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13/04/2014

L'Union Européenne finance déjà l'intégration de la Bosnie en voie de "turquisation"

3/04/2014 – VIDÉO REALPOLITIK.TV - Au cœur de l’Europe du sud-est, des processus d’éclatement sont réactivés depuis quelques mois. Derrière une révolte sociale étendue aux Républiques de Bosnie-Herzégovine, du Monténégro et de Serbie, on voit poindre plusieurs mécanismes :
- le rejet par les populations locales des privatisations effrénées et des abus de pouvoirs par les autorités régionales et locales dans chacune des républiques ;
- la reconfiguration politique des entités créées aux accords de Dayton en 1995, et le pouvoir d’attraction de leur matrice respective (Croatie, Serbie, Turquie) ;
- la renaissance de la question d’orient, avec l’essor de la politique néo-ottomane, l’action des ONG états-uniennes et l’ingérence croissante de l’UE.



Complément d'info de l'Observatoire :

En 2013, la Bosnie Herzégovine a touché 108,8 millions d'euros au titre de l'Instrument de pré adhésion (IPA)- source) , en plus des milliards d'euros versés par la communauté internationale dont l'UE  abordés dans la vidéo d'Alexis Troude

Pays indépendant depuis 1995 mais dont la fédération Bosno-musulmane est largement sous influence turque, des universités islamiques aux mosquées sous la houlette du Diyanet (le ministère des Affaires islamiques turc). L'autre moitié de la fédération est la république serbe de Bosnie.

Les bosniaques entrent librement en Europe (source Europarl): 

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30/10/2013

La Turquie revendique le Kosovo serbe. Silence de la diplomatie européenne.

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"En visite au Kosovo le 23 octobre, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé : « Le Kosovo c’est la Turquie, et la Turquie c’est le Kosovo. Nous sommes tous les enfants du même pays, forts et unis comme des frères. Nous partageons la même histoire et la même civilisation. » De tels propos démontrent bien que ce voyage était loin de s’inscrire dans une simple logique de coopération économique. Si ces déclarations ont provoqué la colère des autorités serbes, elles s’inscrivent pour Erdogan dans une logique politique évidente tout autant qu’effrayante". Lire l'article dans Minute du 30 octobre

Rappel: l'UMP a voté à Strasbourg 2,26 miliards d'euros de crédits de pré-adhésion pour la Turquie. Fonds destinés à développer son agriculture et ses infrastructures.

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17/10/2012

"Je ne suis pas un criminel de guerre" me dit Radovan Karadzic

  radovan karadzic,karadzic

Interview rare de Radovan Karadzic reproduite dans le n° 135 de la revue Balkans-Info, revue de réinformation incontournable pour comprendre les enjeux du procès Karadzic. Premièrement, le journaliste Jean Visconti nous replonge dans le contexte de l'époque :

  " Je suis retournée en Bosnie le 27 mai 1996, après un voyage aventureux le long d'une route impraticable, dont notre conducteur craignait qu'elle nous conduise dans le corridor de Gorazde, car dans cette zone opéraient souvent des groupes armés de musulmans. Précisément ce matin-là, on avait retrouvé, à Milici, les restes torturés de trois Serbes. L'IFOR des Etats-Unis avait arrêté dix musulmans, trouvés porteurs d'armes, en violation des accords, non loin du lieu de la tuerie. Les hommes avaient été remis, selon l'usage, à la milicija de Pale. Les Serbes, après les avoir contrôlés et fichés, avaient été obligés de les relâcher, parce qu'il n'existait pas de preuves évidentes qu'ils fussent les auteurs du massacre. Un examen plus approfondi leur a appris que les dix appartenaient à un groupe terroriste musulman appelé "laste" (les hirondelles), et que huit d'entre eux figuraient parmi les "disparus dans les fosses communes de Srebrenica", sur les listes de la Croix Rouge internationale déposées au Tribunal militaire de Zvornik. (note de l'Observatoire : on voit ainsi comment de faux morts ont été ajoutés  pour gonfler le montage du « génocide » de Srebrenica)

  Je suis arrivée à Pale vers les 11 h 30 du soir. Radovan Karadzic m'attendait dans la nouvelle présidence située en ville. C'était la première fois que j'entrais dans ce lieu. Un palais blanc, simple. Le bureau de Karadzic était vaste, sobrement meublé. Aux murs : les drapeaux aux aigles, ainsi que des symboles et icônes orthodoxes. Au fil des années, ces objets avaient progressivement augmenté par rapport à la première fois où je l'avais rencontré et où son bureau en était totalement privé. Cela pouvait signifier un retour à la religion et au mysticisme, ou simplement une concession à la raison d'Etat. Le Président avait l'air psychologiquement fatigué. Il devait avoir perdu vingt kilos. Il était vêtu de beige clair et paraissait encore plus grand qu'auparavant. Désormais, il était officiellement un criminel de guerre poursuivi. Pendant toute notre conversation , le ton de sa voix a oscillé entre fatigue, désillusion et douleur". Lire  l'interview de Karadzic 

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29/02/2012

Bosnie :les catholiques poussés dehors par les musulmans

Lu sur Radio-Vatican du 29/02:

"Benoît XVI est préoccupé pour l’avenir des catholiques en Bosnie-Herzégovine. Les statistiques annuelles des curies diocésaines sont alarmantes. Il y avait 800 000 catholiques en 1991 dans le pays, ils ne sont plus que 440 000. Certaines paroisses ne comptent plus que quelques fidèles très âgés. Les évêques de Bosnie Herzégovine et de Croatie se sont retrouvés fin janvier à Sarajevo pour une assemblée conjointe, en présence du nonce apostolique. L’Osservatore romano publie le message qui leur a été adressé, au nom du Pape, par le cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d’État du Saint-Siège. Le texte attire l’attention des évêques sur la grave question de la survie de foi et de la population catholique dans le pays. Il salue la tenue d’une réunion conjointe, signe de l’unité entre les deux Églises, qui se distinguent par leur dévotion au Pape, par leur engagement ecclésial face aux nombreux défis auxquels le peuple croate est confronté, et par leurs gestes de solidarité à l’égard des plus démunis. 

Il y a quelques jours, le cardinal Vinko Pulijic, archevêque de Sarajevo, avait dénoncé, selon ses propres termes, le nettoyage ethnique pratiqué contre les catholiques avec l’approbation tacite de la communauté internationale. Interrogé par l’association «Aide à l’Église en détresse », le cardinal Puljic avait affirmé que les musulmans dominent tout et qu’ils poussent les catholiques à quitter le pays. Il est désormais très difficile en Bosnie-Herzégovine de construire de nouveaux lieux de culte, alors que, toujours selon le cardinal Puljic, rien qu’à Sarajevo plus de 70 nouvelles mosquées ont été financées ces dernières années par l’Arabie Saoudite" suite

Lire notre Dossier Balkans

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15/12/2011

Les forces d'occupation européennes (EULEX) bloquent l'aide humanitaire russe à la frontière du Kosovo

Non contents d'avoir délogé les Serbes du Kosovo (200 000 déplacés) pour installer un état mafieux dont les dirigeants sont impliqués dans des trafics d'organes, les "européens" sous bannière EULEX bloquent l'accès des enclaves serbes aux camions d'aide humanitaire russes..

