la liberté de pensée :

                                                                                    

« Le Coran, qui est la loi de l'Islam, provoque à la discrimination, à la haine et à la violence. Ne m'attribuez pas ce que je dénonce. Les preuves de cette haine et de cette violence sont légions dans le passé et dans le présent. Tant que les Musulmans sont une minorité insignifiante dans un pays chrétien, ils peuvent vivre amicalement parce qu'ils acceptent les lois et les coutumes du pays qui les reçoit. Mais dès qu'ils sont nombreux et organisés, ils deviennent agressifs et veulent imposer leurs lois hostiles à la civilisation européenne »

 

-   En 2003, la Licra poursuivit un autre prêtre catholique, l’abbé Sulmont. Ce curé de 80 ans offrant ce qui lui reste d’énergie à la survie de huit églises de la Somme, publia dans son bulletin paroissial un avis tranché sur l’islam, ce qui d’un point de vue catholique se comprend aisément : « l’islam modéré n’existe pas. Toutes les populations infectées par la religion musulmane sont endoctrinées par le Coran (…) qui est le manuel pratique pour que s’étende le règne du démon au dépens du Royaume du Christ ». Pour avoir également dit « si les familles occidentales se sont réduites en nombre d’enfants comme peau de chagrin […] les Asiatiques (ndlr: comprendre les turcs) prolifèrent et nous envahissent, véhiculant une idéologie menaçante pour le monde entier. ». L'idéologie islamique bien évidemment.

 

-   Plus récemment, pour avoir demandé à deux femmes de ne pas porter le voile dans les parties communes de son gîte privé, Fanny Truchelut a été condamnée pour discrimination à 4 mois de prison avec sursis, 1000€ d'amende et 7490€ de dommages et intérêts. La Licra s’était portée partie civile aux côté des communistes du Mrap. Marianne notait dans son édition Internet du 16 octobre : « On peut critiquer le voile en Afghanistan mais pas en France » . Evoquer le racisme était dans l’affaire hors sujet, surtout que la propriétaire, de gauche, avait “demandé d’enlever le voile dans les parties communes [du gîte], c’est-à-dire la salle de télévision. Si elles voulaient le garder dans leur logement ce n’était pas un problème.”. Ce que madame Truchelut ne savait, c’est que la  cliente  musulmane, Horia Demati est une active militante pro-voile qui a réussi son coup médiatique...grâce aux complicités de la Licra.

 

    La Licra a été créée par un des plus actifs lobbyiste communiste du XXème siècle, Bernard Lecache, en 1932. A l’époque, seul l’antisémitsme étant porteur (malheureusement à juste titre), l’organisation s’appelle  Ligue contre l’Antisémitisme (Lica) sans le « r » de racisme. En 1928, Lecache adhère à l’Association des amis de l’Union soviétique et collabore à la revue des Soviets. Une note n° 56249 adressée le 18 janvier 1936 par un fonctionnaire de l’Intérieur, au président du Conseil (le syndicaliste socialiste Pierre Laval, futur collaborateur avec l'occupant nazi) rapporte :

                                                     

    «  Bernard Lecache, le secrétaire de la Lica, est subventionné par les soviets depuis 1927. A cette époque, il était  très lié avec l’ambassadeur Rakovsky, qui le fit nommer comme rédacteur au journal Le Soir.[…] Lecache, de sa propre initiative, publia une feuille intitulée Le Cri des peuples et fut aidé par l’ambassade soviétique, en la personne du conseiller Arens[…] actuellement, pour la publication de son nouveau journal, Le Droit de Vivre, Bernard Lecache reçoit chaque mois 10 000 francs de l’ambassade soviétique »

    Lecache restera à la tête de la Lica jusqu’à sa mort en 1968. Toute sa vie, il sera payé par les agents de l’est pour réaliser sa propagande anti-nationale, visant à faire perdre tout sens de cohésion identitaire aux français. Il ne faut pas oublier que 75% des effectifs du KGB ne faisaient pas de l’espionnage mais des « opérations psychologiques », soit de la désinformation et du « bourrage de crâne ».  La méthode est archi-connue, il s’agit de diffuser les opinions selons lesquelles :

                                                                                               

-         s’opposer aux flux migratoires, mêmes invasifs, est « raciste »

-         ne pas régulariser les clandestins, c’est « raciste »

-         critiquer l’islam, c’est « raciste »

-         défendre la souveraineté de la nation, c’est le prélude au fascisme

-         la frontière, cela provoque un « frileux repli sur soi » et non une « ouverture sur la diversité source d'enrichissement »

-         etc, etc…

                                                                         

b) SOS Racisme ou SOS islamophobie ?

