02/12/2009
Mohammed Moussaoui ambigu sur la burqa
"Aller maintenant dire que le port de la burqa est un signe d'asservissement ou d'abaissement, en tant que président du Conseil français du culte musulman, je me réserve le droit de ne pas me prononcer" (sic)
Déjà, le Parisien dans son édition du 18.06.2009 rapportait : "Le président du CFCM (Conseil français du culte musulman) Mohammed Moussaoui se dit «choqué» par le projet de commission d'enquête parlementaire sur le port du voile intégral" (resic)
Mohamed Moussaoui est membre de la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH). (reresic)
Ce professeur de mathématique de nationalité marocaine, président du Rassemblement des musulmans de France (plutôt des musulmans marocains en France) s'est vu propulsé à la tête de l'antinomique Conseil français du culte musulman. Pour tenter de masquer l'absurdité de l'intitulé d'un tel conseil regroupant des fédérations turques (Milli Gorus, CCMT,) algériennes (GMP) et marocaines (RMF), Mohamed Moussaoui va se faire naturaliser français de papier en catastrophe par la Ripoublique nous indiqua Le Monde du 23 juin dernier . C'est un peu gros mais aucun politique n'ose élever la voix contre cette mascarade, le terrorisme intellectuel de l' « anti-racisme » idéologique tétanisant les esprits.
Le nouvel ambassadeur des injonctions de Mahomet (voir bio) conservera la nationalité marocaine et demeurera sujet du Roi Mohammed VI, comme le prévoit la législation du royaume chérifien…Alors qu'au Maroc, la constitution interdit toute naturalisation pour les Chrétiens, qui ose encore le rappeller ? Quant au code pénal marocain, son article 220 punit ceux qui viendrait promouvoir une autre religion que l'islam !
Le nouvel homme fort de l'islamisation vient d'annoncer sa première mesure: recourrir à un Institut de formation d'imams marocains pour former les imams "de" France.
Lorsque l'on connait l'islam officiel enseigné au Maroc, le malékisme, et ses ouvrages fondamentaux ( voir ce traité de droit, la base de l'école malékite marocaine, et cet épître enseignant le Jihâd offensif, tous deux enseignés dans les écoles islamiques de France) il y a de quoi s'inquiéter...
Mohammed Moussaoui était, avant sa prise de poste à la direction du CFCM, l'imam de la mosquée El-Bukhâri à Avignon. Or, El-Bukhâri est une référence pour les islamistes (et tous les musulmans pratiquants) : il s'agit d'un des traditionistes ayant compilé les propos du "prophète" Mahomet rapportés par ses compagnons, dans des "Hadith Sahîh", soit des "traditions authentiques" ayant autant de valeur que les prescriptions du Coran chez tous les sunnites...ces hadiths "Authentiques" (Sahîh) n'ont jamais et ne seront jamais remis en cause par les juristes musulmans : il s'agit du coeur nucléaire de l'islam, y toucher reviendrait à créer une nouvelle religion, à créer une innovation blâmable (Bida').
A leur lecture, on comprend pourquoi l' "islam modéré" est une construction destinée à tromper les occidentaux :
« Celui qui abandonne sa religion islamique, tuez-le. » (Al Bukhâri , Al Sahîh Volume 4, Livre 52, Numéro 260)
« Si on vous ordonne de sortir faire le Jihâd, exécutez donc l’ordre. » ibidem Al-Bukhârî (1834)
Les premières places du paradis vont aux djihadistes : "II y a au Paradis cent degrés que Dieu a préparés à ceux qui combattent à Son service. Entre l'un de ces degrés et l'autre se trouve la distance qui sépare le ciel de la terre" selon le même Sahîh de Bukhâri.
Sur la pédophilie et les mariages forcés :
Hadith, Sahih Bukhari 7:62:64
"Le prophète (Mahomet) l'a épousé (Aisha) quand elle avait six ans et il a consommé son mariage quand elle avait neuf ans, et alors elle est resté avec lui pendant neuf années (c'est à-dire, jusqu'à sa mort)."