Russia Today- 14 décembre.

Aidez les serbes avec Solidarité-Kosovo qui se rend chaque Noel sur place (vêtements chauds, matériel de sécurité, cadeaux pour les enfants). Ne laissons pas les militaires sous commandement stupide représenter la France réelle.

Voir tout notre dossier sur le Kosovo-Metochie et Bosnie

18:55 Publié dans 28- DOSSIER BALKANS | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

27/05/2011

Le TPI accable Mladic et Karadzic, et relaxe le boucher des Serbes, Naser Oric

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    Suite au  lynchage médiatique de Radovan Karadzic et Ratko Mladic, nous remontons cette note de juillet 2008 expliquant le circonstances de la libération de Srebrenica par l'armée serbe, dont le "pire massacre depuis la 2nde Guerre mondiale" fut en fait largement  le fruit de combats réguliers, sur fond de revanche après les atrocités  continues que subirent les civils Serbes sous l'occupation musulmane dès 1992 et jusqu'à 1995.  Pourquoi aucun média Français ne parle des 4 années de terreur (3.287 civils serbes assassinés, 192 villages pillés et incendiés) qui ont précédé l'entrée des hommes de Mladic dans la ville ?

  Le Tribunal Pénal International passe par pertes et profits les massacres avérés de milliers de civils serbes par les troupes musulmanes de Bosnie dirigées par Naser Oric, et ignore toujours l’existence des camps de concentrations musulmans où croupirent des civils serbes, femmes et enfants inclus.

   Naser Oric fut acquitté, jeudi 3 juillet 2008 , par la chambre d'appel du Tribunal Pénal International de La Haye, après avoir été condamné en première instance en juin 2006 pour crimes de guerre. Si en 1992, estiment les magistrats, des civils serbes ont été passés à tabac et tués en Bosnie, « les preuves de la culpabilité de Naser Oric sont absentes », comme si celui qui était le commandant en  chef de l’armée bosniaque de 1992 à 1995 n’était pas au courant que ses hommes s’attaquaient à des milliers de civils, comme si il ne s’était rien passé après 1992 !

   Le Tribunal Pénal International, (création ad hoc américaine) après avoir sur le tard (2003 !) commencé à interpeller quelques criminels de guerre musulmans pour tenter de regagner de la crédibilité après avoir systématiquement arrêté les « criminels » du seul camp Serbe, vient de démontrer que son parti pris à l’égard des bosno-musulmans dans la continuité des choix de l’Otan, fait de La Haye le théâtre d’une des plus grandes parodies de justice de l’histoire moderne.

   De nombreux témoins de l’époque, du chef de la sécurité civile Patrick Barriot au général Lewis MacKenzy, premier commandant des forces de paix l’ONU à Sarajevo, en passant par le courageux général Morillon, avaient pourtant clairement décrit le rôle criminel du sanguinaire Naser Oric, sous les ordres de l’islamiste Alija Izetbegovic, conduit à la présidence de la Bosnie indépendante par l’Otan et son allié François Mitterand, sous l’influence de Bernard Henry Lévy.

Naser Oric commandait  l'armée Bosno-musulmane lors du siège de Srebrenica  par les Forces Serbes, qui tenaient légitimement à régler leur sort aux djihadistes (qui s'assumaient comme tel) responsables d'une épuration ethnique, rélle et planifiée, elle

8 000 morts lors de la libération de Srebrenica ? Seuls 2079 corps identifiés par la Commission internationale pour les personnes disparues. Seulement des civils désarmés ? Non,  5500 hommes de la 28 eme division d'infanterie bosno-musulmane lourdement armés étaient dans le secteur...qui avaient refusé de rendre les armes, et majoritairement neutralisés lors de combats réguliers ! (Certes, des executions sommaires qu'il convient de punir, mais s'élevant à quelques dizaines et non avalisées par la hierarchie. Après avoir été martyrisés lors de sévices épouvantables, officiellement diligentés, les Serbes avaient quelques raisons de vouloir se faire justice sur les djihadistes vaincus)

  L’Association des anciens combattants de la Républika Srpska  révéla  détenir une liste de 954 combattants musulmans bosniaques tués au cours de la guerre civile en Bosnie avant fin 1994, qui figurent pourtant dans le compte des victimes  de Srebrenica datant de juillet 1995. La liste fait partie des rapports faits en fin 1994 au commandement du second corps d’armée bosno-musulman par le chef de la 28ème division en garnison à Srebrenica,  Naser  Oric lui-même.  Par ailleurs, l’Association de la Republika Srpska des prisonniers de camps cite l’exemple de Munira Subasic, présidente de l’Association des femmes musulmane de bosnie , qui a déclaré son fils comme une des victimes de Srebrenica. Or, son fils a été trouvé aux Etats-Unis sous un nom différent »

" On peut être sans nouvelles des "civils disparus depuis deux ans" de Srebrenica, mais ça ne les empêche pas de voter aux élections de Bosnie de 1997 ! La liste ci- dessous constitue une partie de la liste des 3010 "civils disparus" qui ont participé aux élections de Bosnie et qui figurent dans la liste des votants de l'OSCE " . DR Dragan Kalinic, président du Parlement de la République Serbe lors de sa présentation de ce "paradoxe" à l'OSCE et à l'UE....

Lire la suite détaillant les massacres commis par les Bosno-musulmans commandés par Oric. 

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14/07/2010

Sécession du Kosovo islamo-mafieu: l'avis du Parti Démocrate Serbe

Interview de Milos Jovanovic, vice-président du DSS, Parti Démocrate de Serbie. Préparant un doctorat de droit international à la Sorbonne, il maîtrise le français. Partie 2 et 3.

Ci-dessous : discours du géopoliticien Alexis Troude réagissant le 2 mars 2008 à la reconnaissance par la France de l'état (illégal sur le plan du droit international) du Kosovo, dans la lignée du servile alignement sur les intérêts américains.

Voir notre Dossier Balkans.

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30/06/2009

La Bosnie vit un processus d'islamisation

   Le préfet de la congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, le cardinal Franc Rodé, après sa visite en Bosnie, du 19 au 21 juin, a déclaré :

"La Bosnie vit un processus d'islamisation et Sarajevo est devenue une ville musulmane (...)  les catholiques ont été les principales victimes de la guerre et que beaucoup ont fui le pays (...) Beaucoup sont partis parce que leurs maisons ont été incendiées, d'autres à cause des pressions et de la peur de perdre la vie. De nombreux prêtres et religieux ont été assassinés. Des églises et des monastères ont été incendiés ou détruits (...) Ces dernières années, plus de 100 mosquées ont été construites, dans des lieux où il n'y en a jamais eu. Il y a donc une volonté d'islamisation dans la région de Sarajevo (...)"

