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18/11/2013

Les liens de Martine Aubry avec les islamistes gêneraient sa nomination à Matignon

"Chers amis, bienvenue dans ce Grand palais (municipal...), je me réjouis de votre présence ici" Martine Aubry aux islamistes de la Ligue islamique du Nord le 1er mars 2008

  Les rapports très cordiaux de Mme Aubry avec les responsables de l'UOIF (tendance Frères Musulmans) dans le nord, et au premier chef Amar Lasfar, recteur de la mosquée de Lille Sud, risquent de miner les chances d'exposer la maire de Lille au poste de Premier ministre.

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Le recteur de la mosquée de Lille, Amar Lasfar (photo lors d'un meeting en mars 2008 , Mme Aubry était venue en amie...), né au maroc en 1960 a obtenu la nationalité française en 1997. Membre de l'UOIF fédération musulmane dont les responsables avouent être inspirés par les Frères Musulmans (voir mon livre). Dans un entretien dans la revue Homme et migration en 1999 il dégradait la citoyenneté républicaine sur laquelle il souhaite faire primer l’appartenance à la oumma (communauté des croyants), l'objectif avoué étant que la charia remplace à terme les lois impies de la république :

« Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » (Amar Lasfar cité dans "La cité mode d'emploi", Homme et migrations n° 1218, mars-avril 1999 p.55)

Dans la même veine, avant de réorienter sa stratégie de communication, il affirma : «  L’Assimilation suppose pour les populations islamiques se fondre à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle ». Amar Lasfar, conférence à l’Alliance régionale du Nord, 9 octobre 1997

"Sans le soutien de Madame Martine AUBRY Maire de LILLE, le lycée AVERROES n’aurait pas ouvert ses portes en septembre 2003." Amar Lasfar, communiqué du 13 janvier 2007.

Figure incontournable de l’islam dans le Nord, il a obtenu de la mairie de Martine Aubry l’ouverture d’un Lycée privé musulman à la rentrée 2003, ainsi que la création d'un centre de formation pour imams. Le lycée, qui a obtenu son autorisation d'ouverture du Conseil Supérieur de l’Education Nationale le 10 juillet 2003, se trouve au premier étage de la mosquée !  Lasfar  annonçait alors à la presse « C’est un grand jour pour l’islam de France et la communauté musulmane qui ont fait un grand chemin pour la réussite de ce projet. Ce lycée est aussi une vitrine, un laboratoire pour l’UOIF. ». L'hebdomadaire Marianne avait enquêté dans son n° 352 (janvier 2004) sur les enseignements dispensés dans l'institution, et avait recueilli des témoignages d'élèves dépités dénonçant le bourrage de crâne qu'ils ont à subir : "Ici, on ne nous parle que du coran et de l'islam à longueur de journée, c'est vrai que je suis musulman mais pas au point de devenir Imâm". La journaliste, Ait Aoudia Djaffer, dénonçait dans son article l'état d'esprit de la direction ne cachant pas vouloir faire régner la charia ! 

Enfin, Amar Lasfar fut le principal moteur des manifestations lilloises de janvier 2004 contre la loi sur les port du voile à l'école. Avec le développement de collèges et lycées privés islamiques (reconnus par l'état !), cette loi républicaine ne semble plus être un obstacle à l'épanouissement de leur programme d'islamisation...

Pour en savoir plus sur les liens de Martine Aubry, mais aussi d'Alain Juppé, Jean-Claude Gaudin, Jean-Marc Ayrault avec les islamistes (et bien d'autres),  lire l'enquête Ces Maires qui courtisent l'islamisme, éditions Tatamis.

Aussi, le mari de Martine Aubry, Jean-Louis Brochen, a défendu le groupe de rap musulman Sniper qui appelle à l'émeute en ces termes:  "je veux t'entendre crier faut que tu hurles" ; "t'étonne pas si ta caisse est carbonisée" , extraits de son titre ultra violent "BRULE" au clip video très explicite, composé après les émeutes du ramadan 2005.

Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation, 18 novembre 2013.

13:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : aubry, islam, martine, islamisme, lasfar, brochen, matignon, ministre | |  Facebook | |

12/10/2011

Quand Martine Aubry devra s'expliquer sur ses liens avec Amar Lasfar...

