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03/09/2014

Des chants anti-chrétiens dans les écoles musulmanes d'Angleterre

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Photo: l'école islamique Park View de Birmingham en Angleterre.

Suite à l'affaire des six écoles musulmanes de Birmingham (écouter le sujet de France Inter) en juin dernier,

La polémique rebondit en ce mois de septembre :

"Une vidéo extremiste faisant la promotion du djihad a été montrée à des élèves d’une école à Birmingham impliquée dans la polémique “Trojan Horse” ont appris aujourd’hui des députés.

Ces conclusions apparaissent alors que Peter Clark, un ancien chef de l’équipe anti-terroriste de la Metropolitan Police, qui a été nommé par l’ancien ministre de l’éducation Michael Gove pour diriger l’enquête sur cet affaire, a exhorté le gouvernement à examiner si d’autres écoles dans d’autres régions du pays n’ont été prises elles aussi pour cible par les islamistes radicaux. […] M. Clark a déclaré aux députés que d’autres incidents, incluant la récitation de chants anti-chrétiens lors des assemblées, des élèves vivement encouragés à rejoindre les appels à la prière, ainsi que des «problèmes de ségrégation», qui ont vu les garçons et les filles être encouragés à passer moins de temps en compagnie les uns des autres en dehors de la salle de classe . Il a ajouté: « Je ne crois pas aux  coïncidences et je trouverais cela très surprenant si cela se produisait uniquement dans les quelques écoles que nous avons eu le temps de visiter à Birmingham. [...]"M. Clark a déclaré que certains avaient été réticents à enquêter sur l’affaire par  « crainte d’être accusé de racisme ou d’islamophobie »

Source : The Independant du 2 septembre

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02/09/2014

90% des inculpés pour viol sur des jeunes filles sont musulmans en Grande-Bretagne (Sun News)

Rediffusion de cet article de mars 2014, suite à l'arrivée tardive de l'affaire dans les médias français ne pouvant plus camoufler les 1400 jeunes anglaises de souche violées. Les statistiques ethniques et religieuses sont autorisées partout sauf en France.

Alors qu'ils représentent seulement 4% de la population, les musulmans en Grande Bretagne ont 200 fois plus de probabilité que les autres de se rendre coupables de viol sur des jeunes filles mineures.

10 000 jeunes filles ont été victimes des gangs de violeurs musulmans, souvent Pakistanais, qui ont défrayé la chronique ces dernières années.

Relire notre article: Le professeur de la mosquée était membre du gang des violeurs musulmans.

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La définition du Jihâd enseignée aux Universités de Paris et Tunis.

 sourdel.jpg

 

Dans l'ouvrage "Vocabulaire de l'islam" paru dans la collection "Que sais-je" des Presses Universitaires de France (PUF, 2008), Dominique Sourdel et Janine Sourdel-Thomine, Professeurs émérites à l'Université de Paris-Sorbonne, co dirigeant la collection "Islamiques" aux PUF, écrivent pour l'entrée "Jihâd":

" JIHÄD- "Lutte", au sens originel.- Désigna d'abord, dans les traités de droit religieux ou fiqh, l'"effort de guerre" devant être entrepris contre les infidèles ou kâfirs, au nom de la Loi ou sharî'a, pour faire triompher la vraie religion. D'où le sens de "guerre légale", plutôt que "guerre sainte", décidée par le chef de la communauté, c'est-à-dire par un calife qui gouverne réellement ou par l'un de ses représentants, l'émir ou, plus tard, le sultan.

-C'est donc un "devoir collectif" ou fard kifâya et non individuel, destiné à assurer l'expansion de l'islam en tant que religion universaliste et instituant un état de guerre permanent avec les territoires non musulmans appelés dâr al-harb, envers lesquels seule une forme de trêve ou hudna, et non une paix durable, peut être consentie.

-Explique les diverses entreprises guerrières ayant assuré l'extension du monde musulman, à partir de la victoire ou fath de Muhammad sur les habitants de la Mekke qui suivit ses diverses batailles et expéditions oumaghâzi, et lors des grandes conquêtes qui se déroulèrent aussitôt après sa mort. -Plus ou moins observé par la suite, n'a plus été décrété officiellement depuis 1914, mais est souvent entrepris à l'époque contemporaine  par des groupes de combattants indépendants.

- A partir du Xeme siècle, certains auteurs [note de l'Observatoire: loin d'être majoritaires chez les juristes sunnites] avaient infléchi le sens du terme en y voyant seulement un combat défensif  (par exemple contre les Francs et les Mongols) ou un combat contre l'hérésie.