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03/08/2008

Bosnie-Herzégovine: présence et influence des réseaux islamistes transnationaux

 

(Le célèbre Saoudien Abu Abdul Aziz, vétéran du jihad d’Afghanistan, du Cachemire et des Philippines, prit la tête des Forces musulmanes au début de la guerre en Bosnie-Herzégovine.)

 Par Jean-Arnault Dérens, rédacteur en chef du Courrier des Balkans.

Les attentats de Londres et de Charm El-Cheikh ont rappelé que la Bosnie-Herzégovine entretenait toujours des relations avec les réseaux islamistes transnationaux. Plusieurs des terroristes supposés avaient séjourné en Bosnie; d'autres disposaient même de la citoyenneté bosniaque. En effet, durant la guerre de 1992-1995 et dans la période qui a suivi celle-ci, le passeport bosniaque a été généreusement distribué à de nombreux volontaires internationaux du jihad.
Lire cet article édifiant sur Religioscope

14:36 Publié dans 28- DOSSIER BALKANS | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

28/07/2008

Au TPI, il y a crimes de guerre et crimes de guerre

                                                                                                 

  Documentaire russe très complet sur le Kosovo, sous titré en anglais ( 7 parties).

   Histoire, géopolitique, contexte religieux, forces en présences, bilan des bombardements, témoignages directs, images de guerre inédites. Certainement le meilleur documentaire sur la question.

   La deuxième partie ouvre sur le drame d’une famille ayant reçu une « cluster bomb », une bombe à fragmentation libérant des sous-munitions. Une petite fille Milila, est morte, à quelques mètres de ses parents. Un exemple parmi des centaines d’autres, les cibles de l’Otan  étant majoritairement civiles à l’époque pour « démoraliser l’ennemi ».

   Le documentaire revient également sur la destruction d’un train de voyageur bondé…aucun survivant. Un bus scolaire, tous morts. Les américains ne reculant devant rien, un hôpital fut également visé…Fiers d’être stupides, ils lâchèrent même des bombes sur des colonnes de réfugiés Albanais, dont l’intervention avait pourtant justement pour objet la protection. A l'époque du guidage lazer, invoquer la bavure n'est pas sérieux : l'armée américaine est composée d'handicapés mentaux et de cas psychatriques graves.

  Pendant ce temps là, la France se ridiculisait avec des Super-étendarts sans visions nocturnes, restant au garage la nuit, et équipés par des bombes américaines faute (déjà) de dotations suffisantes en matériel…

  Coïncidence ? Le nombre de civils morts à Belgrade en 1999 coïncide avec celui des victimes du bombardement nazi de 1941, soit environ 2000 morts.

   On visionnera avec une certaine jubilation des images inédites sur l’épisode du village de Racak présenté par les médias occidentaux comme le théâtre d’un «  génocide » avec "charniers" , mais qui, expertise faite par médecins et même journalistes occidentaux, se révéla contenir simplement les corps de terroristes de l’UCK, déguisés en civils… au milieu de tranchés dignes de Verdun, à côté d’armes de guerre, démontant la version des agences de psychological opérations . Racak, point de friction entre Forces serbes et UCK, fut Le prétexte au déclenchement des bombardements de l’Otan. Par contre, les fours crématoires où furent jetés les civils serbes par l'UCK, comme à Klecka, n'ont pas intéréssés grand monde...

 

  Après l'arrivée de l'Otan, en juin 1999, l'UCK eut les mains libres pour mettre à feu 50000 maisons de serbes et 50 églises et monastères...200 000 serbes durent quitter leurs terres.

 

   L’Ange miséricordieux « Merciful Angel » était le nom de l’opération criminelle de l’Otan. Une véritable offense à Dieu pour les Serbes du Kosmet si attachés à leurs monastères classés au patrimoine mondial de l’Unesco, en activités et non profanés en musées républicains à la différence de l'Occident  dégénéré…

 

  La principale révélation est un document vidéo montré par un général Serbe mettant en scène Paddy Ashdown, député travailliste de la Chambre des Lords , en visite amicale chez des terroristes de l'UCK, leur enseignant comment se servir d'une kalachnikov et leur adressant les meilleurs voeux d'un certain...Tony Blair.

 

   On attend le mandat d’arrêt à l’encontre de Bill Clinton et Tony Blair pour « crimes de guerre » de  la part du Tribunal Pénal International. Sans illusions sur la grande comédie qui se joue à la Haye. Barak Obama, lui, est fier d'appartenir au Parti Démocrate qui a tant de sang sur les mains.

 

Pour lire notre dossier sur le Kosmet, cliquer ici

 

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26/07/2008

Ratkco Mladic : pour une approche objective

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Vous êtes le seul chef militaire que je connaisse qui ne dit pas à ses hommes en avant ! mais suivez-moi !
Compliment adressé au général Mladic par le général américain Wesley Clark, commandant en chef à l’époque des forces de l’OTAN.

Qui est Ratko Mladic ?

Qui est cet homme, accusé de génocide, qui nargue les polices mondiales ?

Qui est ce général, auréolé de victoires, guerrier légendaire pour son peuple, respecté par ses pairs, redouté par ses ennemis, réduit à l’état d’assassin fugitif poursuivi par le tribunal pénal international de La Haye ?


   Pour la première fois en langue française, un livre trace le portrait, sans préjugés ni complaisance, du personnage le plus charismatique et le plus controversé de la décennie de guerre dans les Balkans.

                                 

  Introduction par le général Pierre-Marie Gallois, père de la dissuasion nucléaire française, ancien conseiller diplomatique du général De Gaulle, géostratège internationalement reconnu.

 

  Préface du colonel Patrick Barriot, professeur à la faculté de médecine de Montpellier, à l'époque médecin chef de la Sécurité civile en ex-yougoslavie. Lors des évènements, à la différence des journalistes parisiens, celui qui a destabilisé  Clara del Ponte  lors du procès Milosevic, était sur place.

                               

  Avant propos du directeur de Balkans-info, Louis Dalmas. Revue largement citée dans les livres du géopoliticien Alexandre del Valle.

Acheter le livre-enquête sur Balkans-info, 24 euros, port inclus. livre en bas de cette page.

                                            

   Voici un aperçu de la composition de l'armée bosniaque que combattait Mladic à l'époque  : des moujhaidines venant du monde entier pour mener le Jihâd contre les Serbes orthodoxes :

 

 

                                                                                    

   Face au Jihâd, les Forces Serbes se plaçaient comme un rempart de l’Occident chrétien.

