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La majorité des musulmans veut vivre sous la charia (sondage)

"Selon une enquête menée par le Pew Research Center, la majorité des musulmans souhaitent vivre selon la charia. L’étude publiée le 30 avril, est intitulée Les musulmans du monde : Religion Politiques, et Société. Pew Research Center est un think tank qui publie des études et des informations sur des sujets souvent controversés. Pew Research a réalisé ce sondage entre 2008 et 2012, sur près de 38 000 personnes de la communauté musulmane vivant dans 39 pays différents.

Les musulmans les plus favorables à loi basée sur le Coran et la Sunna se situent surtout dans les pays d’Asie, du Moyen-Orient, et d’Afrique. Le directeur de l’agence, Jim Bell, souligne qu’il existe des écarts selon certains pays. En Turquie ils sont 12%, et en Azerbaïdjan 8%, à vouloir établir la charia comme loi officielle nationale, alors qu’ils sont 71% au Nigeria, 72% en Indonésie, 74% en Egypte, et 99% en Afghanistan.Lire la suite

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04/05/2013 | Lien permanent

Le ”Livre noir de l'islam”, une ressource documentaire à lire.

Le-livre-noir-de-l’islam-de-Jean-Robin.jpegL'exercice des "livres noirs" a toujours été périlleux. Il est toujours difficile de faire l'étude exhaustive d'idéologies qui ont une emprunte temporelle et spatiale si chargée qu'un opuscule ne saurait rendre compte sans faire d'impasses. Le fameux "Livre noir du communisme" fut un tour de force qui rencontra un beau succès international. Le "Livre noir de la révolution française" fut aussi une somme d'intérêt, réunissant les meilleurs spécialistes se penchant sur des thèmes partiels de l'évènement.

Le "Livre noir de l'islam" écrit seul par Jean Robin qui n'est pas membre du sérail universitaire, était donc ambitieux, voire présomptueux. Ce journaliste atypique et "touche à tout" a le mérite d'étudier de près le dossier islam depuis de nombreuses années, et a choisi de réunir des documents forts intéressants qui n'abordent que des facettes du totalitarisme vert, mais c'est déjà ça.

Il est un bon outil de réinformation, sur l'histoire de l'Islam en tant que civilisation durant les croisades, la traite négrière, l'alliance avec le nazisme (cachée par les médias) et surtout l'émergence contemporaine de l'islam radical dans le monde.

Qui parle encore des massacres perpétrés ces vingt dernières années par les soldats d'Allah au Timor, en Indonésie ou Bangladesh, au Soudan ?  La liste de ce bilan à mettre au débit de l'islam est enfin réunie dans un ouvrage.

A avoir pour compléter sa bibliothèque sur l'islam vu tel qu'il est et non pas fantasmé par les islamophiles qui pullulent dans les médias. 

Se procurer l'ouvrage sur le site de l'éditeur.

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11/05/2013 | Lien permanent

Egypte: des Chrétiens crucifiés devant le palais présidentiel

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«Un correspondant de Sky News Arabic au Caire a confirmé que des manifestants appartenant aux Frères musulmans crucifiaient les opposants du président égyptien Muhammad Morsi, nus sur des arbres en face du palais présidentiel, et abusaient d’autres opposants. Des partisans des Frères musulmans ont également verrouillé les portes de lieux de production de médias dans le quartier du 6-Octobre [un important quartier de médias au Caire], où ils ont attaqué plusieurs journalistes populaires. » [   ]

Loin de condamner ces terroristes, Al-Azhar, la plus haute autorité islamique en Égypte, vient de publier une fatwa appelant à davantage de violence et de répression : « combattre ceux qui participent aux manifestations contre les Frères musulmans prévues pour le 24 août est une obligation religieuse ».

