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Mosquée de Tours : le maire PS, l'archevêque et l'islamiste Algérien
Le ministre Algérien du Culte, Bouabdallah Ghlamallah, fit un crochet par Tours pour assister à la cérémonie (qui parle d'islam de France? ) avant de s’envoler pour l’Arabie Saoudite...pays où, comme en Algérie, la diffusion du Christianisme est punie par une lourde amende et à de la prison ferme (voir notre dossier accablant sur l'Algérie) ! L'Algérie contribue au financement de la mosquée à hauteur de 490 000 euros.
Bouabdallah Ghlamallah s'était illustré au début de l'année par son sens du dialogue interreligieux, si cher à l'épiscopat français. Le ministre avait fait fermer 10 églises, et se justifia au journal l'Expression par cette phrase pleine de nuance : "j'assimile l'évangélisation au terrorisme" (SIC)
Lundi 21 juin 2004, Bouabdallah Ghlamallah, dénonça l'évangélisation des kabyles en Algérie dans une conférence de presse à Alger. Il rappela que l'islam est la « religion d'Etat et de tous les Algériens », puis avertit que l'apostolat chrétien entraînerait irrémédiablement un affrontement : « Il y aura effusion de sang ».
Cette présence de l'islamisme officiel algérien, à la fois humaine et consubstantielle aux briques sponsorisées, ne freina pas la fougue collaboratrice du maire PS Jean Germain et surtout de l'archevêque de Tours, Mgr Aubertin, qui assistèrent amicalement à la pose de la première pierre samedi dernier...
Un bien drôle de pasteur...à qui il est possible d'écrire
Mgr Aubertin, a prêté son serment perpétuel chez les Pères Blancs en 1971. A ce titre, il serait bon de lui rappeler les mises en garde du Père Charles de Foucauld, le plus illustre des Pères Blancs, à l'égard de l'islamisation. Le Père de Foucauld – béatifié par Benoît XVI - n'avait lui pas approché l'islam en apesanteur dans les confortables salles de classes de l'Institut Pontifical d' Etudes Arabes de Rome comme Mgr Aubertin, mais au contact de la population musulmane, et ce durant 10 ans.
La lecture de la lettre, adressée par le Père Charles de Foucauld à René Bazin, de l'Académie française, parue dans le Bulletin du Bureau catholique de presse, n° 5, octobre 1917 est éclairante.
Définitivement, le Bienheureux assimilait l'islam à la violence et évoquait la difficulté pour ses membres de se fondre dans les sociétés européennes.
Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation.
Auteur de L'islamisation de la France, Godefroy de Bouillon, 2007
02/12/2008 | Lien permanent
Mgr Philippe Barbarin se doit de rappeler à l'ordre le père Chrisitan Delorme
Chrisitan Delorme, curé sans foi, dhimmi par choix.
Chrisitan Delorme, le fameux « curé des Minguettes », connu pour son zèle en faveur du « dialogue » interreligieux avec les musulmans, vient de prendre la défense du gouvernement Algérien dans une tribune du Monde, où il affirme que le Haut Conseil Islamique, institution à l’origine de la loi de mars 2006 punissant les chrétiens faisant de l’apostolat ou "entreposant" des bibles à 10 000 euros d'amende ainsi qu’à 5 ans de prison maximum, fait preuve d’ouverture. Et que le gouvernement ayant signé cette loi est injustement perçu comme anti-chrétien. Non, il ne se drogue pas.
Malgré les dizaines de procès intentés à des catholiques ou protestants pour célébration de messe ou possession de bibles, le drôle de curé affirme que : « l'Algérie n'est pas une terre antichrétienne. Ses dirigeants ont eu maintes fois l'occasion, dans un passé qui n'est pas lointain, d'exprimer leur considération pour les Eglises historiquement présentes chez eux. »
Il serait intéressant que le père Delorme nous fournisse des exemples de cette « considération » : le saccage des cimetières chrétiens ? La transformation des églises en mosquées ? Le refus d’une délivrance de visa pour l’évêque de Pontoise, Mgr Riocreux, au mois de mars dernier ? La fermeture de 10 églises dans tout le pays, rien qu’entre janvier et mars 2008 ? La fermeture des écoles francophones?
