15/06/2008
L'autre collaboration
Avec d'autres nouveaux régiments composés des populations turkmènes, ouzbèques,azéries et tatares ralliées, ravies de mener revanche contre le régime communiste athée qui annhila l'islam en déportant imams et fermant les madrasas, les combattants musulmans atteignirent un tel nombre que deux écoles d'imams furent créées par le Reich, l'une à Dresde, l'autre à Gottingen, afin d'encadrer les djihadistes.
En novembre 1944 al-Husseini annonça avec enthousiasme au Micro de Radio-Berlin, la création d’une autre entité combattante, la Légion arabe, destinée à permettre la poursuite de la guerre contre les juifs installés en Palestine aux côtés de l’Axe, mais le projet fut avorté, l'issue du conflit étant déjà scellée.
Dès lors, on ne s’étonnera pas que le célèbre banquier du nazisme suisse François Genoux, héritier testamentaire d’Hitler et de Goebbels, se lia d’amitié avec Said Ramadan, père de Tariq et Hani, s’étant converti à l’islam comme de nombreux dignitaires nazis
Stefano Fabei, Les arabes de France sous le drapeau du Reich, Ars Magna, 2005 résumé disponible ici
Stefano Fabei, Le faisceau, la croix gammée et le croissant, Acribeia, 2006
Roger Faligot, Rémi Kauffer, Le Croissant et la croix gammée : Les Secrets de l'alliance entre l'Islam et le nazisme d'Hitler à nos jours, Albin Michel, 2000
(Voir aussi notre note : Boualem Sansal dans Le Nouvel Obs: «La frontière entre islamisme et nazisme est mince»)
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