L’UOIF, bientôt à la tête de la Fondation pour les œuvres de l’islam de France…évite soigneusement le français dans ses sermons.

 

    Le ministère de l’Intérieur, qui, après avoir installé la filiale française des Frères musulmans au Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), vient de promettre à l’organisation la direction de la Fondation des œuvres de l’Islam de France en 2009, comme nous l’avons développé dans une note récente.

Or, preuve que l’organisation n’est pas française, les sermons  du vendredi professés par le directeur des écoles d’imams du mouvement, Ahmed Jaballah, sont professés en arabe…Ancien directeur de l’UOIF et connu pour réclamer une « sanction judiciaire » à l’encontre de l’apostat[1] (soit la peine de mort), cet islamiste est non seulement toléré en France, mais récompensé par un gouvernement collaborationniste, l’installant avec son organisation à la tête d’une Fondation dont les moyens sont exorbitants, grâce aux pétrodollars wahhabittes.

Visionner le sermon du vendredi sur le site de l’UOIF en cliquant ici.

 

Joachim Véliocas, octobre 2007.

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[1] Tiré du texte de Jaballah “Nos religions et leurs interdits le cas de la religion musulmane“ où l’on trouve  les extraits : “La transgression de l'illicite entraîne pour son acteur, s'il n'a pas fait acte de repentir sincère, la colère divine mais aussi la sanction judiciaire” et “L'apostasie est totalement prohíbe”.