Le père Delorme base uniquement sa vision d’une supposée modération du gouvernement Algérien sur des rencontres diplomatiques et politiques avec un gouvernement se voulant aussi rassurant qu’un commissaire polonais de l’Union soviétique exprimant tout son respect pour Rome. De pures déclarations sans aucunes traductions sur le terrain, par les signataires des lois de répressions anti-chrétiennes, prises pour argent comptant par le curé qui a également beaucoup de respect pour la Franc-maçonnerie lyonnaise…(malgré 12 encycliques papales condamnant la FM et son rôle historique anti-chrétien)
Paradoxalement, celui qui trouve tout à fait normal que les imams Algériens déferlent sur la France, que l’Algérie finance la mosquée de Marseille et influe sur la politique musulmane française via la Grande Mosquée de Paris, considère comme « une menace contre cette unité et cette identité [l’islamité] » l’évangélisation de l’Algérie. A-t-il oublié que l'identité de l'Algérie fut en premier lieu chrétienne?
Tiens donc, nous n’avons jamais entendu le père Delorme mettre en garde nos politiques contre l’islamisation de la France qui menace notre identité chrétienne…Deux poids, et deux mesures. La discrimination positive serait-elle aussi à la mode dans le clergé français ?
Nous ne l'avions pas non plus entendu émettre au moins une légère critique sur les persécutions anti-chrétiennes en Algérie, depuis l'application de la loi de mars 2006, alors que Chrétienté-Solidarité a tiré la sonnette d'alarme depuis plusieurs mois...
Pour le curé, l’Algérie doit préserver ses habitants musulmans de toute conversion, car cela ranimerait l’affreux souvenir des « conquérants coloniaux ». Parler du Christ oui, mais qu’aux chrétiens…pas très catholique notre bonhomme…Si les apôtres n’avaient jamais voulu créer de vagues ni « heurter la sensibilité d’autrui », le Christiannisme n’aurait même pas encore franchi le Jourdain en 2008.
Se faisant le relais de la propagande d’Etat, Delorme se borne à voir dans le regain du Christianisme en Algérie, la main de l’Empire américain. C’est bien connu, les musulmans Algériens se convertissant au christianisme le font en échange de visas ou de sommes d’argent distribuées par les évangélistes (allusion de Delorme aux « techniques diverses »). Il n’y a aucune preuve ? Et alors, puisque la télévision Algérienne le dit !
Pour complaire à ses amis, il se focalise sur la question des évangelistes pour mieux éluder les persécutions que subissent des prêtres catholiques français, liés ni de près ni de loin à des organisations américaines...
Christian Delorme, déjà connu pour ses tribunes dans Pèlerin magazine où il affirme que prier pour les âmes du purgatoire n’est qu’une survivance dépassée du Moyen-âge, ajoutera à sa réputation de théologien bidon celle d’être un dhimmi par amour de l’islam.
J'interpelle par la présente son évêque de tutelle, Mgr Barbarin l'ayant nommé en tant que chargé du dialogue avec l'islam dans le diocèse de Lyon, afin qu'il écarte au plus vite des fidèles catholiques lyonnais un homme dont les prises de positions sont radicalement contraires à l'enseignement de l'Eglise.
Les lecteurs du Monde, pourtant peu soupçonnables d’être des ultra-catholiques, ont été sidérés par la lâcheté du prélat et ont réagi énergiquement dans des dizaines de commentaires emprunts de bon sens.
Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation, juin 2008.Auteur de « L’islamisation de la France » (Editions Godefroy de Bouillon, 2007)
04/06/2008 | Lien permanent | Commentaires (5)
Occupation des rues: l'imâm refuse la caserne proposée gratuitement
Rappel: les prières de rues sont interdites en Algérie
15/08/2011 | Lien permanent
Dalil Boubakeur s'amalgame tout seul aux islamistes de l'UOIF
Pour ceux qui ont tardé à comprendre, Dalil Boubakeur l'avait déjà dit lors de l'édition 2005 du congrès de l'UOIF : "nos objectifs sont tous convergents, seules nos méthodes peuvent différer" (source)
Le parangon de "l'islam modéré" n'a jamais dénoncé la branche française des Frères Musulmans, mouvement totalitaire et violent dont les branches armées dénommées Fajr en Libye, Hamas en Palestine, Liwa al Tawid en Syrie, imposent par le jihâd l'établissement de la charia. En Egypte, porté au pouvoir en intimidant les votants et en bourrant les urnes en 2011, le mouvement suscita une révolution populaire en 2013 envers laquelle il opposa les armes avant d'être arrêté in extremis par l'armée (détails dans ce livre).
Au contraire, Dalil Boubakeur était encore cette année au Rassemblement des Musulmans de France, pour clamer qu'il faut "doubler le nombre de mosquées d'ici deux ans". Avec le concours des mosquées de l'UOIF donc.
En 2012, alors que six conférenciers étrangers invités par l'UOIF s'étaient vu interdire de séjourner en France -suite aux révélations de l'Observatoire de l'islamisation- Dalil Boubakeur avait pris clairement la défense de l'UOIF et de ses cheikh appellent à tuer les Juifs, tuer les homosexuels et conquérir l'Europe :
"L’UOIF compte des cheikhs internationaux en son sein, je ne jette pas la pierre comme cela a été fait durant le congrès du Bourget, même si cela fait peur à une certaine presse ou à la classe politique, je n'ai rien vu d’illégal à cela.(...) L'UOIF est composé de musulmans très rigoureux pour lesquels j’éprouve respect et fraternité, notamment pour El Hadj Brez Touhami qui est un homme que j'estime beaucoup. Je suis profondément musulman et désireux de me rapprocher de mes frères qui pratiquent leur religion avec rigueur. (...) Nous avons besoin de vérité, et pour moi, la vérité se situe plus dans la position de mes frères de l'UOIF." source
En se solidarisant ainsi avec les islamistes, Dalil Boubakeur et la Grande Mosquée de Paris (GMP), dont le programme de formation pour imam référence le cheikh psychopathe al Qaradawi recherché par Interpol, doivent être considérés comme des suppôts de l'islamisme international. Il est grand temps de geler toute construction de mosquées en France, la fédération de la GMP en contrôlant déjà 700, et l'UOIF 400 (salles de prières + grandes mosquées).
Renvoyer Dalil Boubakeur dans son pays, l'Algérie, avec les centaines d'imams fonctionnaires de l'Algérie qui gèrent les mosquées de la GMP, serait d'une élémentaire précaution. L'Algérie qui applique un islam totalitaire, a encore arrêté un chrétien pour possession de bibles récemment.
Observatoire de l'islamisation, 7 avril 2015.
07/04/2015 | Lien permanent
Pour Jean Daniel du Nouvel Obs, seul ”un attentat mineur” explique la colère des Coptes
L'éditorialiste du Nouvel Observateur, Jean Daniel Bensaid, consacre son dernier éditorial aux déceptions du "Printemps Arabe". Supporter du FLN dans ses jeunes années, malgré quelques "attentats mineurs" du mouvement contre des centaines de civils, il s'exprime chaque semaine sur tous les sujets dans son bureau parisien. Ce passage m'a fait bondir :
"Pour la première fois, a-t-on écrit, des millions de coptes s’étaient sentis chez eux dans le pays où ils avaient d’ailleurs précédé les Arabes. Ils ont tellement cru assister aux débuts d’une ère nouvelle que, dès qu’il y a eu un attentat mineur attribué à des extrémistes irresponsables contre l’une de leurs églises, ils n’ont pas hésité à se constituer en cortège dimanche dernier pour protester."