Le commandant Arkan ( 1952-2000, bras droit de Mladic) le fameux chef de guerre Serbe tant caricaturé par les médias occidentaux justifiait son action ainsi :

                                                         

« Je crois en Dieu et respecte les enseignements de l’Eglise orthodoxe »

« j’ai tué dans une guerre réglée des soldats ennemis (non des civils) »

« je ne me considère pas comme un criminel mais comme un patriote serbe, je défendais mes enfants, j’en ai neuf, je défendais mon peuple et mon pays. Puis raillant les donneurs de leçons américains il continuait ainsi : Je n’ai pas recouvert le Vietnam de napalm, je n’ai pas rayé de la carte Hiroshima et Nagasaki […] je n’ai pas utilisé d’armes biologiques (à la différence de l’Otan qui bombarda les Serbes avec des bombes sales à uranium appauvri ou à sous munitions) je ne m’en suis pas pris aux civils comme au Panama, donc je ne peux pas être un criminel de guerre. »

 

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05/03/2008

Kosovo : "The Albanian Brooklyn Connection"

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Par Alexeï Pankine, pour RIA Novosti

    Qu'y a-t-il de si particulier dans la situation au Kosovo par rapport à d'autres conflits similaires? Pourquoi l'indépendance du Kosovo a-t-elle été reconnue à la hâte par les Etats-Unis et la plupart des Etats de l'UE?", ai-je demandé par écrit à Georgi Derlugian, professeur russe à la Northwestern University de Chicago, et l'un des principaux spécialistes mondiaux du Caucase. Pour toute réponse, il m'a envoyé un hyperlien vers un documentaire intitulé "The Albanian Brooklyn Connection", réalisé par des Hollandais, sorti en février 2005 et diffusé aux Etats-Unis par la chaîne de télévision publique PBS.

Lire la suite de l’article sur l’agence Novosti.

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04/03/2008

"Je vous appelle à entrer en résistance"

23:13 Publié dans 28- DOSSIER BALKANS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marine le pen, ump, ps, modem, sarkozy, france, royal | |  Facebook | |

03/03/2008

Manifestation pour le Kosovo Serbe, 2 mars 2008

Pour une meilleure définition, mais plus lent à télécharger, aller sur YouTube

23:25 Publié dans 28- DOSSIER BALKANS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marine le pen, ump, ps, modem, sarkozy, france, royal | |  Facebook | |

26/02/2008

Kosovo-Metochie, 600 ans de martyr

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(Photo: monastère de Decani, 14 ème siècle, édifié avant les invasions ottomanes et albanaises)
                                                            
   Nul petit territoire n’a connu tant d’invasions, de  persécutions de ses habitants, de saccage de son patrimoine que le Kosovo-Metochie, dont l’histoire s’apparente à une Passion continue, un sacrifice sans cesse renouvelé par les attaques successives des Ottomans, des troupes nazies où s’enrôlaient en masse les Albanais, renouvelé par le joug d’un communisme pro-albanais puis par une Allemagne vengeresse et des Etats-Unis intéressés.   

                                                      

    Arrivés dans le sillage des Indo-européens, les Serbes (Sorabes) arrivent au Kosovo au VII ème siècle, alors territoire de Byzance peuplé essentiellement de Dardanais romanisés. Convertis au christianisme durant le IXème siècle, ils obtiennent de Byzance la charge des Fondations pieuses, leur donnant pour mission d’établir églises, monastères, ermitages, et leur corollaire en des hôpitaux et des orphelinats. La Serbie devient un Etat autonome dès le XIIème siècle, suite aux traités convenus par Stéphane Nemanja (1114-1200) avec Byzance. Aussitôt, le Kosovo et la Metochie deviennent le centre politique et spirituel de la jeune nation, reprenant les centres religieux et administratifs byzantins de Prizren et Lipljan (futur diocèse de Gracanica). Les chroniqeurs de l’époque ne sont autre que les propres fils de Nemanja, Saint-Sava et Stéphane le Premier, attestant le rôle prépondérant des palais royaux du Kosovo (Pauni, Stimjla, Petric…) dans l’organisation du Royaume n’ayant encore pas de capitale.

                                                       

   L’Eglise orthodoxe Serbe devient autonome en 1219, par l’établissement d’un Archevêché composé de 10 diocèses, transféré dans la Grande Eglise du Christ Sauveur à Pec ( Kosovo) dès 1253, qui deviendra Patriarcat en 1346.

                                             

   Les Ottomans, dans la foulée de la prise de Constantinople (1453), continuent leur progression vers l’Occident et obtiennent la reddition de  Vukašin Mrnjavčević, roi de Serbie, à la bataille de la Maritza en 1371. Dès lors, le Royaume évangélisé par Cyrille et Methode, se trouvant en première ligne face au monde musulman, ne connaîtra guère de répit.

   Le 15 juin 1389, c’est au tour du Prince Lazare de s’incliner, lors de la mythique et héroïque  bataille de Kosovo Polje, connue sous le nom du champ des merles.

   Lorsque les turcs prirent totalement le Kosovo-Metochie, en 1455 à la chute de Novo Bdro, ils procédèrent à un premier recensement[1], où ne figuraient que 3% d’Albanais.

 

   Au XVIème siècle, l’occupation turque ne peut toutefois faire table rase de l’identité du Kosovo. Des recensements turcs de 1525/6 et 1544/5 réalisés sur le territoire de Cicava, petite portion du Kosovo appelé la « Montagne Sainte Serbe » font mention de « 52 églises et monastères au total », dont 36 sont encore identifiables aujourd’hui. Rien que dans la ville de Prizen, ces mêmes recensements relevaient 26 églises. En 1999, à l’arrivée de l’Otan, Prizen est passée de 8500 habitants serbes à 60, et de 13 églises en fonctionnement à... aucune.

                        

   Le Grand Exode des Serbes, en 1690, suit la défaite des armées chrétiennes, autrichienne et serbe, par les forces turques qui, appuyées par des Tatares et des Albanais, procèdent à des expéditions punitives notamment au Kosovo, où la population civile est soit tuée, soit déportée en Turquie pour finir en esclavage, tandis que les églises et les monastères sont vandalisés.

                          

   Le patriarche Arsène III Crnojevic négocia alors avec Vienne l’accueil de 37 000 familles, autorisées à pratiquer leur culte chez l’empereur d’Autriche.