- Les soufis sont allés jusqu'à l'interpréter comme un combat contre les passions. D'où les expressions jihad majeur pour l'effort intérieur et jihad mineur pour l'effort guerrier." page 61

Note de l'Observatoire : cette distinction entre jihâd mineur et jihâd majeur est issue d'un propos de Muhammad, qui fait du jihâd guerrier dit "mineur" un préalable avant d'engager l'effort spirituel. Le grand juriste sunnite Al-Ghazâlî (1058-1111) enseigne dans La mesure des Actes que la distinction entre petit et grand jihâd aurait été défini par les compagnons de Mahomet :

« Combattre effectivement est aussi malaisé que de reprendre le souffle. Seul le connaîtra celui qui cherche à extirper l’appétit de son âme. C’est pourquoi les compagnons ont dit « nous revenons du « petit jihâd » pour aborder le « grand jihâd » ils ont donné à la lutte à l’épée contre les mécréants le nom de « petit jihâd ». C’est ainsi que quand on a demandé au prophète « quel est le meilleur des jihâd Ô envoyé de Dieu » il a répondu « Le combat contre tes passions ».( Ghazali, La Mesure des Actes, éditions Albouraq, 2005 ).

 29978140-jpeg_preview_medium.jpgProfesseur à l'Université de Tunis, Hamadi Redissi (photo) un des meilleurs spécialistes de l'islam politique, écrit dans son dernier ouvrage La tragédie de l'islam moderne (Seuil, 2011) :

"Certes, les soufis subliment le jihâd contre soi, mais, à mon humble connaissance, il n'y en a aucun qui ait déclaré le "petit jihâd" (le combat) obsolète" note de bas de page, page 144.

Dans ce même ouvrage, le professeur Redissi explique que :

"Un lecteur occidental ne manquera pas d'être dérouté par la table des matières de tout manuel de droit (musulman).(...) Le manuel inclut immanquablement le "Livre du jihad", devoir collectif incombant à la communauté dans son ensemble et non à une personne particulière. Il est exclusivement consacré à la "guerre sainte", et ce, contrairement à une opinion aujourd'hui courante qui voudrait nous faire croire que le corpus juridique se souciait de "jihad spirituel". C'est l'occasion d'épiloguer sur le statut des non-musulmans, la cible justement du jihad- il arrive qu'un chapitre entier leur soir consacré" page 109

Dans un autre ouvrage, L'exception islamique (Seuil, 2004) Hamadi Redissi se penchait dans son chapitre sur "l'exception militaire" de l'islam sur "les trois alternatives meurtrières" :

" La théorie de la guerre sainte, légale et juste est bien connue. Je voudrais simplement reconstituer une cohérence plus significative qu'historique, en insistant sur trois types de rationalités: prosélyte, fiscale et étatique. Les deux premiers font partie de la guerre sainte, la troisième relève seulement de la guerre d'intérêt général. Mais tous trois portent en eux le dispositif cognitif qui fabrique de l'ennemi. Ils reposent sur trois alternatives logiques, et à chaque fois un double bind: l'islam ou la mort, l'islam ou l'humiliation, le repentir ou la mort" page 87

Lire aussi les écrits du professeur Yadh Ben Achour, collègue de Hamadi Redissi à l'université de Tunis, qui n'enseigne pas autre chose.

16:41 Publié dans 02- COMPRENDRE L'ISLAM | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

01/09/2014

Etat islamique: le viol des captives de guerre est halal dans l'islam sunnite

9782841612307.jpgAu cours du jihâd, la femme de l’ennemi fait partie du butin. A ce titre, le musulman dispose de son corps une fois qu’il l’a réduit en esclavage. Le rite malékite, officiel au Maroc et en Algérie, choisi par l’Institut de théologie de la Grande mosquée de Paris, se base sur un ouvrage fondamental : Al-Muwatta’  "synthèse pratique de l’enseignement islamique" de Abdu-llah Mâlik, jurisconsulte médinois du septième siècle appelé communément "l’imam des imams". Al-Muwatta’ est tellement populaire chez les musulmans qu’il s’en vend à la Fnac et au Virgin Mégastore, ainsi qu'à la "librairie-boutique" de l'Institut du Monde Arabe.

    Voici ce qu’on peut y lire à la page 450 de la traduction de Muhammad Diakho pour les éditions Albouraq :

    (1262) 95- « Ibn Muhayriz a rapporté : « j’entrai à la mosquée et à la vue de Abû Sa’îd al-Khudrî, je m’assis près de lui et je lui demandai au sujet de l’éjaculation en dehors de l’utérus. Il me répondit : « Nous quittâmes Médine avec Mahomet dans une expédition contre les Banû al-Muçtaleq. Nous prîmes pour captives les meilleures femmes arabes. Comme nous les désirions, et que nous souffrions de notre célibat, nous avions voulu avancer des rançons en échange des captives, puis de cohabiter avec elles en éjaculant en dehors de l’utérus. Alors, nous nous dîmes : « Ferons nous cela sans le demander à Mahomet qui est parmi nous ? » En le lui demandant il répondit : « Il n’y a pas de mal à faire cela » »