Jean Daniel n'a rien suivi au film : les Chrétiens sont descendus massivement après l'attaque de pas une mais cinq églises et deux monastères depuis le début de la révolution, en plus de l'attaque de plusieurs villages par les soldats d'Allah :
- l'attaque du village de Soul en mars par 4000 musulmans
- le village de Abu Quarqas el Balad en avril (1 mort, 10 blessés)
- les pogroms dans le quartier d'Imbaba au Caire en mai (15 morts, 232 blessés)
- l'attaque en août du village de Nazlet Faragallah (1 mort)
A ces exactions il faut ajouter l'acquittement scandaleux des assassins de Nag Hammadi, Aussi, selon les autorités religieuses Coptes chaque jour des filles Coptes sont enlevées,mais ce n'est effectivement pas pire que les enlèvements d'européens lors de la guerre d'Algérie par les amis de Jean Daniel...
La technique éditoriale des socialistes du Nouvel Obs est de camoufler au maximum (on ne camoufle pas un attentat au Caire) la réalité du fanatisme musulman afin de ne pas susciter de réactions de scepticisme quant à la légendaire tolérance de la civilisation islamique. C'est la seule explication que nous trouvons à l'occultation des multiples et permanentes persécutions constituant la Nouvelle Solution Finale des Chrétiens d'Orient.
Joachim Véliocas- Observatoire de l'islamisation
19/10/2011 | Lien permanent
Le nouvelle direction de l'UMP prépare le terrain aux islamistes (preuves)
Titre excessif ? Merci de prendre 2 minutes pour lire ces faits vérifiables.
6 avril 2014 : Alain Juppé remet la Légion d'honneur au Frère Musulman assumé Tareq Oubrou.
Ainsi, les anciens Premiers Ministres du RPR et de l'UMP, faisant figures de Sages, devraient assurer une direction collégiale de l'UMP. Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin, François Fillon, des ténors au positionnement centriste qui vont certainement rassurer les sympathisants les plus naïfs d'un électorat âgé, s'informant dans la presse subventionné et à la télévision.
Nous avons depuis 6 ans consacré de nombreux articles et le premier chapitre de notre enquête Ces Maires qui courtisent l'islamisme (éditions Tatamis, 2010) à l'imâm de Bordeaux, Tareq Oubrou, de nationalité marocaine, à qui Alain Juppé a mis à disposition un vaste terrain municipal cédé pour une Grande Mosquée (Sud Ouest). Tareq Oubrou est membre de l'UOIF, fédération de mosquées des Frères, chez qui nous avons obtenu les preuves qu'ils diffusent les ouvrages les plus radicaux de l'islamisme violent. Nous n'allons pas revenir sur tous les détails du profil ouvertement en phase avec la doctrine de Hassan al-Banna, fondateur des Frères Musulmans, auquel Oubrou consacrait des conférences élogieuses d'une heure dans sa mosquée de Bordeaux.
Ce qu'aucun journaliste n'a relevé, après le triste passage des Frères Musulmans au pouvoir en Egypte, est que Tareq Oubrou, fort de son estampillage républicain et de son opération séduction réussie dans les médias, s'affirme encore Frère Musulman dans un livre en 2013 !
Dans "Le Prêtre et l'imâm", paru aux éditions Bayard en 2013, Tareq Oubrou affirme page 134 :
"Le mouvement des Frères Musulmans prétend moderniser la religion, sans rien toucher à l'essentiel. Ce discours, peu audible, est en perte de vitesse. Je continue d'être membre de ce mouvement"
Or, en août 2013, Le Monde soulignait que le nouveau Guide suprême des Frères Musulmans, Mahmoud Ezzat est un fervent dévot de la pensée de Sayyed Qutb (1906-1966), ce doctrinaire des Frères ayant théorisé la prise du pouvoir par la violence armée offensive. "Le Jihâd est indispensable à la prédication" écrivait Sayyed Qutb. Un djihâd spirituel a dû faire croire Tareq Oubrou à son idiot utile Alain Juppé, qui considère les Frères Musulmans égyptiens comme des démocrates (lire ici et ici).