                            

   Le Grand Exode a laissé d’innombrables témoignages dramatiques de contemporains des évènements. Un chroniqueur italien, Simpliciano Bizozeri rapporte : « Ne rencontrant pas d’obstacles à leur bestialité, les mahométans forcèrent les Serbes, retranchés à Novi Pazar, à chercher leur salut  au monastère de Studenica. Simultanément, arrivèrent les Turcs venant de Bosnie et les Tatares de la plaine du Kosovo. Les chrétiens avaient été chassés de Prizen, Pec, Vranje, Vucitrn, Mitrovica […] Après avoir égorgé tous les habitants, on mit le feu et on transforma en cendre leurs pauvres cabanes.Ne furent épargnées que les villes de Pristina, Pec et Prizren, car venaient s’y installer les Albanais en vue de passer l’hiver »[2]

   Un manuscrit du monsatère de Decani (n° 97, feuillet 16) rapporte :« Les Turcs et tatares ne semaient que terreur et tristesse. Et lorsque les Musulmans prirent le contrôle, un certain Gasli-pasa s’attaqua au monastère de Decani et laissant l’higoumène à peine vivant et le monastère complètement délabré. »[3] après avoir précisé que femmes et enfants furent séparés, les jeunes réduits en esclavage et les plus vieux assassinés.

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(photo : Liturgie au Monastère de Decani)

  Jusqu’au XVIII, malgré ces tourments, la population serbe reste ultra-majoritaire. Les albanais vont progressivement arriver de leurs montagnes sur la plaine du Kosovo et en Metochie, et, forts de leur statut de janissaire ou de leurs organisations en cetas (détachements) , se mettent à piller et à convertir de force les chrétiens.

                     

   Le second exode le plus important des Serbes du Kosovo et de Metochie survient en 1737, au lendemain de la défaite des autrichiens, qui est suivie par une vague de persécution au Kosovo, avec le départ du patriarche serbe Arsène IV.

                                 

500 000 serbes auraient quitté la Vieille Serbie au cours des XVIII et XIXème siècle selon les historiens.

                         

   Une lettre poignante de l’higoumène de Decani, au nom de la population opprimée du secteur  de Pec, adressée au Sultan, résume la situation au milieu du XIX ème siècle. Il se plaint « des actes de tyrannie et des abus des Albanais, qui dépassent toute mesure ; si on n’y met pas fin, nous serons forcés de nous exiler de notre propre pays, abreuvé du sang de nos ancêtres, et quitter nos foyers…Car nos sanctuaires eux-mêmes ne sont pas laissés en paix de la part des malfaiteurs. Il n’y a pas de foyer chrétien qui n’ait été pillé, il n’y a pas de village, de ville, ni d’église ni de monastère qui n’a pas été exposé à la violence… »[4]

   Les témoignages historiques sont innombrables, ils sont tous du même acabit. On se bornera à citer les grands mouvements d’épurations :

Au cours de la période 1880-1912, 150 000 serbes environ furent chassés du Kosovo.

                          

                                       

   Lors de la première guerre mondiale, les Albanais alliés aux Allemands occupèrent la Serbie vaincue, et une insurrection serbe fut rudement réprimée, jusque dans le monastère de saint-Marc de Korisa, où la population s’y réfugiant fut massacrée. Pas moins de 22 hiérarques de l’église orthodoxe, métropolites, hieromoines et archiprêtres furent méthodiquement assassinés  lors de l’occupation de 1915-1918.

                           

 Lors de la seconde guerre mondiale, les exactions redoublèrent d’intensité. Les albanais, alliés des forces de l’Axe, ont obtenu l’annexion du Kosovo dans une Grande Albanie mythifiée. Stefano Fabei dans son étude magistrale « le Faisceau, la Croix Gammée et le Croissant » (Editions Akribeia, 2006) explique :

             

«  un Comité albanais du Kosovo organisa une campagne d’épuration ethnique contre les Serbes orthodoxes qui habitaient dans la région du Kosovo et dans celle de Metohija. Cet appel au djihad contre les Serbes chrétiens fut lancé par Bedri Pejani, chef musulman du Comité national albanais, qui demanda l’union de la Grande Albanie avec la Bosnie, l’Herzégovine et le Sandjak au sein d’un grand Etat islamique. Les Allemands refusèrent toutefois cette revendication apparemment soutenue par le Mufti » page 365 (ndlr : Al-Husseini, le Grand Mufti allié à Hitler)

                                        

   Après la chute du fascisme en juillet 1943, les forces albanaises se rangent derrière Hitler : les volontaires du Kosovo rejoignent le XXIème Gebirgs-Korps occupant le territoire, et 7 000 albanais s’engagent dans la 21ème division de Waffen SS.

Himmler constitue en avril 1944 une division SS de montagne connue sous le nom de « Skanderberg » nom d’un héro national du XVème siècle. Stefano Fabei précise :

                                                   

« Le recrutement fut effectué par le Parti nazi albanais […] il était prévu de recruter majoritairement des éléments kosovars, car, de l'avis des hautes instances des SS, les Albanais du Kosovo descendaient d’anciennes tribus aryennes et faisaient les meilleurs combattants […] La division fut parrainée par Mustafa bey Frashery, chef politique et religieux de la communauté islamique albanaise » page 365

                                

   Le drapeau de ces troupes ? L’aigle bicéphale noir sur fond rouge, symbole de la Grande Albanie, que l’Union Européenne aimerait changer comme pour exorciser ses propres turpitudes…

                          

   L’occupation albano-nazie a provoqué l’expulsion de plus de 50 000 civils serbes du Kosovo, la destruction des monastères de Devic, de Saint Marc de Korisa, le pillage de celui de Gracanica. L’église du monastère de Gorioc servit aux albanais de prison pour y enfermer les serbes. Les églises incendiées furent celle de Saint-Pierre près de Prizen, celles de Bistrazin et Seremet, de Donj Ratis, de Ponosevac et Rastavica etc. (mon document de travail en cite 17 avant de mettre Etcetera).

                     

   La Yougoslavie de Tito a interdit, lors d’une session parlementaire en date du 6 mars 1945, le retour au Kosovo-Métochie des Serbes chassés par les Albanais au cours des précédentes guerres. Tito renforça l’immigration Albanaise, et ira jusqu’à parrainer chaque cinquième enfant des familles albanaises. Pendant la période communiste, fut octroyée au Kosovo le statut de Région autonome puis de Province autonome  effectif à partir de 1968, qui eut pour conséquence d'exclure les Serbes, ormis quelques faire-valoir du PC, de la gestion des affaires . Les communistes couvraient les crimes et les exactions des albanais, et réduisaient au silence l’Eglise orthodoxe. Entre 1966 et 1971, 35 000 serbes furent chassés du Kosovo. Le mouvement s’accéléra entre 1971 et 1981, où 220 000 Serbes furent chassés de leur terre. Le point d’orgue des persécutions, avec son lot de profanations de lieux Saints, culmina lors du 16 mars 1981, avec l’incendie par des Albanais du Patriarcat de Pec, qui abritait 60 moniales. Les autorités communistes s’efforcèrent de cacher ce crime pendant un an.