La plupart des sites arabes mentionnés ci-dessus soulignent que ces attaques font partie de la campagne des Frères musulmans pour intimider les médias laïques et les empêcher d’exposer le programme islamiste des Frères, ce que font tous les jours Youm 7, On TV et Okasha. [   ]

En réalité, il y a peu de raisons de douter de cette histoire de crucifixions. Dans le monde musulman, des militants musulmans crucifient régulièrement leurs adversaires : en Côte d’Ivoire, des partisans du président musulman ayant évincé un chrétien ont crucifié deux frères chrétiens ; en Indonésie, des séparatistes islamiques ont crucifié un musulman accusé d’être un informateur de l’armée ; et en Irak, des militants musulmans ont crucifié des enfants chrétiens. [   ]

Fait révélateur : il y a quelques mois à peine, et pour la première fois dans l'histoire moderne de l'Egypte, un député a proposé d'institutionnaliser les peines les plus draconiennes de la charia, y compris la crucifixion.

Sous les Frères musulmans en Egypte, la bouteille a été ouverte et le génie s’est échappé. Le pire est encore à venir.

Source : Muslim Brotherhood 'Crucifies' Opponents, Attacks Secular Media, par Raymond Ibrahim, 15 août 2012. Extrait traduit par Poste de veille

Sources médias arabes: Arab NewsAl Khabar NewsDostor Watany, and Egypt Now

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21/08/2012 | Lien permanent

USA : Le rapport du Center for Security Policy - la charia, une menace pour l'Amérique

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Cliquer sur l'image pour télécharger le rapport.

La charia est une menace pour les États-Unis

Un panel d'experts de la sécurité nationale qui ont travaillé sous des présidents républicains et démocrates exhortent l'administration Obama à abandonner sa position selon laquelle l'islam n'est pas lié au terrorisme et affirment que les musulmans radicaux utilisent la loi islamique pour la subversion des États-Unis.

Dans un rapport qui doit sortir aujourd'hui, le groupe affirme qu’il est «vital pour la sécurité nationale des États-Unis, et la civilisation occidentale dans son ensemble, que nous fassions notre possible pour soutenir les authentiques musulmans modérés et réformateurs.»

Le groupe d'étude, parrainé par le Center for Security Policy d’orientation conservatrice, explique dans son rapport que parmi les divisions internes dans l’islam, les promoteurs de l’avancée de la loi islamique sont la ligne de démarcation cruciale qui sépare les musulmans véritablement modérés, comme feu le président  indonésien Abdurrahman Wahid, de la grande partie du milliard de musulmans qui préconisent d'imposer ce qu'ils appellent la charia dans le monde entier .

M. Wahid, décédé en décembre, est un visionnaire musulman largement respecté qui a promu le pluralisme en Indonésie,  le pays qui compte la plus importante population de musulmans. 

Selon le rapport, les partisans de la charia sont des «suprémacistes musulmans» qui mènent un «djihad civilisationnel» avec les terroristes islamistes engagés dans le djihad violent comme al-Qaïda.

Le groupe d'étude composé de 19 membres a été dirigé par l'ancien lieutenant général William G. Boykin, sous-secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement sous l'administration de George W. Bush, et le lieutenant-général à la retraite Harry E. Soyster, directeur de l’agence de renseignement de la Defense  de 1988 à 1991.

L’équipe d’anciens officiels de la Défense, des forces de l’ordre et du renseignement comprenait James Woolsey, directeur de la CIA sous l’administration Clinton, et Andrew C. McCarthy, ancien assistant procureur général à New York et procureur de carrière en matière d’anti-terrorisme sous l’administration Clinton. Lire la suite sur Poste de Veille

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17/09/2010 | Lien permanent

Minarets: Alexandre del Valle remet les pendules à l'heure

  Le chercheur Alexandre del Valle (site), spécialiste de l'islamisme, professeur à l'Université européenne de Rome, chercheur associé à l'Institut Choiseul, dénonce l'islamophilie du milieu journalistique parisianiste :

Lu sur le blog de la Droite Libre :

" Depuis le référendum sur les minarets tenu en Suisse, on entend s'élever partout en Europe et dans le monde des voix moralisatrices et islamiquement correctes qui condamnent non seulement la consultation populaire par laquelle les électeurs helvètes ont rejeté les Minarets mais aussi le peuple suisse souverain lui-même, accusé de faire le jeu des partis de droite populistes ou « racistes », d’être devenus intolérants et « islamophobes », etc, « rejeter l’Autre », de remettre en questions les droits de l’Homme, etc.