"Chers amis, bienvenue dans ce Grand palais (municipal...), je me réjouis de votre présence ici" Martine Aubry aux islamistes de la Ligue islamique du Nord le 1er mars 2008

  Les rapports très cordiaux de Mme Aubry avec les responsables de l'UOIF (tendance Frères Musulmans) dans le nord, et au premier chef Amar Lasfar, recteur de la mosquée de Lille Sud, devraient être au centre du débat sur les primaires socialistes.

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Le recteur de la mosquée de Lille, Amar Lasfar (photo lors d'un meeting en mars 2008 , Mme Aubry était venue en amie...), né au maroc en 1960 a obtenu la nationalité française en 1997, un véritable scandale pour ce cadre de l'UOIF, fédération musulmane dont les responsables avouent être inspirés par les Frères Musulmans (voir mon livre). Dans un entretien dans la revue Homme et migration en 1999 il dégradait la citoyenneté républicaine sur laquelle il souhaite faire primer l’appartenance à la oumma (communauté des croyants), l'objectif avoué étant que la charia remplace à terme les lois impies de la république : « Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » (Amar Lasfar cité dans "La cité mode d'emploi", Homme et migrations n° 1218, mars-avril 1999 p.55)

Dans la même veine, avant de réorienter sa stratégie de communication, il affirma : «  L’Assimilation suppose pour les populations islamiques se fondre à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle ». Amar Lasfar, conférence à l’Alliance régionale du Nord, 9 octobre 1997

"Sans le soutien de Madame Martine AUBRY Maire de LILLE, le lycée AVERROES n’aurait pas ouvert ses portes en septembre 2003." Amar Lasfar, communiqué du 13 janvier 2007

Figure incontournable de l’islam dans le Nord, il a obtenu de la mairie de Martine Aubry l’ouverture d’un Lycée privé musulman à la rentrée 2003, ainsi que la création d'un centre de formation pour imams. Le lycée, qui a obtenu son autorisation d'ouverture du Conseil Supérieur de l’Education Nationale le 10 juillet 2003, se trouve au premier étage de la mosquée !  Lasfar  annonçait alors à la presse « C’est un grand jour pour l’islam de France et la communauté musulmane qui ont fait un grand chemin pour la réussite de ce projet. Ce lycée est aussi une vitrine, un laboratoire pour l’UOIF. ». L'hebdomadaire Marianne avait enquêté dans son n° 352 (janvier 2004) sur les enseignements dispensés dans l'institution, et avait recueilli des témoignages d'élèves dépités dénonçant le bourrage de crâne qu'ils ont à subir : "Ici, on ne nous parle que du coran et de l'islam à longueur de journée, c'est vrai que je suis musulman mais pas au point de devenir Imâm". La journaliste, Ait Aoudia Djaffer, dénonçait dans son article l'état d'esprit de la direction ne cachant pas vouloir faire régner la charia ! 

Enfin, Amar Lasfar fut le principal moteur des manifestations lilloises de janvier 2004 contre la loi sur les port du voile à l'école. Avec le développement de collèges et lycées privés islamiques (reconnus par l'état !), cette loi républicaine ne semble plus être un obstacle à l'épanouissement de leur programme d'islamisation...

Pour en savoir plus sur les liens de Martine Aubry, mais aussi d'Alain Juppé, Jean-Claude Gaudin, François Grosdidier avec les islamistes (et bien d'autres),  lire l'enquête Ces Maires qui courtisent l'islamisme, éditions Tatamis, octobre 2010. 20e.

L'Observatoire de l'islamisation ne roule pas pour l'UMP (sévèrement éreinté dans nos articles également) contrairement aux sous-entendus qui se répandent dans la presse, il roule pour la France libre. Tout simplement.

Joachim Véliocas, Observatoire de l'islamisation, 10 juillet 2011.