Photo: François Fillon inaugurant la mosquée algérienne d'Argenteuil le 28 juin 2010. L'imâm y officiant est un fonctionnaire détaché du ministère des Affaires islamiques algérien.
Nous titrions à l'époque " François Fillon inaugure la mosquée/université islamique d'Argenteuil"
"Le Premier ministre français a donc inauguré la mosquée Al-Ishan lundi 28 juin. Une information de Libération qui consacre un article à l'évènement, où 800 personnes sont invitées par Matignon, dont évidemment le président du Conseil "Français" du Culte Musulman, le marocain Mohamed Moussaoui.
Le ministre des Affaires religieuses algérien, Bouabdallah Ghlamallah, islamiste notoirement anti-chrétien, fut annoncé à la cérémonie. Ses déclarations fracassantes contre l'évangélisation de l'Algérie, et son zèle quant à l'application des lois de mars 2006 réprimant l'apostolat chrétien n'ont déclenché aucune réactions en France, malgré les 2 à 5 ans de prison et milliers d'euros d'amende qu'encourent les évangélistes dans l'état FLN. Ainsi, la mosquée Al-Ishan d'Argenteuil est contôlée par l'Algérie, qui y nomme l'imâm, à l'encontre de tout le discours officiel sur un islam supposément "de France".
Lire nos articles sur les persécutions légales de chrétiens en Algérie passées sous silence par les médias. François Fillon n'est-il pas au courant des lois de mars 2006 criminalisant les Chrétiens ?
Fillon, en ayant opté pour favoriser l'islam sunnite algérien en France, commet une faute lourde. Une faute politique, identitaire, sécuritaire, voire une trahison nationale.
Les photos du site Internet de la mosquée montrent des salles de classes de la future "Université" (terme employé par l'association) où sera enseignée la charia, ou "science religieuse", reconnue pourtant comme incompatible avec les démocraties européennes par un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme du 13 février 2003. François Fillon a préfèré parler de "centre culturel", n'ayant pas le courage d'appeller école coranique une école coranique. Mais les Français ne sont pas dupes.
On lit également sur le site :
"Depuis le début de l’Islam, la mosquée est un foyer culturel qui enseigne aux musulmans à se diriger vers les principes de leur vie guidés par leur religion. Ainsi, une école pour la récitation du Coran, un institut pour enseigner aux musulmans la science religieuse et la civilisation, une bibliothèque contenant des ouvrages religieux et scientifiques sont mis à leur disposition."
"Capacité et taux d'occupation des espaces :
- Salle de prière hommes 1668 personnes ;
- Salle de prière femmes 730 personnes ;
- Salle polyvalente 760 personnes ;
- Salles de classes 132 personnes ;"
Lire également cette dépêche AFP de 2008 : Fillon promet 170 000 visas par an au Premier ministre algérien Belkhadem, islamiste notoire
Alors oui, en cédant des terrains publics aux Frères Musulmans pour leurs mosquées (Juppé), en accélérant l'immigration algérienne puis en confiant les rênes de l'islam de France à l'Algérie (Fillon) on peut écrire que "la nouvelle direction de l'UMP prépare le terrain aux islamistes."
Joachim Véliocas
Observatoire de l'islamisation, mai 2014.
10/06/2014 | Lien permanent
Sarkozy participe aux fêtes du ramadan à Colombes
Ne craignant pas les contradictions, le président français est venu souhaiter un bon ramadan aux musulmans "de France" et louer son Conseil Français du Culte Musulman...à l'école marocaine de Colombes, sous l'oeil du Consul du Maroc. S'il avait voulu faire passer les musulmans en France pour des étrangers, il ne s'y serait pas pris autrement. Ou, autre explication (la notre) : toutes les mosquées étant sous tutelle étrangère en France ( via les fédérations du CFCM: GMP-Algérie ; RMF-Maroc ; Milli Gorus-Turquie; UOIF-Frères Musulmans...) il est impossible de trouver une mosquée bleu-blanc-rouge...