Quelques observations sur l’indignation à sens unique

La première observation que cet évènement médiatisé à outrance éveille en moi est la suivante : Lorsque le dictateur ou « Guide » de la Jamahariyya socialiste libyenne Muammar Khadafi et son fils ont appelé ces derniers mois à « démembrer la Suisse » (cf discours de Khadafi à l’ONU) ou de « d’atomiser puis rayer de la carte ce pays » (dixit Hannibal Khadafi) sous prétexte que la justice suisse a osé envisager d’appliquer la loi helvétique à Hannibal Khadafi qui avait séquestré et battu des employés de maison (il fut en fait libéré et le Président suisse en personne dut présenter ses excuses officielles…), AUCUNE des voix actuellement tant indignées à propos des minarets interdits en Suisse n’a osé s’élever contre l’une des grandes dictatures du monde, parraine de maints attentats, organisations terroristes et même complice du génocide des Chrétiens et musulmans du Soudan et du Darfour voisins. De même, et il ne s’agit pas là que de mots, lorsque chaque jour des Chrétiens d’Egypte, d’Irak, du Liban, du Soudan, d’Indonésie, du Pakistan et même de la soi-disant laïque et tolérante Turquie sont brimés, humiliés, persécutés ou assassinés par des groupes islamistes, nationalistes ou paragouvernementaux, nos indignés professionnels et autres « anti-racistes » de profession ne brillent pas particulièrement par leur réactivité. Curieusement, lorsque maintes dictatures rouges ou vertes (Cuba, Corée du Nord, Iran, Arabie saoudite, Pakistan, Zinbabwé, etc) trucident leurs minorités ethno-religieuses et les membres de l’opposition lorsque qu’elle peut encore s’exprimer, les médias et les autorités morales de la vieille Europe si vigilante par ailleurs en ce qui concerne les moindres réactions identitaires en Suisse ou en Italie (diabolisation du Gouvernement Berlusconi par exemple) ne bronchent pas. suite

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05/12/2009 | Lien permanent

”L'islam défend d'investir dans l'armement”

Les désinformateurs professionels ne reculent devant aucun mensonge :

Lu dans le quotidien socialiste gratuit 20 minutes, édition du 6 juillet 2009 :

 Titre : "L'islam défend d'investir dans l'armement"

"L'université Paris Dauphine s'apprête à lancer une formation en un an, de niveau master 2, intitulée « Principes et pratiques de la finance islamique ». Elyès Jouini, son responsable, explique les enjeux de ce secteur et de ce diplôme :

Il s'agit d'une finance qui respecte les principes du droit musulman. Elle exclut par exemple le prêt à intérêt, puisqu'elle interdit de séparer le risque et le gain. Elle bannit aussi les prises de risque excessives. Enfin, elle défend d'investir dans des activités considérées comme porteuses de vices, comme l'armement ou les alcooliers. Attention cependant aux amalgames avec « islamiste » et financement du terrorisme. Ils sont non fondés" suite de l'article

Commentaire de l'Observatoire de l'islamisation :

  Prenons simplement le cas de l'organisation humanitaire de la Ligue islamique mondiale, l' International Islamic Relief Organisation (IIRO, Organisation Internationale de Secours Islamique):

L'IIRO est accusée par les Nations Unies, les États-Unis d'Amérique et d'autres pays comme les Philippines, l'Indonésie et la Croatie, de faire davantage de politique que d'humanitaire, et même de soutenir le terrorisme islamiste.

  Présent aux Philippines depuis septembre 1991, le beau-frère d'Oussama ben Laden et directeur de l'IIRO à Manille, Mohamed Jamal Khalifah, est expulsé par les autorités en novembre 1994 après avoir était accusé d'avoir financé des camps d'entraînement du groupe Abu Sayyaf. Sur la cinquantaine d'orphelinats prétendument construit par cet organisme dans ce pays, un seul le fut effectivement.

  Durant les guerres de Bosnie et du Kosovo , l'IIRO a contribué au financement des forces musulmanes.

  Une note de la DGSE du 24 juillet 2000 mentionne notamment un virement de 4,5 millions de dollars au profit du chef d'Al-Qaida, Oussama Ben Laden. Selon le Réseau Voltaire, ce dernier exercerait d'ailleurs son autorité spirituelle sur l'IIRO.

