La Mairie de Montpellier harcelée pour une mosquée

 

 Hier, entre 500 et 700 perssones se sont rassemblées devant la mairie de Montpellier. 21 cars avaient été affrétés pour l’occasion, selon les organisateurs. Non contents d'avoir une salle municipale mise gratuitement à disposition par la mairie (la "salle polyvalente" Averroes) , la communauté veut acheter désormais le local ou construire une mosquée sur un autre terrain.

Montpellier journal nous rapporte les faits :

  Une banderole explique : “Cette crise fait suite à l’ingérence d’une personne du cabinet de Mme le maire.” D’après plusieurs personnes présentes, il s’agirait de Jean-Michel Pierre qui apparaît encore comme chef de cabinet d’Hélène Mandroux sur le site de la mairie. Dans une déclaration, l’imam Khattabi a d’ailleurs fait aussi référence à “un fonctionnaire de la mairie” qui aurait fait du chantage aux papiers en disant : “C’est nos locaux, on installe et on parachute qui on veut. Et si vous n’êtes pas calmes, votre imam, dans deux semaines, va partir.”  L'imam est donc étranger, et veut implanter une mosquée ne s'identifiant même pas au fumeux "islam de France". On se demande bien au nom de quoi la communauté marocaine voudrait un minaret à des centaines de kilomètres du Maroc, pays qui interdit la diffusion des religions non musulmanes, notament chrétienne, par son article 220 du code pénal ! N'est-ce pas Maroc Hebdo d'avril 2009 qui rapporte les propos de Mohamed El-Hamdaoui, président du parti Unité et Réforme : "L'Etat a ressenti le danger des chiites et des missionnaires qui menace l'unité religieuse des Marocains"

  Une délégation de 6 personnes a été reçue en mairie . Mais cette fois, elles voulaient remettre, en main propre, une lettre au maire. Le courrier avait été confié par Loussine Thari à Fraji Allal. Celui-ci affirme être toujours le vice-président de l’association des franco-marocains, gestionnaire de la salle polyvalente. Il était missionné par Lhoussine Thari, son président. Hélène Mandroux a fini par céder et Fraji Allal est monté dans le bureau du maire. Quelques minutes plus tard, le résultat de l’entrevue est communiqué aux fidèles présents, par l’imam, après un rapide entretien avec Fraji Allal : “Il a transmis la lettre en main propre. En attendant, il faut que la communauté soit prête pour un projet. Parce que, la réponse, j’en suis convaincu, ne peut-être que favorable. Parce que je sais que la mairie va collaborer dans ce sens

Lire la suite sur Montpellier journal, avec des vidéos éloquentes. Les musulmans ont fini par réaliser une prière publique devant la mairie de Montpellier !