 

(tiré de l’ouvrage L’islamisation de la France, éditions de Bouillon, 2006, page 411)

 

   « La première prise de défense de l’islam par SOS racisme eut lieu lors de la première affaire du voile en 1989 à Creil, lorsque le principal de l’établissement, Ernest Chenière, renvoya trois tunisiennes refusant d’ôter le foulard islamique. Une immense polémique médiatique s’en suivit, les hautes autorités intellectuelles de gauche, Elisabeth Badinter, Régis Debray et Alain Finkielkraut, prenant la défense du proviseur face aux pressions islamistes à l’école. De tout temps dans l’école de la République, les élèves doivent se découvrir pendant les cours en signe de respect pour le professeur. Au nom de quoi l’islam obtiendrait il un passe droit ? Pourtant, SOS Racisme choisit le camp des islamistes qui défilèrent dans la rue.

 

   Jacques Peyrat, maire UMP de Nice, en décembre 2005 exprima dans les colonnes du Monde son refus de voir une mosquée s’ériger en plein cœur de son centre ville. SOS Racisme, dans sa course à l’échalotte effrénée avec le Mrap pour obtenir le nombre maximal de dépêches AFP, lança la première une plainte à l’encontre du maire pour « incitation à la haine religieuse », sans que personne ne s’offusque de l’ingérence d’une association sous perfusion d’argent public dans un domaine qui lui est étranger, car non de race mais de religion il s’agit là.

   Dans le Jura, c’est le Maire de Saint-Claude, Jean Louis Millet qui fut une cible du satellite socialiste. En octobre 2003, le Maire (MPF), lance un cri d’alarme à Nicolas Sarkozy sous la forme d’un courrier où il clame son désarroi face à la turquisation d’une petite ville de 13 000 habitant, littéralement colonisée par une immigration turque, estimée à 40% de la population, drainant son lot de trafic de drogue et de dépaysement. N’assimilant pas bien entendu tous les Turcs à des trafiquants de drogue, le Maire relève néanmoins une tendance corroborée par les criminologues, tel Xavier Raufer titrant dans la Nouvelle Revue d’Histoire un article « La mafia turque à la conquête de l’Europe. »[1]

   Pour SOS Racisme, évoquer un flux migratoire trop important, c’est forcément du racisme. Des turcs sont notoirement connus par la gendarmerie de Saint-Claude pour trafic ? Racisme. Racisme aussi que de soulever l’origine ethnique des voyous. Le communiqué de l’association est le suivant : « La diffusion de cette lettre constitue un délit d’incitation au racisme c’est pourquoi en avril 2004, SOS Racisme a déposé plainte auprès du procureur de la République de Lons le Saunier et ensuite une pétition a localement été lancée pour défendre l’esprit d’accueil et de fraternité des habitants de St Claude. »    Au printemps 2005,  la plainte saugrenue de SOS Racisme est classée  sans suite par le Procureur de la République. Le Maire contre attaque et fait comparaître devant le tribunal pour diffamation les premiers signataires de la pétition antiraciste. A ce jour, le tribunal n’a pas encore donné son verdict. »

 

Voilà avec quelles organisations collabore Rachida Dati. Un ministre communiste n’aurait pas fait mieux.


Joachim Véliocas, décembre 2007.

 


[1] La Nouvelle Revue d’Histoire, La Turquie et l’Europe,  Janvier-Février 2005

23:45 Publié dans 04 - COLLABORATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, ps, modem, sarkozy, france, royal, jeunes populaires | |  Facebook | |

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