  Le bureau américain de l'IIRO a été perquisitionné en 2002 sur la base de soupçons d'apports financiers importants à l'organisation Al-Qaida.

   Le 22 septembre 2005, un juge fédéral new-yorkais, Richard Casey, reçoit la plainte déposée contre l'IIRO par des victimes des attentats du 11 septembre 2001.

  Depuis le 3 août 2006, des bureaux de l'IIRO figurent sur la liste officielle des organisations de financement du terrorisme du département du Trésor.

  Une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies classe les branches philippine et indonésienne de l'IIRO comme faisant partie des organisations soutenant Al-Qaida en 2006 [2],[3] et elle depuis sur la liste du Comité créé par la résolution 1267 (1999)."

Source: Wikipedia

  Selon le responsable du Master en Finance islamique de Dauphine, le Hamas n'est pas islamique, car il investit dans l'armement...Après le noyautage marxiste, l'université serait-elle en voie d'être infiltrée par les agents anesthésiants de l'islam ?

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20/07/2009 | Lien permanent

Le Prince de Galles invité d'honneur du gala annuel du Secours islamique

Présentation Wikipedia :

L'International Islamic Relief Organization (IIRO) (en français : Organisation Internationale de Secours Islamique, en arabe : هيئة الإغاثة الإسلامية العالمية, al-Ighata al-Islamiya al-'alamiya) est une organisation caritative créée en 1979 et dont le siège est à Jeddah en Arabie saoudite. Elle est accusée par les Nations Unies et d'autres organisations et États de soutien au terrorisme islamiste.

L'organisation est placée sur la liste officielle des organisations et personnes considérées par l'ONU comme proches d'al-Qaida ou des talibans depuis le 9 novembre 2006 et des organisations considérées comme terroristes par les États-Unis.

Cette structure est directement placée sous la tutelle de la Ligue islamique mondiale, elle-même considérée comme l'instrument politique des oulémas d'Arabie saoudite.

l'IIRO est aussi accusée par les Nations Unies, les États-Unis d'Amérique et d'autres pays comme les Philippines, l'Indonésie et la Croatie, de faire davantage de politique que d'humanitaire, et même de soutenir le terrorisme islamiste.

Présent aux Philippines depuis septembre 1991, le beau-frère d'Oussama ben Laden et directeur de l'IIRO à Manille, Mohamed Jamal Khalifah, est expulsé par les autorités en novembre 1994 après avoir été accusé d'avoir financé des camps d'entraînement du groupe Abu Sayyaf. Sur la cinquantaine d'orphelinats prétendument construits par cet organisme dans ce pays, un seul le fut effectivement.

Durant les guerres de Bosnie et du Kosovo, l'IIRO a contribué au financement des forces musulmanes. (voir vidéo + explications)

Une note de la DGSE du 24 juillet 2000 mentionne notamment un virement de 4,5 millions de dollars au profit du chef d'Al-Qaida, Oussama Ben Laden. Selon le Réseau Voltaire, ce dernier exercerait d'ailleurs son autorité spirituelle sur l'IIRO.

Le bureau américain de l'IIRO a été perquisitionné en 2002 sur la base de soupçons d'apports financiers importants à l'organisation Al-Qaida.

Le 22 septembre 2005, un juge fédéral new-yorkais, Richard Casey, reçoit la plainte déposée contre l'IIRO par des victimes des attentats du 11 septembre 2001.

Depuis le 3 août 2006, des bureaux de l'IIRO figurent sur la liste officielle des organisations de financement du terrorisme du département du Trésor.

Une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies classe les branches philippine et indonésienne de l'IIRO comme faisant partie des organisations soutenant Al-Qaida en 2006 et elle depuis sur la liste du Comité créé par la résolution 1267 (1999).

L'auteur Abdel-Rahman Gandour écrit dans son enquête Jihad humanitaire que l'IIRO semble accorder davantage d'importance à la diffusion du wahhabisme qu'à l'apport effectif de secours.