 Autre justification de taille de la pratique du viol, les enseignements du cheik sunnite Yussuf Al-Qaradawi, animateur vedette d’une émission sur Al-Jazira (La charia et la vie), directeur du Centre européen de la fatwa et de la recherche (CEFR), structure juridique mère de l’UOIF, dont Tariq Ramadan préface les livres. Son analyse sur les causes du tsunami asiatique en 2005 fut particulièrement odieuse : les victimes méritaient leur sort en raison des « actes d’abominations » pratiqués dans les zones touristiques, qui auraient provoqué la colère d’Allah. A savoir de s'être adonné à la fréquentation des boites de nuits et des plages indonésiennes où les femmes sont logiquement peu vêtues. Pour ce qui est des occidentales violées, souvent par ses coreligionnaires, il tient à préciser leur part de responsabilité : les femmes violées « provocatrices parce que non habillées  décemment devraient être punies […]  pour qu'elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite. »

     Autrement dit, une femme occidentale en jupe, en débardeur, ou, comble de l’offense à Allah, en décolleté, ne doit pas s’étonner si elle se fait violer par un musulman.

   Récemment, dans un article documenté s'appuyant sur l'observation de plusieurs pays occidentaux, le journaliste israelien Sharon Lapkin a lancé un pavé dans la mare, démontrant la corrélation entre une forte colonisation musulmane et la recrudescence des viols d'européennes et d'australiennes, analyse factuelle à l'appui.

  Dans une étude du docteur Patrice Huerre,  psychanalyste, directeur médical de la clinique médico-universitaire G. Heuyer (Fondation Santé des Etudiants de France), psychiatre auprès de la Cour d’Appel de Paris, la surreprésentation de la population arabe parmi les violeurs est flagrante. Dans un document intitulé "Viols et agressions sexuelles en réunion", le docteur donne des statistiques ethniques sur l'origine des agresseurs :

 Sur un échantillon de 52 expertises psychiatriques, 52% sont originaires des pays du Maghreb, 20% d’Afrique Noire, les autres sujets étant soit d'origine antillaise, soit issus de l'immigration européenne (Roms inclus), soit issus de familles d’origine française. 
Pour le cas des familles issues des pays du Maghreb, plus de 75% des sujets concernés par l’expertise sont nés sur le territoire français. Et leurs parents comme eux mêmes sont d’obédience musulmane.

Le lundi 17 décembre 2007, Rima Elkoury, journaliste canadienne au magazine La Presse, dans un article intitulé Du voile et du viol s’étranglait de ce qu’on enseigne dans les « centres culturels musulmans » :

« Mets un voile, sinon tu pourrais être violée. C'est ce que l'on recevait comme message jusqu'à tout récemment sur le site Internet du Centre communautaire musulman de Montréal, sous une rubrique visant à informer l'internaute non voilée des supposés dangers liés à sa condition. Ne pas porter le hijab peut entraîner «des cas de divorce, d'adultère, de viol et d'enfants illégitimes», disait l'avertissement pour le moins ahurissant. On y disait aussi que celle qui enlève son voile voit sa «foi détruite», adopte un «comportement indécent» et sera punie en «enfer». On y traitait aussi la femme occidentale de «prostituée non payée».

 La liberté religieuse est une chose. La propagation de propos offensants et sexistes sous couvert de religion en est une autre. Il est tout à fait scandaleux qu'ici même à Montréal, en 2007, on intimide des femmes et des filles avec des idées aussi abjectes que fausses, drapées dans la vertu. Inacceptable qu'on leur fasse croire que ce crime qu'est le viol ait quoi que ce soit à voir avec leur tenue vestimentaire. Car sous couvert de prescription religieuse, on banalise ici un crime grave, on laisse entendre de façon éhontée que la femme violée est responsable de son sort et qu'elle aurait pu éviter tout ça en s'habillant convenablement. »

La récente affaire des 1400 filles anglaises violées par des pakistanais, et les viols publics en plein jour place Tharir au Caire durant la révolution islamiste,  ont définitivement fait sauté le tabou : les musulmans ont un problème avec les femmes. 

Observatoire de l'islamisation, 1 septembre 2014.

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Viols et esclavage sexuel dans les prisons de l'Etat islamique (The Daily Beast)

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Held by the terror group, women and girls as young as 14 who are not sold as wives are subjected to rape and torture. One woman is trying to buy their freedom—but time is running out.

ERBIL, Iraq — Thousands of Iraq’s Yazidis, driven from their homes by ISIS and trapped in the desperate siege of Mt. Sinjar, have captured the world’s attention and received some relief from U.S. airstrikes and humanitarian aid. But hundreds of Yazidi women taken by ISIS and held in a secret prison where they have been raped and sold off like property are facing an equally dire fate.

Survivors who managed to escape from ISIS say the women held in its prison in Mosul face two fates: Those who convert to Islam are sold as brides to Islamist fighters for prices as low as $25, and ranging up to $150. Those who do not convert face daily rape and a slow death.

Accounts of the prison have come from women who managed to hide their cellular phones, calling relatives to describe their plight. Some imprisoned women have been forced by militants to call their families. The mother of one woman still held captive told The Daily Beast about the call she received from her daughter. She was forced to listen as her daughter detailed being raped by dozens of men over the course of a few hours Lire la suite sur The Daily Beast

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