                                                

   Un Appel pour la défense de la population serbe et de ses lieux saints du Kosovo et de Métochie, signé par 21 prêtres et moines orthodoxes, fut alors publié au nom de tout le clergé du Patriarcat Serbe dans une perspective d’apaisement :

                               

« Dieu nous est témoin ainsi que notre conscience : nous ne voulons aucun mal aux Albanais et souhaitons simplement que notre peuple et nos sanctuaires soient protégés…Aux Albanais nous ne voulons que du bien, nous le disons devant Dieu »

                                      

   Irréprochable, l’Eglise orthodoxe Serbe du Kosovo s’est toujours désolidarisée du communisme même après l’arrivée de Milosevic. Lors de son Memorandum publié en mai 1992, l’Assemblée des évêques serbes affirmait : « L’Eglise orthhodoxe serbe et le peuple serbe n’ont jamais été partisan du communisme athée ni de toute autre idéologie totalitaire… »

                                            

   Le danger de la « Grande Serbie » est une pure propagande albanaise, reprise servilement par les médias de la zone Otan, complètement ignares de l’histoire serbe. Le danger imaginaire de la « Grande Serbie » était aussi agité par les communistes, dont Milosevic, pour mieux oppresser le peuple Serbe. Milosevic qui joua un jeu dangereux en fermant les yeux face à l’émergence de groupes armés albanais, dont les excès et les méthodes terroristes le contraindra à faire intervenir les Forces régulières serbes.

                                                                

   Malgré sa neutralité, coincée entre les Forces serbes communistes et l’UCK organisation considérée terroriste à juste titre (même par les Etats-Unis avant de financer le mouvement !), malgré sa bienveillance à l’encontre des victimes civiles albanaises (plusieurs monastères orthodoxes ont organisé lors de l’hiver 1998-99 une aide humanitaire pour les Albanais, ouvrant leur portes à l’image de celui de Decani), l’Eglise orthodoxe serbe a continué d’être persécutée après le retrait des Forces serbes, jusqu’au point culminant de mars 2004, alors qu’elle n’a été mêlée ni de près ni de loin à la guerre.

 

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(Eglise de la Sainte Trinité à Petric, détruite en 1999 par les Albanais)

                       

   Parmi les nouveaux ennemis de la Serbie, on notera avec quelle couardise la France, pourtant l’alliée historique, a rejoint l’Allemagne et les Etats-Unis dans la folle aventure de 1999. Les services allemands, le BND, avaient installé dès 1996 une importante station à Tirana avec pour directeur Hansjorg Geiger, et une autre à Rome, pour sélectionner et entraîner les combattants de l’UCK. Le Militaramschirmdienst et les forces spéciales des KommandosSecialkrafte (KSK) entraînaient d’autres membres de l’UCK dans les monts de Mirdita au nord de l’Albanie. Toujours en 1996, l’adjoint du chef du BND Geiger, Rainer Kesserling, fils du général de la Luftwaffe responsable du bombardement de Belgrade en 1941 qui fit 17 000 morts, contrôlait l’entraînement par les KSK des recrues albanaises dans une base turque à Izmir...l'histoire se répète.

                                         

    La France, elle, s’humilia dans une telle alliance, en devant acheter les munitions de ses Super-étendarts aux américains, et n’opérant que de jour, ses avions de chasse n’étant même pas équipés de vision nocturne. Pour finir d' abbattre une armée exsangue et mettre 500 000 serbes au chômage, les infrastructures économiques servant de cible, il y a des repentis qui se sont suicidés de honte pour moins que cela.

                                      

   Non que la France eut à se ranger aveuglément aux côtés de Slobodan Milosevic, mais en s’alliant à une organisation mafieuse, christiannophobe et terroriste, elle a contracté une dette sanglante envers le peuple Serbe resté fidèle à son Eglise.

                        

Joachim Véliocas, Observatoire de l’islamisation, février 2008.

Photos : Kosovo.net

  Document de travail principal : Memorandum sur le Kosovo et la Metochie, de L’Assemblée des évêques de l’Eglise Orthodoxe Serbe, édité par le Saint Synode des Evêques de l’Eglise orthodoxe Serbe. Mai 2003.


[2] Simpliciano Bizozeri, La Sacra Lega contro la potenza Ottomana, II, Milan, 1700

[3] Lj. Stojanovic, Vieux récits et inscriptions serbes, 3ème livre, n° 5302

[4] L’higoumène de Decani Serafim Ristic a rassemblé et édité dans un ouvrage à part les plaintes poignantes des Serbes du Kosovo et de Metochie à la suite des agressions commises par les Albanais et les Turcs. Ce livre de témoignage a reçu le titre caractéristique de « Pleurs de la Vieille Serbie », Zemun, 1864 , où on trouve le témoignage cité.

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16/02/2008

Kosovo : démontage de la propagande du Figaro

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  Dans l’édition du 16 février du Figaro, Isabelle Lasserre nous a servi un résumé de l’histoire récente de la province serbe emprunt de subjectivité, catalogue des clichés les plus caricaturaux et orientés sur les évènements. Nous démontons méticuleusement ses sous-entendus et imprécisions partisanes. Le Figaro est-il un journal libre ?
                                 
« En 1986, le Mémorandum de l'Académie des sciences et des arts de Belgrade réhabilite le nationalisme serbe en dénonçant les discriminations dont sont censés être victimes les Serbes »                           

   « Sont censés », comme si ces discriminations n’étaient pas historiquement établies.Le lecteur du Figaro est amené à penser que les discriminations qu’ont subi les Serbes furent imaginaires avant 1986, agitées pour nourrir le "nationalisme". Pourtant, les rapports officiels de l’évêque de Pavle du Kosovo ainsi que d’autres religieux reflètent bien un climat de persécutions caractérisées, et ce depuis des décennies :

1961 : «  Il y a deux ans, à la veille du procès d’un terroriste albanais, la porte de la cathédrale de Prizen a été brûlée. Cette année, toutes les plaques des tombes orthodoxes du cimetière de Prizen ont été endommagées. »

1965 : « Emigration forcée des Serbes de la Paroisse de Poduiévo (cent trente-deux foyers) »

1967 : « Pillage des biens du monastère de Detchani »

1968 : «  Il n’y a pas, pour ainsi dire, de jour, où leurs bergers ne lâchent leur bétail dans nos champs, nos vergers et nos vignes…Ils saccagent nos plantations, menacent les sœurs et leur jettent des pierres. Ils nous disent « Que pouvez-vous nous faire ? Partez d’ici »

1968 : Soulèvement des albanais contre les serbes dont des milliers choisissent déjà l’exode. Tito encourage l’immigration Albanaise : ces derniers forment déjà 60% de la population (95% aujourd'hui).