Hadith, Sahih Bukhari 1:4:229
"Aisha a relaté : J'avais l'habitude de laver les traces de Janaba (sperme) des vêtements du prophète (Mahomet) et il avait l'habitude d'aller à la prière avec de l'eau encore dessus. (les traces d'eau étaient encore visibles)."
Hadith: Volume 8, livre 73, N° 151
"Aisha relaté : J'avais l'habitude de jouer à la poupée en présence du prophète (Mahomet), et mes amies (des petites filles de l'âge d'Aisha) avaient l'habitude également de jouer avec moi. Quand l'apôtre d'Allah entrait, elles avaient l'habitude de se cacher, mais le prophète les appelais à le rejoindre et jouer avec moi"
Rapatrier Mohamed Moussaoui dans son pays, fermer toutes les mosquées de sa fédération (RMF), sont des nécessités d'ordre public. Nous attendons les réactions des associations féministes.
Joachim Véliocas. Observatoire de l'islamisation.
19:27 Publié dans 02- COMPRENDRE L'ISLAM | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mohammed moussaoui, cfcm, conseil français du culte musulman | | Facebook | |
15/09/2009
Racisme anti-noir au CFCM ?
Lu dans l'Express du 16.09.09
"Vendredi après-midi, le 11 septembre, alors que les membres de l'instance débattaient du nombre et des représentants des différentes fédérations musulmanes à placer à la table du ministre, un sévère accrochage s'est produit entre Chems Eddine Hafiz, le vice-président du CFCM et avocat de l'ambassade d'Algérie, et Assani Fassassi, le secrétaire général de la Fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles. Le ton est monté entre les deux hommes, au point que le premier aurait lancé au second: "Sale race!"
Maître Hafiz dément totalement ces propos. Assani Fassassi s'en est tout de même allé porter plainte dès le lendemain matin au commissariat du 8e arrondissement de Paris, ce qui a valu à l'avocat algérien d'être entendu par les agents, à une place assez différente de celle qu'il occupe habituellement face aux forces de l'ordre." article intégral
Entre les Arabes musulmans et les noirs d'Afrique sub-saharienne, ça n'a jamais été une grande histoire d'amour :
Présentation de l'éditeur
" Les Arabes ont razzié l'Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d'hommes qu'ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de l'histoire des peuples noirs n'est apparemment pas définitivement tournée. La traite négrière a commencé lorsque l'émir et général arabe Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un bakht (accord), conclu en 652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d'esclaves. La majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour. Et ce fut le point de départ d'une énorme ponction humaine qui devait s'arrêter officiellement au début du XXe siècle. "
Biographie de l'auteur
L'anthropologue et économiste Tidiane N'Diaye est l'un des grands spécialistes des civilisations négro-africaines et de leurs diasporas. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur ce sujet
L'histoire de l'esclavage, généralement limitée à la Rome antique, à la période coloniale et à la traite des Anglais et des Français au XVIIIe siècle, laisse de nombreux pans aveugles, en raison de la rareté des sources et de la culpabilité rétrospective des nations colonisatrices. Ainsi, du VIIe siècle à la fin du XIXe, s'est mis en place un système de traite musulmane des Noirs d'Afrique, par caravanes à travers le Sahara et par mer à partir des comptoirs d'Afrique orientale. En tenant compte des travaux les plus récents, notamment ceux des historiens ivoiriens et nigerians, Jacques Heers retrace le mécanisme de cette traite, ses itinéraires, ses enjeux commerciaux et le rôle des esclaves dans les sociétés arabes - à la Cour, dans l'armée, dans les mines ou aux champs. Il évoque les tensions épisodiques, mais aussi la grande révolte du IXe siècle. Se dessinent de la sorte une cartographie de l'esclavage africain ainsi qu'une étude sociale menée sur une période de plus de mille ans.
Biographie de l'auteur
Jacques Heers, professeur émérite à la Sorbonne (Paris IV), a notamment publié La Première Croisade, Louis XI, Les Barbaresques.
13:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : esclavage, traite négrière, cfcm, racisme, mrap, génocide | | Facebook | |