Lire l'intégralité de la présentation sur Wikipedia

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20/12/2009 | Lien permanent

L'armée islamique bosniaque

Vidéo de l’armée islamique bosniaque , financée par l’Iran et l’Arabie Saoudite. Soutenue face aux serbes par l’Otan et les pays européens, jusqu’à Bernard Henry-Lévy… Cliquer dessous pour la suite

Cette armée fut sous les ordres de Alija Izetbegovic, ancien président de la Bosnie, installé par l’Otan et soutenu par François Mitterand. Il décéda le 19 octobre 2003 à 78 ans.

Présenté par les médias occidentaux comme un "homme de paix" et un musulman modéré", il fut très tôt engagé dans l'islamisme radical allant jusqu'à collaborer avec l'Allemagne hitlérienne.

L'ex président de la fédération de Bosnie-Herzégovine énonça les bases d'une grande Bosnie musulmane et ethniquement purifiée sur les principes de la Charia.

Petit rappel sur ce que fut celui qui déclara en 1984 : « L’islam ne peut en aucun cas coexister avec d’autres religions dans le même Etat, sauf comme un expédient à court terme. Sur le long terme, par contre, après être devenue plus fort, dans un pays quel qu’il soit, les Musulmans ont le devoir de s’emparer du pouvoir et de créer un Etat authentiquement islamique».

En 1993 , la division Handchar devient la garde prétorienne d'Izetbegovic. Atteignant 6000 à 7000 hommes (des moudjahiddins arriveront d'un peu tous les pays islamistes du monde), la " nouvelle Handchar "  (la première fut une division SS qu’Izetbegovic avait contribué à former) armée par les capitales arabes et occidentales, ne masque jamais sa filiation nazie, son modèle spirituel et politique étant toujours Al-Husseini.  (Grand Mufti de Jérusalem alors allié à Hitler) La même année, Izetbegovic reçoit le prix Prix islamique à Riyad (90 000 euros): " en récompense de son engagement en faveur du Jihad ". On notera aussi que Ben Laden s'est vu offert la nationalité Bosniaque par Izetbegovic pour pour bon et loyaux services, et qu'il effectua un séjour en Bosnie en 1994, pays qu'il considérait comme une base de l'islamisme en Europe.

Extraits de la déclaration islamique d'Alija Izetbegovic :

« Montrons le chemin qui mène à ce but : la réalisation de l' Islam dans tous les domaines de la vie privée des particuliers, dans la famille et dans la société, par la renaissance de la pensée religieuse islamique et la création d'une communauté islamique unique, du Maroc à l' Indonésie. Un peuple, comme un individu, qui a accepté l' Islam, est incapable de vivre et de mourir pour n' importe quel autre idéal. (...) Le Musulman ne peut que mourir au nom d' Allah et pour la gloire de l' Islam, ou bien déserter le champ de bataille. Quant aux soi - disant progressistes occidentaux, ils représentent partout dans le monde islamique un véritable malheur parce qu' ils sont nombreux et influents, particulièrement au sein des gouvernements, dans l' éducation et dans la vie publique en général.

La société islamique est une communauté organisée de croyants. En dehors d' elle, il n' y a aucune solution, scientifique, révolutionnaire ou socialiste. […]A la question "qu' est - ce que la société musulmane ?" nous répondons : c' est la communauté composée des musulmans et nous considérons qu' avec cela tout est dit ou presque tout. La première et la plus importante de telles conclusions est sans doute celle sur l' impossibilité du lien entre l' Islam et d' autres systèmes non islamiques. Il n' y a pas de paix ni de coexistence entre la religion islamique et les institutions sociales et politiques non islamiques. Ayant le droit de gouverner lui - même son monde, l' Islam exclut clairement le droit et la possibilité de la mise en oeuvre d' une idéologie étrangère sur son territoire. Il n' y a donc pas de principe de gouvernement laïc et l 'Etat doit être l' expression et le soutien de concepts moraux de la religion

Sarajevo, 1970

republié en 1990

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06/02/2007 | Lien permanent

Les classiques du droit musulman à l’Institut du Monde Arabe : le sens du Djihâd

 

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Dominique Baudis (UMP) assume-t-il héberger une littérature djihadiste dans son Institut ?