1969 : « Depuis le 28 novembre de l’année passée, les Albanais ont posé à Petch six ou sept bombes. Récemment une bombe a été posée dans l’appartement de Milutin Vukovic… »

1969 «  Des Albanais ont battu une moniale du monastère de Bintch, qui défendait les biens du monastère. En traversant un village, l’aumônier du monastère de Goriotch a été blessé à la tête par une pierre partie d’une maison Albanaise… »

1969 : Dans le village de Veliko Trnovo « l’église a été si endommagée que, d’un jour ou l’autre, elle pourrait être entièrement démolie par la population Albanaise…La porte de l’église a été brisée, ainsi que toutes les icônes et les vitres. Dans l’église même, les habitants viennent faire leurs besoins »

1972 : Saccage de l’église de Vinarets

1977 : « L’évêque est trainé par la barbe et frappé à la tête »

1978 : « Le prêtre du village de Muchuticht a été attaqué à coups de pierres par des adolescents albanais, et il doit maintenant aller jusqu’à Kruchevats pour y subir un traitement de rééducation »

1981 : «  Le patriarcat de Petch est incendié, deux séminaristes sont attaqués à coup de couteaux et de bouteilles cassées »

1983 : Profanation des tombes des cimetières de  Retimlié et Opteruchi

1984 : Plusieurs cas de viols à l’encontre des Serbes

1985 : Profanation du cimetière de Velika Reka par des nationalistes Albanais

1986 : « Un cetain Martinovic ne voulant pas quitter ses terres convoitées par des Albanais, s’est vu introduire une bouteille dans le rectum »

1986 : « Les Albanais envoient leurs enfants nous lapider. Ils crachent sur nous. Ils viennent ici, ouvrent la braguette et s’exhibent devant les moniales. Et la police ? Elle vient et repart. »

    Entre 1966 et 1971, 35 000 serbes ont été chassés du Kosovo. Le mouvement s'accélère entre 1971 et 1981, période durant laquelle 220 000 furent de nouveau expulsés sous les menaces. Depuis 1966, ce sont 606 localités qui se sont vidées de toute présence serbe.

« Réhabiliter le nationalisme serbe » pour Isabelle Lasserre, c’est donc vouloir protéger les serbes du Kosovo et affirmer une souveraineté élémentaire sur une région livrée à la mafia Albanaise, au reigne de la loi du plus fort.

   

   Et la journaliste du Figaro de continuer :  « Slobodan Milosevic est en pleine ascension politique. Il va se servir du Kosovo pour donner un coup d'accélérateur à sa carrière. Le 28 juin 1989, à l'occasion du 600 e anniversaire d'une défaite des Serbes face aux Turcs ottomans, il promet au million de Serbes qui l'écoutent de défendre leur honneur bafoué. Sa campagne va mettre le feu aux poudres »

 

   C’est donc Slobodan Milosevic qui met « le feu au poudre », pour simplement avoir promis aux serbes ce 28 juin 1989 :  « C’est fini : vous ne serrez plus battus. ». On a connu des pyromanes plus dangereux. Etrange inversion des rôles entre agresseurs et agressés.

Toujours dans le même article :

« Sur les collines de la Drenica, dans ce cœur pauvre du Kosovo, un groupe armé clandestin, l'UCK, tire les leçons de l'échec de la stratégie pacifiste de Rugova. La rébellion, née dans les milieux marxistes-léninistes proches du président albanais Enver Hoxha et soutenue par la diaspora, se propage dans les campagnes. Les accrochages entre la guérilla indépendantiste et les forces serbes se multiplient. Belgrade intensifie la répression. En janvier 1999, le massacre de 45 Albanais, à Racak, est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. »

    Isabelle Lasserre esquive l’aspect purement terroriste de l’UCK, qui -elle se garde bien de le mentionner- s’en prenait surtout aux civils de toutes les ethnies, avant que les forces serbes en viennent à intervenir, pour tenter de sauver ces derniers et rétablir l'ordre public.

   En 1996, l’UCK revendique l’assassinat de deux policiers. Entre février 1996 et février 1998, elle a commis 152 attentats, responsable de 70 morts, dont une quarantaine de Serbes, notamment une quinzaine de policiers, les autres étant des « Albanais » considérés comme des « traîtres » par l’UCK. Le chercheur Alexandre del Valle précise dans son étude de référence sur cette période : «  Pour la seule période allant de 1993 à 1998, l’UCK aurait assassiné près de 200 policiers serbes du Kosovo, 125 civils albanais jugés « collaborateurs » des Serbes, près de 120 civils serbes ou appartenant à d’autres minorités non albanaises du Kosovo (Tziganes, Croates, Monténégrins, Gorancis, etc.) sans parler des 300 civils grièvement blessés par les soldats de l’Armée de « libération ».[1] 

    Isabelle Lasserre sous entend que les « 45 Albanais à Racak » sont des civils lâchement massacrés par les serbes. La fameuse « goutte d’eau », instrumentalisée pour déclencher les frappes aériennes de l’Otan.

    Il est important de revenir sur cet évènement, point d’orgue de la propagande de l’Otan, concoctée par les agences de psychological opérations, telles Hill and Knowlton ou Ruder Fin, qui avaient remporté le marché de la désinformation anti-serbe, commandé par les Etats-Unis. C'est toujours Alexandre del Valle qui explique le mieux ces mécanismes de propagande :         

                                                                                 

 « Que s’est-il vraiment passé [ à Racak] ? En fait, après avoir averti les vérificateurs de l’OSCE, et en représailles à une vague d’attentats antiserbes perpétrés la semaine précédente, les forces de l’ordre yougoslaves avaient effectivement lancé une opération antiterroriste contre le village de Raçak, fief de l’UCK, qui avait depuis plusieurs mois rompu les accords de cessez-le-feu, et une équipe américaine de l’agence APTV avait été autorisée à filmer les combats. A 15 heures précises, les forces serbes contrôlaient le terrain, le centre de presse de Prisina annonçant la mort effective de quinze combattants de l’UCK. D’après les différentes versions, le chiffre des victimes varierait du simple au triple : entre 15 et plusieurs dizaines selon Belgrade, 37 selon l’OSCVE, 45 pour les Américains, 51 selon les Albanais. Mais les images de la cassette tournée par l’équipe d’APTV contredisent radicalement les différentes versions officielles receuillies et diffusées par la presse occidentale. Sur le film c’est un village quasiment vide que les pioliciers investissent. En revanche, les Serbes subissent un feu nourri venant des tranchées de l’UCK creusées juste au-dessous du village. » Les forces Serbes auraient-elles été assez inconscientes pour s’en prendre à des civils devant les caméras américaines ? Alexandre del Valle poursuit : « On sait aujourd’hui, grâce, grâce aux différentes enquêtes des médecins légistes de plusieurs pays que les « villageois » en question étaient des soldats de l’UCK habillés en civils, âgés de 20 à 50 ans, et qu’il n’y avait qu’une femme et pas d’enfants. En plus, une partie des tués n’étaient pas originaires du village[2] »

                  

   Poursuivons l’analyse du Figaro : « Le 24 mars 1999, l'Otan déclenche une campagne de bombardements aériens contre la Serbie. Des centaines de milliers d'Albanais sont chassés du Kosovo par les troupes de Milosevic »

    Sous entendu, les forces Serbes se livrent à une épuration ethnique. En fait, les populations fuyaient les zones de combats entre l’UCK et les forces de sécurités serbes, ce qui est logique, en plus de fuir les bombardements de l’Otan, qui ont largement accéléré l’exode.