Voir l'article édifiant du média marocain Au Fait :
«A la veille de la fête de l'Aïd Al-Fitr qui marquera la fin du Ramadan, je tiens à saluer tous les musulmans de France» pour qui ce mois sacré est «un temps d'effort, de patience et de réflexion spirituelle», a-t-il dit dans ce message, lu par le préfet du département des Hautes Seines, Patrick Strozda, lors de cette cérémonie d’Iftar, organisée par la Mosquée Mohammed V de Colombes.Le président français Nicolas Sarkozy a adressé un message de sympathie et d’amitié aux musulmans de France à l’occasion d'un Ifar organisé, vendredi soir, à l’école marocaine de Colombes, en région parisienne, soulignant sa détermination à «garantir le droit de tous les Français à exercer leur culte en toute liberté et en toute dignité». Lire la suite
Question : Nicolas Sarkozy fêtera-t-il la fin du jeûne Chrétien -le carême- avec des immigrés Assyro-Chaldéens venant de Turquie, des Maronites Libanais ou des Orthodoxes Serbes ?
05/09/2010 | Lien permanent
La mosquée de Tours acceuille Tariq Ramadan
Tous soutiennent le projet de la future Grande mosquée de Tours...
Un an seulement après la pose de la première pierre de la future Grande mosquée par le maire PS Jean Germain, l'archevêque de Tours, Mgr Aubertin, ainsi que le ministre algérien du Culte, Bouabdallah Ghlamallah (anti-chrétien notoire), l'actuelle mosquée de Tours reçoit Tariq Ramadan pour une conférence début janvier :
26/12/2009 | Lien permanent
Minorque: Ciutadella renoue avec l'islamisation.
Présentation par Wikipédia :
« Ciutadella, ancienne capitale de Minorque, seconde ville de l'île, est située sur la côte ouest de cette dernière. C'est une ville ecclésiastique et aristocratique, siège de l'évêché de Minorque depuis 1795, où l'on trouve nombre de somptueux "palau" (palais) autour de la cathédrale médiévale.
Au début du XVIe siècle la ville était le siège des chevaliers auxquels le roi avait assigné de petits fiefs ou "cavalleries" pour qu'ils puissent participer à la défense de l'île contre les fréquentes incursions arabes.
Ciutadella résista pendant neuf jours en 1558 au siège de 15 000 pirates turcs, qui, après avoir pris la ville, la détruisirent totalement et emmenèrent tous les survivants en captivité à Constantinople. Un monument érigé sur la Plaça d'es Born, au cœur de la vieille ville, commémore cet événement. »
Les musulmans vivant à Ciutadella se font revendicatifs. Leur salle de 70m2 ne suffisant plus à accueillir une communauté croissante dont la cohabitation avec les habitants de l'ile « paraît difficile » relate le journal de Minorque Ultima Hora, ils en appellent à l'aide de la mairie.
La toute nouvelle association Assalam de Ciutadella, dirigée par deux marocains, Mohamed Achekhlaf et Mohamed Bouzalmata, a des soucis financiers: ils ne peuvent déménager pour une salle plus grande, leur loyer de 200 euros étant indépassable affirment-ils. Conséquence? Pas de place pour les femmes.
La solution? « notre objectif immédiat est que la mairie de Ciutadella nous aide à couvrir les dépenses pour un transfert vers une mosquée plus grande, avec des espaces pour hommes et femmes, l'apprentissage du Coran pour nos enfants et un vestiaire pour les chaussures [...] Nous aimerions que la mairie nous offre un terrain pour construire »
La liste des doléances est longue. Les colons veulent également un cimetière spécial, un imam permanent, l'article ne précise toutefois pas le nombre désiré de femmes espagnoles dans la future Medina fantasmée.