Pour comprendre le Djihâd en phase de revitalisation, nous publions à nouveau cette enquête de septembre 2007 exposant des morceaux choisis d'ouvrages présents à la bibliothèque de l’Institut du Monde Arabe. En l'occurence les traités de droit musulman, disponibles dans toutes les bibliothèques musulmanes, appellant au djhâd contre ceux qui refusent de se convertir ou de se soumettre à l'Odre islamique. Qu'en pense l'euro-député Dominique Baudis (UMP) qui préside l'IMA ? Nous doutons qu'il ait lu les livres de la bibliothèque dont il est responsable...

 

1- La Risâla d’Al Qayrawânî

   La Risâla (L'Epître), d’Ibn Abî Zayd Al-Qayrawânî, est l’épître de référence chez les sunnites de rite malékite. Le rite malékite est officiel au Maroc et en Algérie, majoritaire en Tunisie et au Sénégal. Voir à ce titre la présentation de Al-Qayrawânî par le Ministère des Habous et des Affaires Islamiques marocain. Le rite  malékite a été choisi par l’Institut de théologie de la Grande Mosquée de Paris, et les milliers de pratiquants en France, issus du Maghreb, suivent les prescriptions des « Savants » de cette école juridique.

   Considéré comme « L’Islam du juste milieu » le malékisme, pratiqué intégralement, est aussi dangereux que le Wahhabisme saoudien.

 

  Concernant le jîhâd voici la photo du chapitre 30, page 85, issu de l’exemplaire de l’Institut du Monde Arabe édité par l’Office des Publications Universitaires, Alger (code bibliothèque 244.221 IBN A).


Si les "infidèles" refusent l' "invitation" (le fameux appel) à embrasser l'islam, ou le statut de dhimmi, ils doivent être combattus par les armes :

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2- La Risâla de l’imâm Ash-Shâfî

    L’imâm Ash-Shâfi (767-820), est le fondateur de l’école chaféite. Contemporain et élève de l’imâm Malik Ibn Anas (710-795), fondateur de l’école malékite, les différences des deux écoles sont donc minimes, et relèvent plus de différences d’ordre méthodologiques que de divergences sur le fond de la charia. Le chaféisme restreint la place du jugement personnel (ray’) ainsi que le recours à l’analogie (qiyas) pour juger du comportement  présent, par rapport aux situations analogues trouvées dans les traditions (Hadith) fournissant les solutions jurisprudentielles. Le Chaféisme fut l’école officielle du Califat abbasside (750-1258). Il est pratiqué en Indonésie, Thaïlande, aux Comores, aux Philippines et en Inde et est religion d'État au Brunei Darussalam et en Malaisie.

    L’ouvrage majeur de Shâfi est sa Risâla. La traduction française de Lakhdar Souami chez Actes Sud est disponible à la bibliothèque de l’Institut du Monde Arabe sous la référence 244.231.SAF.

   Ouvrage beaucoup plus volumineux que la Risâla de Al-Qayrawânî (qui est elle une simple synthèse à destination du peuple), la partie consacrée au jihâd est argumentée par de nombreuses citations du Coran et des Hadith, les deux sources du droit.

 Voir les extraits scannés des pages (248-249), (250-251), (252-254). Le djihâd  y est clairement offensif.

Bien d'autres ouvrages prônant la guerre offensive sont disponibles aussi bien à la bibliothèque qu'à la librairie de l'Institut. Nous avons des preuves vidéos en plus des scans d'au moins 5 ouvrages de référence. Tout cela est à la disposition de la justice française...

    On mesurera toute l’inanité des propagandistes qui essayent de faire passer le djihâd comme un simple recours de légitime défense ou comme avant tout un « effort spirituel contre ses mauvais penchants ». C’est le cas des médiatiques Eric Geoffroy et Malek Chebel. On remerciera le Monde des religions pour avoir fait appel à l’islamologue Marie Thérèse Urvoy dans son numéro de ce mois consacré au jihâd dans le Coran. La vérité est une denrée rare en France sur le sujet. Ici, nous nous contentons de la vérité des textes, sélectionnés par l’Institut du Monde Arabe.

Observatoire de l’islamisation, septembre 2007.