 

   Pour finir, Isabelle Lasserre se garde bien de préciser que l’indépendance du Kosovo viole la Charte des Nations Unies relative à la souveraineté des Etats, de l’Acte final d’Helsinki de 1975 sur l’intangibilité des frontières des pays européens. Qui plus est, la reconnaissance d'un tel état par les pays de l’Otan, se ferait en  violation de la résolution 1244 de l'ONU qui reconnaît la souveraineté de la Serbie sur sa province et berceau historique.

   « Convaincue du caractère inévitable de l'indépendance, la communauté internationale s'investit dans un dernier effort pour tenter de rapprocher les deux parties ». Apparemment, des grands pays comme la Russie et l'Espagne, et des plus modestes comme la Roumanie et Chypre  ne font pas partie de cette communauté. Non ce « caractère inévitable » n’existe que dans l’esprit de la journaliste.

   Mais Le Figaro, propriété du député UMP Dassault, pourrait-il se permettre de critiquer les choix de Nicolas Sarkozy ?

Joachim Véliocas, Observatoire de l’islamisation, février 2008.

Auteur de « L’islamisation de la France » (Editions Godefroy de Bouillon, 2007)


[1] Alexandre del Valle, Guerres contre l’Europe, éditions des Syrtes, 1999, page251

[2] Alexandre del Valle, Guerres contre l’Europe, éditions des Syrtes, 1999, page265.

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Kosovo : Sarkozy invente la prime à la terreur

(note du 21/06/2007 publiée de nouveau en raison de l'actualité. Nota bene : en novembre dernier, le président du Kosovo a changé, il s'agit de Hashim Thaci ancien chef politique de l'UCK, dont il partageait la direction avec Haranijad et Ceku

   Nicolas Sarkozy lors du sommet du G8 a réaffirmé sa volonté -comme par hasard calquée sur celle des américains- de voir un Kosovo indépendant de la Serbie : « La proposition que j'ai faite, c'est que le président Poutine reconnaisse la perspective inéluctable de l'indépendance du Kosovo ». En cas d’absence d’accord entre Belgrade et Pristina, il a exprimé son souhait d’imposer le plan Martti Ahtisaari (émissaire de l’ONU favorable à la secession) pourtant corrompu par la mafia albanaise selon les services secrets allemands.

   Nicolas Sarkozy, en voulant amputer une région (jouissant déjà du statut d’autonomie) à un pays souverain, viole la Charte des Nations Unies relative à la souveraineté des Etats, de l’Acte final d’Helsinki de 1975 sur l’intangibilité des frontières des pays européens… (suite ci- dessous)

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15/02/2008

Kosovo-Metochie: l'envoyé spécial de l'ONU, Ahtisaari, a été acheté par la mafia albanaise selon les services du renseignement fédéral allemand (BND)

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(Note du 27/08/2007, publiée de nouveau en raison de l'actualité) :

 Une nouvelle explosive dont les atlantistes partisans du Plan Ahtisaari, prévoyant l'indépendance du Kosmet (Kosovo-Metochie), se passeraient bien :

   Au même moment où un ex-responsable d'Al-Qaeda , Ali Hamad, vient d'affirmer dans une interview au journal de Belgrade Glas Javnosti, qu' Al-Qaeda possède des cellules toujours actives au Kosovo-Metochie, tolérées par les responsables albanais, voilà que les services secrets allemands (BND) viennent de soulever un lièvre. C'est le Daily Fokus, un journal Serbe qui a rapporté les faits le 21 juin. Les services allemands n'ont, deux mois après l'article, pas contredit les éléments précis rapportés par le quotidien. La presse française s'en était également fait l'écho (France Soir, Figaro) :

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22/05/2007

Demain, le Kosovo sera-t-il encore Serbe?

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Carte du kosovo mentionnant les édifices religieux brûlés par les albanais en mars 2004 auxquels l'UE et l'ONU veulent livrer le territoire serbe, berceau historique incontestable du pays... Un témoignage d’un identitaire présent à Mitrovica en ce moment même est à lire en cliquant ici (Photo du bas : église Saint Dimitri consacrée en novembre 2005, construite en réponse à la destruction en mars 2004 par les albanais de l'église Saint-Sava au sud de la ville). Les serbes vivent dans un climat incessant d’insécurité, les civils sont régulièrement agressés par les albanais musulmans. Un dossier complet sur les pogroms de mars 2004 est disponible en cliquant ici. Depuis, les exactions sporadiques n'ont pas cessées...toujours contre les mêmes.

 

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04/04/2007

Kosovo-Métochie : les albanais maintiennent la pression

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Le Salon beige, blog d’informations, vient de souligner cette information passée sous silence par les médias français, s’évertuant à mettre sur un même plan moral les communautés serbes et albanaises du Kosovo depuis 10 ans.

Lu sur Radio Bulgarie :

 "Des diplomates étrangers ont dénoncé l’attaque à la roquette contre un des monastères orthodoxes serbes les plus vénérés au Kosovo – Visoki Decani (AP). Tout acte de violence contre la communauté serbe ou l’Eglise orthodoxe serbe au Kosovo est absolument inacceptable et inadmissible, dit un communiqué du Groupe de contact, composé par les Etats-Unis, la Grande Bretagne, l’Allemagne, la France, l’Italie et la Russie. L’UNESCO a inclus le monastère dans la liste du patrimoine culturel mondial en 2004 et il est surveillé par des militaires de l’OTAN".

Il y a moins d'un mois paraissait cet article intitulé "Kosovo, les raisins du désespoir" qui fait allusion à la grandeur passée de ce monastère et qui en dit long aujourd'hui sur le sort des Serbes du Kosovo. Extrait choisi :

"Il ne reste que 650 habitants à Velika Hoca, des Serbes qui vivent entourés de postes d’observation de la KFOR et de barbelés, au rythme des visites quotidiennes des jeeps autrichiennes et des véhicules blindés".

Ces dix derniers jours, 5 attentats se sont produits au Kosovo, tous perpétrés par des albanais contre la minorité serbe, qui, il faut le rappeler, est chez elle et n'est responsable d'aucune provocation préalable.

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06/02/2007

L'armée islamique bosniaque

Vidéo de l’armée islamique bosniaque , financée par l’Iran et l’Arabie Saoudite. Soutenue face aux serbes par l’Otan et les pays européens, jusqu’à Bernard Henry-Lévy… Cliquer dessous pour la suite

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