15/04/2008
Mayotte : droit du sol, islamisation et Rue 89
Mayotte est une collectivité départementale d'outre-mer française située dans l'archipel des Comores au nord-ouest de Madagascar. Elle se situe dans le canal de Mozambique, dans l'océan Indien. Ses habitants sont des Mahorais. 90 % de la population est musulmane.
Un flux d'immigrés clandestins incontrôlé aboutit à ce que prés de 50 % de la population soit constitués de délinquants aux lois sur l'immigration. Sans compter les enfants des nombreuses femmes étrangères qui viennent accoucher à Mayotte pour que leur enfant ait la nationalité française par l'illogique droit du sol (65 à 75 % des naissances à Mayotte sont issues de l'immigration clandestine).
Grâce aux subsides largement déversés par la France, Mayotte jouit d'un niveau de vie très supérieur à celui du reste de cette partie du monde.
(Source Encyclopédie Wikipedia et "Mayotte : porte d'entrée de l'Europe pour les africains de l'Est", article de Benoît Hopquin dans le journal "Le Monde").
2- Qui est Abdallah Sambi, président de l’Union des Comores ?
Le journal de la Réunion Clicanoo, par la plume de Philippe le Claire, a dressé un portrait du président de l’Union des Comore, Abdallah Sambi, qui vient de renverser le colonel Bacar au pouvoir à Anjouan depuis 2001, démocratiquement légitimé l’année suivante :
« C’est un mouvement de réaction anti-Azali qui a porté Sambi au pouvoir, mais ce dernier ne paraît pas avoir l’intention de respecter les institutions fédérales et aurait plutôt tendance à œuvrer à l’érection d’une République Islamique centralisée dont il serait tout à la fois le « guide spirituel » et le Président. Surnommé « Aha » ou « ayatollah », Abdallah Sambi, alias le « guide », homme d’affaire anjouanais formé dans le monde arabe, chiite, étiqueté « islamiste » dans son propre pays, n’a cessé de battre campagne dans les mosquées depuis son retour aux Comores en 1986. »Lire l'article entier.
3- Comment Abdallah Sambi a « libéré » la quatrième île des Comores de Bacar :
Dans le Journal de la Réunion, Christian Chardon présente la « libération » d’Anjouan :
« Les libérateurs, les défenseurs de la démocratie, la clique chiite organisée autour de l’Iran, la Lybie, le Soudan, etc., montre désormais son vrai visage. Ajouan est l’objet d’une épuration sans précédent. La vague d’arrestation diligentée par les troupes qui ont débarquée sur Anjouan s’amplifie de jour en jour. Hier, soixante arrestations. Aujourd’hui plus de mille[…] Pillages et saccages ont aussi été très nombreux[…] la fièvre a gagné et de simples Anjouanais ont vu leur domiciles vidés par des excités sous les yeux d’intégristes étrangers.» La charia vient d’être décrétée.
4- Comment les clandestins anjouanais de Mayotte ont soutenu Abdallah Sambi
Les 26 et 27 mars, suite à l’accueil par Mayotte du réfugié Bacar, les comoriens anjouanais clandestins du département français réagissent en s’insurgeant. Furent visés tout symbôle représentant la France, et en premier lieu l’homme blanc (voir vidéo).
Un habitant de Mayotte, témoin, commenta sur le site Internet du Point :billou62 Émeutes à Mayotte
jeudi 27 mars | 16:35
Les blancs sont visés par les anjouanais... à l'heure actuelle, un mort est à déplorer, un autre métro a eu le bras tranché par un tchambo (long couteau), les blessés se comptent... la situation est tendue à 18 h 33 heure locale et la nuit risque d'être chaude...
5- Le traitement de l’affaire des pogroms anti-blancs par Rue 89
Le médiocre média de gauche qui monte, Rue 89, a présenté la situation de manière scandaleusement inversée. La chasse aux Mzungus (français blanc) est pudiquement présentée comme des « émeutes d’Anjouanais », Mzungus étant partiellement traduit par « métropolitains », omettant la dimension raciale du mot. Mieux, les Anjouanais clandestins qui ont fomenté les attaques anti-blanches deviennent les victimes de la police française : « la "chasse" aux Anjouanais a commencé, alors que cette communauté ne faisait déjà pas l’unanimité dans l’île, souvent accusée de créer de l’insécurité, et beaucoup stigmatisée. » Lire l'article en entier.
Le journaliste Nicolas Goinard (sûrement jeune amateur dans le cas du fonctionnement du média rue 89) ne va pas jusqu’à nier que les autochtones Mahorais soutiennent les Français de métropole face aux clandestins qui osent manifester au grand jour leur haine de la France, mais nie que ces derniers sont responsables de la délinquance sur l’Ile, pourtant de notoriété publique. L’accélération des expulsions légitimes des clandestins colonisant et déstabilisant cette terre de France, jusqu’au pogrom anti-blanc, est insoutenable pour le média gauchiste.
20:39 Publié dans 13- ISLAMISATION | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marine le pen, ump, ps, modem, sarkozy, france, royal | | Facebook | |
Les commentaires sont fermés.