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Conférence de l’OSCE sur l’islamophobie à Cordoue: un flop silencieux

Les musulmans sont effectivement discriminés en Europe. C'est à dire que les européens -les historiques- font la différence entre leurs semblables, installés depuis des millénaires, soudés par une homogénéité culturelle, un passé commun et un système de valeurs communes (liberté, humanisme, laïcité), et des individus arrivés entre aujourd’hui et une trentaine d’années pour des raisons en grandes parties matérielles.

    Alors voilà, l’urgence de l’OSCE, ce n’est pas la christianophobie et son corollaire de moqueries quotidiennes, de vandalismes d’édifices religieux, d’agressions physiques envers des français (ou belges, anglais, allemands…) agressés pour un regard, une cigarette, parce qu’ils sont juifs ou blancs, non, c’est l’islamophobie, sans que l’on sache pour autant que les musulmans rasent les murs en Europe.

   C’est à Cordoue, dans la ville même où les musulmans viennent de réclamer à l'Eglise catholique une partie de la cathédrale pour en faire à nouveau une mosquée (sic) que l’OSCE, aujourd’hui et demain, organise une conférence sur « les attitudes d’intolérance et de discrimination à l’égard des musulmans ». A une époque où l’oppression islamique n’a jamais été aussi forte à travers le monde, de la Thaïlande  où les islamistes ont tués plus de 2400 civils ces quatre dernières années, à l’Egypte où les Coptes subissent mensuellement des agressions (et où 18 postes de la fonction publique leur sont interdits) , en passant par le Nigeria, les Philippines, l’Indonésie, le Kosovo, la Palestine, la Turquie…faire une conférence sur le sort des colons musulmans européens profitant allègrement de nos systèmes sociaux, de la liberté religieuse, relève de l’indécence.

     On comprendra mieux cet évènement lorsque l’on sait qu’il se produit sous l’impulsion de  Jorge Sampaio, « Haut Représentant  pour l’Alliance des civilisations » (sic) et du ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Ángel Moratinos, l’Espagne étant cette année à la tête de l’OSCE.

    Il faut savoir que l’Alliance des civilisations, projet initié par Jose Luis Zapatero, tint son premier  colloque le 13 novembre 2006 à Istanbul. Le Parti islamiste turc était représenté, outre par le Premier ministre Erdogan, par le Ministre des Affaires religieuses Mehmet Aydin qui avait vigoureusement dénoncé le 27 mars 2005 les activités missionaires des chrétiens en Turquie, brandissant la cause sacrée de l'unité nationale...Yussef Al-Qaradawi, coqueluche des islamistes européens, dont l’UOIF, fut aussi convié par les socialistes espagnols lors du colloque. Un portrait terrifiant du Cheik le plus influant du monde sunnite est disponible ici.

   On retrouve également dans le "High level group" du programme de l’Alliance des civilisations (placé sous l'égide des Nations Unies) le Grand Mufti de Bosnie Mustafa Ceric, ancien bras droit d' Izetbegovic, créateur de groupes islamistes armés responsables en mars 1992 de l' épuration musclée de milliers de civils serbes. Mustafa Ceric ne cache pas son projet d'édifier une société bosniaque régie par la charia, et n'avait pas hésité à lancer ses troupes contre les musulmans modérés de Fikret Abdic lors d'un conflit s'étendant de 1992 à 1995, ces derniers refusant le projet de société totalitaire théorisé dans la "Déclaration islamique" d'Izetbegovic.

   Comme interlocuteurs d'une aussi pompeuse que naive  "Alliance des Civilisations", on doit trouver mieux...

    A Cordoue, il ne faut donc pas s’étonner que ce colloque saugrenu n’ait rencontré qu’un mince écho médiatique (une simple dépêche AFP, du bureau de Madrid). D’ailleurs, comme le rapporte l’édition d’ABC de ce jour, grand quotidien espagnol, alors que tous les ministres  européens ont été invités, « La majorité d’entre eux ont décliné l’invitation et ont opté au plus pour l’envoi d’un secrétaire d’Etat ou simplement d’un représentant de leur ambassade […] Un qui pour le coup a annoncé sa présence dans l’assistance, est le secrétaire général de la Ligue Arabe, Amro Mussa, qui participe à la session inaugurale »  

Observatoire de l’islamisation, octobre 2007.

 www.islamisation.fr 

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09/10/2007 | Lien permanent

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