L'origine des musulmans est variée: marocains, gambiens, sénégalais, soudanais et même palestiniens.
Le principal argument de Mohamed Achekhlaf pour appuyer son projet est de prétendre que « Si les chrétiens peuvent librement construire des églises dans le monde arabe, il est normal que les musulmans puissent le faire en Europe »
Cette perle vaut son pesant de datte, étant donné que les Chrétiens étaient installés dans le « monde arabe » 6 siècles avant l'invasion des armées arabo-islamiques de la Palestine à l'actuelle Algérie, que les autochtones chrétiens, devant endurer le principe légal de la Dhimma, se voient aujourd'hui dans l'impossibilité de construire des églises dans ces pays, et que l'Europe n'a jamais été musulmane autrement que par la conquête criminelle.
Saint-Cyprien (200-258), évêque de Carthage et le berbère Saint-Augustin (354-430), Père de l'Église qui fut évêque d'Hippone, doivent se frotter les yeux en écoutant de telles énormités de leur céleste observatoire.
Joachim Véliocas, octobre 2008.
07/10/2008 | Lien permanent
Moines de Tibhirine: les textes qui ont justifié leur assassinat dans la boutique de l'Institut du Monde Arabe (vidéo)
Sur France 3 , jeudi 23 mai, soirée spéciale "Des hommes et des Dieux" suivi d'un documentaire révélant le témoignages d'anciens du GIA avouant avoir égorgé les moines.
(En cas de censure la version Youtube est ici)
L'Observatoire de l'islamisation réclame une commission d'enquête parlementaire sur les librairies musulmanes en France diffusant des ouvrages justifiant les pires crimes.
Ce que personne n'ose dire: le manuel juridique majeur du sunnisme, Al-Muwatta', de l'imâm Malik Ibn Anas (710-795) - "synthèse pratique de l'enseignement islamique" sous-titre l'éditeur Albouraq- enseigne d'assommer les moines chrétiens, de violer les femmes issues du butin de guerre, de couper la tête des apostats, de partir en expédition guerrière etc.
Dans le Livre numéro 21 , le point 18 enseigne de tuer les moines prosélytes :
« Tu verras des gens qui se sont rasé le sommet de la tête (diacres) [en référence à la tonsure des moines], abats-les en frappant le sommet de leur tête » L’assassinat des moines de Tibihirine en 1996, n’est donc pas le fait de fous, mais de personnes appliquant l’islam officiel enseigné au Maroc et en Algérie.
AL-Muwatta' est un best seller présent dans nombre de Fnac au rayon islam, et dans toutes les librairies musulmanes.
Voir ce documentaire sur les livres islamiques de l'Institut du Monde Arabe, Al-Muwatta' est présent, ainsi que les ouvrages d'Ibn Taymiyya (1263-1328) qui a aussi légalisé le meurtre des moines (cf: son texte Le Statut des moines) en se référent aux propos d'Abu Bakr, premier calife (632-634) de l'islam éminement respecté car "bien guidé par dieu" [Rashidûn].
Dans un autre document exceptionnel qui sera diffusé sur France 3 le 23 mai 2013, les réalisateurs Malik Aït Aoudia, correspondant de Marianne en Algérie et Séverine Labat apportent les preuves irréfutables que les sept moines ont bien été assassinés par le Groupe islamique armé. En exclusivité,Marianne en publie des extraits... Lire dans Marianne
"Celui qui tue les moines, il se rapproche de Dieu et tous avaient soif de meurtre : il n’y en avait pas un qui ne voulait pas les égorger tous les sept !" L’homme qui parle s’appelle Laid Chabou. Proche lieutenant de Djamel Zitouni, le chef du Groupe islamique armé (GIA) en cette année 1996, Laid Chabou était là, ce 21 mai, quand, dans le maquis de Bougara, ordre fut donné par Zitouni de tuer les moines français"
23/05/2013 | Lien permanent