23/07/2011

Jean-Louis Brochen et l'ambiguë Ligue des droits de l'homme

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Le 20 mars 2004, divorcée de Xavier Aubry dont elle a gardé le nom, Martine Aubry épouse en secondes noces l'avocat lillois Jean-Louis Brochen. Ancien bâtonnier du barreau de Lille et ex-adjoint à la culture à la mairie de Lille. Il convient de savoir que Brochen est un adhérent et militant de la Ligue des droits de l'homme (LDH). Cette association grassement subventionnée a des obsessions bien arrêtées : régulariser tous les clandestins, ne jamais déchoir de la nationalité française les naturalisés ayant commis des délits graves (ainsi la LDH a dénoncé ceux qui parlaient de retirer la nationalité française à Lies Hebbadj, ce salafiste polygame de Nantes couvrant ses femmes de burqas et fraudant les prestations sociales). La LDH s'était faite remarquée pour avoir milité contre l'extradition vers son pays de Mohamed Chalabi, à l'issue de sa peine de prison pour ses liens avec le GIA responsable d'attentats meurtriers en France. Robert Redeker, mis sous protection policière après une tribune dans le Figaro où il évoquait la biographie guerrière de Mahomet, s'est lui attiré les foudres de la LDH qui ne peut s'empêcher de « constater que ses propos sont une charge haineuse contre l'islam et non contre ses dérives". Fin 2006, deux membres du comité central de la LDH, Antoine Spire et Cédric Porin annoncent leur démission dans Le Monde en reprochant notamment à la LDH sa complaisance à l'égard de l'islam radical ou encore sa "culture de repentance postcoloniale". 

La défense des "droits" des islamistes étrangers est une habitude à la Ligue. Ainsi un autre fou d'Allah a vu sa "liberté d'expression" défendue par la LDH. L'imâm de Vesoul, pourtant, était surveillé de près par les Renseignements Généraux qui écrivaient dans une note de synthèse du 12 décembre 2006 : « Abakar Mahamat Zene propage une idéologie soutenant le djihad armé et incitant à la haine contre le monde occidental et les juifs, idéologie à laquelle une partie de la jeunesse musulmane de Vesoul se montre très réceptive ». Ainsi, selon les policiers, l’homme dont l’échéance de la carte de résident se profilait en novembre 2011 « contribue ainsi à poser les bases idéologiques nécessaires à la constitution de groupe à potentiel terroriste ». 

La justice vient d'établir, rapporte  L'Est républicain du 19/04/2011 initulé "L'imam de Vesoul, menace d'état", que le Tchadien âgé de 53 ans, "qui vivait d’un commerce dans le quartier populaire du Montmarin à Vesoul et de l’organisation de pèlerinages en Arabie Saoudite, dont la gestion est mise en cause par les enquêteurs, représenterait bien une menace à la sûreté de l’État". 

Mais lors de son expulsion en 2008, l'association franco-musulmane de Vesoul, soutenue par la LDH, fit appel et le rapporteur public a requis l’annulation de l’arrêté d’expulsion et la condamnation de l’État à délivrer un titre de séjour à Abakar Zene.  Le jugement fut  mis en délibéré. Par-delà l'étonnement que suscite  la requête du rapporteur, notre attention a été attirée par cette phrase extraordinaire de la LDH, martelée, même, selon le journaliste Sébastien Michaux : « quand bien même ces propos auraient été tenus, cela relève de la liberté d’expression ».

Une liberté d'expression à géométrie variable...

La LDH a fait condamner Jean-Marie Le Pen  à 5 000 euros d'amende pour provocation à la haine raciale, en raison de propos tenus dans une interview au quotidien Le Monde "Le jour où nous aurons en France, non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont. Et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux" (jugement du tribunal correctionnel du 2 avril 2004, confirmé en cassation en 2006) .

La LDH a porté plainte récemment contre Riposte Laique, pour ces propos évoquant "un esprit de conquête":

"Nous affirmons que l’islam n’est pas une religion, mais un projet politico-religieux totalitaire, et qu’il ne sait exister que par la conquête. Il faut aujourd’hui être aveugle, sot ou complice pour ne pas voir, dans le quotidien, cet esprit de conquête, en France et dans nombre de pays européens." tout le détail de l'affaire ici

Voilà pour l'univers militant de Brochen. Ce qui éclaire la suite (cliquer) :

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