La Commission européenne contre le racisme et l'intolérance : le Mrap du Conseil de l'Europe

   En décembre 2006, le Centre européen contre le racisme et la xénophobie s’était déjà alarmé dans un rapport copieux du manque de courtoisie et d’ouverture d’esprit des européens rétifs à accepter l’arrivée massive sur  leurs terres de millions de colons musulmans. Intitulé "Les musulmans dans l'Union européenne - discrimination et islamophobie", le rapport avait été relayé par la grande presse pour culpabiliser les outrecuidants qui tiennent à préserver leur identité nationale. « Les musulmans d’Europe sont en butte à des discriminations profondes ». Doivent-ils s’en excuser ?    (suite ci-dessous)

Un autre « machin » financé par nos impôts, dépendant du Conseil de l’Europe, vient de pondre son rapport pour l’année 2006 disponible ici.. La Commission européenne contre le racisme et l'intolérance, c’est son nom, tire la sonnette d’alarme : les européens seraient hostiles à l’islamisation de leurs pays, bigre :

« L’ECRI s’inquiète de l’intensification du climat d’hostilité envers les personnes qui sont ou sont perçues comme étant musulmanes et regrette les manifestations d’islamophobie qui peuvent être constatées à différents niveaux dans les sociétés européennes."

On comprend mieux les égards bienveillants de cette commission envers l’islam lorsqu’on sait que la Turquie est membre de cette même commission…

  Tout aussi inquiétant, cette Commission récuse l’assimilation qui favorise la dissolution de l’individu dans les communautés nationales, et lui préfère l’accueil des groupes étrangers conservant leurs identités,  l’intégration, le modèle anglo-saxon dont on connaît le résultat communautariste. Une intégration qui selon le rapport, doit pour les pays d’acceuils faire bénéficier des mêmes droits les groupes allogènes. Les peuples autochtones n’auraient aucun privilèges sur les peuples colonisateurs, en vertu de l’abolition dorénavant bien acquise de la préférence nationale, concept pourtant déjà légitimé par le Front Populaire par une loi d' août 1932. Voici l’extrait du rapport :  

   Une intégration réussie est un processus à double sens, un processus de reconnaissance mutuelle, qui n’a rien à voir avec l’assimilation. Plutôt que d’utiliser le terme d’« intégration », l’ECRI préfère parler d’une « société intégrée », qui inclut sur pied d’égalité la majorité et les groupes minoritaires.

   Quant aux racismes  les plus répandus  aujourd’hui, les racismes anti-blancs  et anti-français dont les exemples pullulent ( les agressions gratuites envers les personnes ont explosé, des églises sont souvent attaquées par des « jeunes »,  voir une liste impressionnante sur ce lien ) ils n’intéressent pas du tout cet organe du Conseil de l’Europe. Comment prendre au sérieux un organisme aussi partial, qui refuse le modèle français historique d’assimilation et qui s’inquiète de l’islamo-scepticisme sans s'inquiéter des effets de l'islamisation ? Clownesque.